une consommation même légère peut hausser la possibilité d'accident hémorragique parce que l'alcool a pour effet d'éclaircir le sang. Risque : une trop grande consommation d'alcool augmente de beaucoup le risque de subir un AVC.
En outre, l'alcool fluidifie le sang en réduisant l'agrégation de plaquettes, à l'origine de la formation de caillots3. La réduction du risque n'est pertinente que pour les adultes d'âge moyen voire avancé, qui sont à risque de cardiopathies.
On sait, par exemple, que l'alcool augmente le taux de bon cholestérol dans le sang, ce qui aide à réduire la formation des plaques athéromateuses. En outre, la prise d'alcool éclaircit le sang dans les heures qui suivent sa consommation, ce qui facilite la circulation.
La consommation modérée d'alcool est associée à une meilleure santé cardiovasculaire, particulièrement au niveau des maladies ischémiques. En effet, l'alcool semble agir sur des molécules et des enzymes qui renforcent le muscle cardiaque, nettoient les artères, et préviennent la formation de caillots de sang.
Bon pour le coeur
La consommation modérée de vin entraîne une augmentation du bon cholestérol et fluidifie le sang ce qui protège de l'infarctus. Mais une consommation d'alcool trop élevée favorise les cancers.
Un traitement anticoagulant (l'anticoagulothérapie) pour éclaircir le sang s'avère alors nécessaire. La warfarine (CoumadinMD) est le médicament pris par la bouche le plus utilisé pour éviter la formation de ces caillots.
Effet bénéfique : la consommation d'alcool (légère à modérée) peut offrir une protection contre les maladies coronariennes aux personnes âgées de 40 ans et plus. L'alcool aide à augmenter le taux de bon cholestérol dans le sang. Par conséquent, il peut contribuer à la réduction de plaques dans les artères.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Pourtant, boire un verre d'alcool tous les jours augmente le risque de développer certaines maladies, dont certains cancers. Pour limiter ce risque et protéger votre santé, il est recommandé : de ne pas boire plus de 2 verres par jour. de ne pas boire tous les jours de la semaine.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès. Par ailleurs, put opter pour une monodiète ou des jus detox pendant une journée afin de purifier son organisme.
Le vin rouge est la boisson alcoolisée la plus nocive pour la peau, notamment en présence d'une affection cutanée comme la rosacée (dilatation permanente des vaisseaux sanguins qui donne à la peau une apparence rougeaude et, dans certains cas, provoque une irritation, l'apparition de boutons ainsi que des plaques ...
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le vin rouge est également un antiagrégant des plaquettes sanguines. Il inhibe la formation des caillots (thrombus) en s'opposant au regroupement en amas des plaquettes dans les vaisseaux et à la coagulation du sang.
Les symptômes de sevrage «sans complications»
Il peut aller de légers tremblements à une trémulation forte. Les symptômes sont analogues à ceux d'une gueule de bois, mais beaucoup plus prononcés. Autres symptômes : sueurs profuses, pouls accéléré, parfois hyperventilation et hypertension.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Buvez 1,5L à 2L d'eau par jour
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
Les effets à long terme de l'alcool sur le cerveau
Une consommation régulière et excessive d'alcool peut être responsable de troubles cognitifs : altération de la mémoire, des capacités de planification, d'attention et de prise de décisions.
Il augmenterait plus particulièrement le risque de développer certains cancers : voies digestives, œsophage, foie, sein, cancer colorectal. Pour limiter les risques de cancers, il est donc conseillé d'abandonner la consommation d'alcool ou de la réduire drastiquement.
l'arrêt de l'alcool vous aide à dormir beaucoup mieux, à ressentir moins de fatigue, et à récupérer votre énergie ; vous améliorez également votre capacité de concentration, vous êtes plus attentif ; les bienfaits de l'arrêt de l'alcool se voient même sur le visage !
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Si vous êtes au régime, gardez en tête que la bière, le vin blanc sec, le vin rouge et le champagne sont les boissons les moins caloriques.