L'alcool est un cancérogène avéré (groupe 1 du CIRC). Il serait responsable de 11% des cancers chez les hommes et de 4.5% des cancers chez les femmes.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Effet bénéfique : la consommation d'alcool (légère à modérée) peut offrir une protection contre les maladies coronariennes aux personnes âgées de 40 ans et plus. L'alcool aide à augmenter le taux de bon cholestérol dans le sang. Par conséquent, il peut contribuer à la réduction de plaques dans les artères.
Saviez-vous? La consommation d'alcool augmente votre risque de cancer de la tête ou du cou, du sein, du côlon ou du rectum, de l'œsophage, du foie, de l'estomac et du pancréas.
Le vin rouge est la boisson alcoolisée la plus nocive pour la peau, notamment en présence d'une affection cutanée comme la rosacée (dilatation permanente des vaisseaux sanguins qui donne à la peau une apparence rougeaude et, dans certains cas, provoque une irritation, l'apparition de boutons ainsi que des plaques ...
Les cancers : L'alcool est une substance cancérigène pour l'humain. La consommation d'alcool, augmente le risque de développer un cancer colorectal, de la bouche, du pharynx, du larynx, de l'œsophage et du foie (6).
Whisky, vin rouge, eau de vie… ces alcools sont particulièrement responsables des gueules de bois les plus compliquées à assumer. En effet, ces boissons fermentées engendrent la création de produits chimiques appelés des congénères, des subtances que notre corps a du mal à traiter, et qui nous rendent malades.
Selon l'OMS, l'alcool reprèsente la 2ème cause évitable de mortalité par cancer après le tabac en France. L'alcool augmente plus particulièrement le risque de développer certains cancers : voies aérodigestives supérieures, œsophage, foie, sein, colorectal.
Outre le cancer du sein chez la femme, il augmente le risque de contracter un cancer de la cavité buccale (bouche), du pharynx (gorge), de l'œsophage, du foie, du larynx et du côlon/rectum (gros intestin et rectum). La consommation d'alcool n'est jamais sans risque.
L'alcool est responsable de lésions qui favorisent le développement de cancer. Les deux molécules en cause sont l'éthanol et son principal produit de dégradation, l'acétaldéhyde (groupe 1 « cancérigène avéré pour l'Homme » de la classification du Centre international de recherche sur le cancer).
Il développe : « Les effets les plus notables sont d'abord un meilleur sommeil et donc une sensation de repos, de bien-être. C'est aussi une perte de poids parce que l'alcool est calorique.
"L'alcool nous donne l'impression d'être plus 'calme' et détendu, car il agit directement sur le système qui provoque l'anxiété ou le stress", déclare-t-elle. En d'autres termes, boire permet de s'endormir plus facilement, mais ne vous assure nullement une bonne nuit de repos.
Couper l'alcool permet de diminuer nos apports caloriques, ce qui peut entraîner une perte de poids. Un verre de bière ou de vin peut représenter environ 150 calories. Additionnez tous ces verres pris dans la semaine et le nombre total de calories « vides » absorbées est impressionnant.
Le sucre, ennemi numéro 1, serait donc accusé de nourrir le cancer. Régulièrement, de nouvelles études alertent le grand public.
Les régimes riches en légumes non féculents, comme le brocoli, les épinards et les haricots, peuvent aider à protéger contre les cellules cancéreuses du cancer de l'estomac et de l'œsophage.
Avant d'arriver au foie, l'alcool contenu dans le sang affecte d'autres organes vitaux qui contiennent beaucoup d'eau et qui ont besoin d'un volume important de sang pour fonctionner. C'est sur le cerveau que les effets sont le plus rapidement observables.
Une alimentation riche en aliments contenant du sucre fait habituellement engraisser et la recherche scientifique indique que l'obésité augmente le risque de cancer. L'obésité peut provoquer des fluctuations hormonales, lesquelles peuvent aussi accroître le risque de cancer.
Consommation d'alcool chez les adultes de 18 à 75 ans
40 % au moins une fois par semaine ; 25 % une à trois fois par semaine ; 10 % tous les jours.
Seuls 5 à 10% des cas de cancer du pancréas seraient expliqués par des prédispositions génétiques familiales. En 2012, l'alcool a été reconnu par le CIRC comme facteur de risque de survenue de cancer du pancréas.
Les réponses avec le Dr Bruno Reynard, médecin nutritionniste : "Il n'y a absolument aucune contre-indication alimentaire pendant une chimiothérapie. On peut tout manger à partir du moment où on le supporte.
L'alcool est éliminé essentiellement par le foie (95 %).
"En vieillissant, l'alcool va se répartir plus rapidement dans l'organisme et se diluer dans une quantité de plus en plus faible de liquide corporel. Conséquence : le taux d'alcool dans le sang sera plus élevé pour une même dose ingérée", explique le Pr Mickael Naassila, Président de la Société française d'alcoologie.
Une récente étude, publiée dans la revue Nature Communication, a révélé que boire quatre unités d'alcool par jour –soit deux bières ou deux verres de vin– provoquent d'importants dommages structurels au cerveau et une perte de volume cérébral.