Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
Pour être précise: un verre de vin rouge contient un peu plus de 80 Kcal contre environ 130 Kcal pour un demi. Moralité: un verre de vin est un peu moins calorique qu'un verre de bière, mais les deux font grossir. Avec une consommation modérée, l'effet est plus ou moins insignifiant.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Le cidre, chef des alcools qui ne font pas grossir !
Loin devant les autres, le cidre est l'alcool placé en tête parmi ceux sauveront les meubles si vous voulez vous faire un plaisir coupable, avec (seulement) 50 kcal pour une bolée de 15cl.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
On peut avoir un ventre ballonné à cause d'une alimentation trop riche en aliments fermentescibles (fruit, légumes) ou à cause d'une sensibilité particulière à certains aliments (parfois même selon leur mode de cuisson). Il est possible également que cela soit dû à une consommation excessive en boissons gazeuses.
Effectivement, tout type d'alcool, peut importe que ce soit du vin rouge ou de la bière, peut exacerber l'oedème. L'alcool exerce une action sur le foie qui empêche de produire adéquatement certains types de protéines comme l'albumine ce qui entraîne une accumulation de liquides dans les membres inférieurs.
Une ration calorique accrue de 20 à 30%
Un verre de vin (10 cl) revient à consommer entre 70 et 80 calories. Une soirée bien arrosée (un apéritif, quatre verres de vin) et l'alcool apporte à l'organisme près de 500 calories (un quart de la ration quotidienne de calories).
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Gonflement
L'alcool a des effets inflammatoires sur le corps et la peau n'y échappe pas. Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès.
Des calories qui ne comptent pas
Le glucose est la substance qui favorise le stockage des graisses dans le corps donc la prise de poids. L'auteur explique que l'alcool, en augmentant la production d'insuline dans le corps, ferait baisser simultanément le taux de glucose, contribuant ainsi à réduire le poids.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Oubliez l'idée reçue comme quoi les alcooliques sont minces parce qu'ils ne mangent pas assez. Au fait, il s'agit d'ordre métabolique. L'alcool agissant tel une« calorie vide » ne compte pas dans la prise de poids. L'alcool ingéré par les buveurs réguliers est métabolisé dans un système spécifique.
Le craving ou l'envie irrépressible de boire est le premier signe qui laisse suspecter une dépendance à l'alcool. Sa consommation devient régulière et intense : elle boit des grandes quantités à longueur de journée.
L'alcool aggrave les problèmes de peau
Il est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. Sans compter la forte teneur en sucre des boissons alcoolisées, qui augmentent le taux de glucose dans notre sang et empêchent les cellules de la peau de bien se régénérer.