A l'origine des dégâts de l'alcool : il endommage l'ADN des cellules souches. Des chercheurs ont observé au plus profond de nos cellules les effets toxiques de l'alcool. Découvrant comment l'éthanol provoque des mutations au niveau des chromosomes des cellules souches, et comment celles-ci tentent de les réparer.
Tout d'abord l'organisme transforme l'éthanol (alcool pur) en aldehyde, une toxine très dangereuse pour l'ADN. Puis il détruit cette toxine grâce à une enzyme spécifique appelée «ALDH2».
En ce qui concerne le trouble lié à l'usage de l'alcool (ou TLUA, autrefois appelé alcoolisme), les plus récentes données démontrent que la génétique explique environ 50 % du risque de développer ce trouble, alors que les comportements acquis, surtout issus de l'environnement familial et social, expliquent l'autre 50 % ...
Les variants à risque du gène adh contribueraient directement au développement de l'alcoolisme en favorisant l'abus d'alcool, tandis que les variants du gène gabra2 prédisposent à des troubles du comportement, qui sont eux-mêmes des facteurs de risque pour l'alcoolisme.
Bien que l'existence d'une transmission familiale de l'alcoolisme soit connue depuis l'Antiquité, les études scientifiques modernes ont apporté des preuves empiriques que l'alcoolo-dépendance est bien une maladie familiale : avoir un parent alcoolo-dépendant multiplie en effet par cinq le risque de développer cette ...
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
L'addiction est une maladie multifactorielle. Elle est due à la fois à des facteurs génétiques et environnementaux. C'est le cas de la plupart des pathologies courantes, associant dans leur étiologie(=cause de la maladie) le terrain héréditaire et l'histoire de vie du sujet.
La dépression n'est pas une maladie héréditaire, elle ne se transmet pas. Cependant il existe une prédisposition à développer ce trouble chez les personnes porteuses de variants génétiques, dont la plupart sont encore inconnus aujourd'hui.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Certaines personnes ne tiennent pas l'alcool. Cela ne dépend pas forcément de la quantité bue. C'est peut-être le signe d'une allergie, communément appelée "intolérance à l'alcool".
C'est quoi, l'alcoolisme chronique ? L'alcoolisme chronique, également appelé “alcoolodépendance”, est le fait de présenter une addiction à l'alcool. A cause de cette addiction, des conséquences négatives sur différentes facettes de votre vie peuvent voir le jour, à commencer par votre santé.
Il est important d'utiliser de l'alcool froid, car il permet d'extraire une plus grande quantité d'ADN. Si l'alcool est trop chaud, l'ADN peut se dénaturer, ou se désintégrer.
Désormais il existe un produit pour ceux qui cherchent à contrôler leur empreinte génétique : Invisible, conçu par la société Biogenfutures, qui permet d'effacer toute trace ADN. Invisible est composé de deux éléments qui ressemblent à des sprays désinfectants.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
La recherche suggère que certaines pathologies psychiques comme la schizophrénie ou l'anxiété sont en partie d'origine génétique. La probabilité de développer ces troubles augmenterait si un parent au premier ou deuxième degré (le père ou la mère, l'oncle ou la tante, par exemple) en souffre.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
Un sujet est considéré comme souffrant d'une addiction quand il présente ou a présenté, au cours des 12 derniers mois, au moins deux des onze critères suivants : Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving)
L'addiction est une maladie multifactorielle qui associe troubles biologiques et psychiques entrainant des problèmes sociaux. Sa prise en charge doit donc prendre en compte toutes ces composantes. Ainsi, la thérapie vise à l'abstinence et passe par un accompagnement psychologique.
L'alcool a des effets inflammatoires sur le corps et sur la peau. Il est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Il peut s'agir d'une réaction de type allergique à certains composants de l'alcool mais il est possible aussi que vous soyez dépourvue de certaines enzymes permettant de métaboliser, c'est-à-dire de transformer l'éthanol dans votre organisme.