En fait, l'alcool empêche l'organisme de réguler sa température à 37°C. Appelé hyperthermie, ce phénomène favorise les coups de chaleur et les insolations. Il survient surtout entre 12h et 16 heures, parfois aussi plus tard dans la journée s'il fait vraiment très chaud.
Il ne s'agit pas d'une date limite de consommation (DLC), comme on peut le trouver sur certains aliments périssables comme la viande, mais d'une date de durabilité minimale (DDM). A l'instar des pâtes, l'alcool est toujours consommable une fois la date passée mais peut perdre en qualité.
Une température trop élevée augmente la circulation du sang dans vos veines, ce qui entraîne le fait que l'alcool est plus vite assimilé dans votre organisme. L'alcool va de cette manière vous monter plus vite au cerveau et vous serez plus vite saoule.
En effet, l'alcool est connu pour ses propriétés vasodilatatrices. Quand il pénètre le système circulatoire, il dilate les petits vaisseaux situés à la surface de la peau, y entraînant un afflux de sang: la température de votre peau augmente légèrement, vous vous sentez réchauffé.
Si on la conserve correctement, la vodka pure peut durer des années, mais si elle est aromatisée avec des ingrédients naturels, il vaut mieux vérifier de temps en temps qu'elle n'a pas tourné.
C'est le seul antiseptique qui ne périme pas à la condition que le flacon soit correctement fermé ! Bactéricide, fongicide et virucide sur les virus enveloppés.
Au bout de 40 ou 50 ans, une bouteille de vodka non ouverte peut avoir perdu suffisamment de saveur et d'alcool – en raison d'une oxydation lente et constante – pour être considérée comme périmée.
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
La transpiration excessive, les suées nocturnes sont en effet des symptômes du sevrage alcoolique. Vous les avez ressenties au début de votre arrêt, quand vous avez drastiquement réduit, et vous les ressentez à nouveau, alors que vous êtes totalement abstinente depuis six jours.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Ensuite, la paille crée un vide entre la boisson et la bouche. Cet espace se remplit de vapeur d'alcool. En aspirant, nos poumons s'imprègnent de ce fumet éthylique. En contact avec les alvéoles pulmonaires, l'alcool passe alors directement dans le sang, plus vite que lorsqu'il est ingéré par l'estomac.
Si en hiver certains aiment boire un verre d'alcool pour se réchauffer, en été cette sensation de chaleur, couplée avec les rayons du soleil, peut s'avérer dangereuse. Mais ce n'est pas tout : l'alcool est également diurétique, c'est-à-dire qu'il pousse le corps à libérer de l'eau par l'urine.
Car l'alcool concourt à faire monter la température du corps. Il faut le rappeler: quand il fait chaud, on perd de l'eau et des sels, mais pas d'alcool!
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou. Il fait sauter les inhibitions.
Une personne ivre peut respirer beaucoup plus lentement ou avoir le souffle court; sa respiration est faible et peu d'air est inspiré ou expiré. Fatigue : L'alcool et le cannabis sont des dépresseurs. Lorsque les gens deviennent intoxiqués, ils montrent des signes de fatigue ou de somnolence.
L'alcool est un remarquable lubrifiant social, car, à faible dose, il inhibe les freins comportementaux. Il stimule la bonne humeur, la joie, le rire, l'humour – pas le plus subtil certes !
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Les symptômes de sevrage peuvent se manifester dans les 6 à 12 heures suivant la prise du dernier verre. Les symptômes atteignent leur paroxysme au 2e ou 3e jour et peuvent durer jusqu'à 7 jours.
Oui. Pour une même quantité d'alcool consommée, le taux d'alcool dans le sang sera généralement plus élevé chez une femme que chez un homme.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
L'alcool a des effets inflammatoires sur le corps et la peau n'y échappe pas. Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès.
Les liqueurs fortes comme la vodka, le gin, le rhum, la tequila, et le whisky, y compris Campari, Cointreau et Pimm sont parfaitement adaptées pour être stocké à température ambiante. À l'exception notable, du vermouth déjà ouvert peut et doit être conservé dans votre frigo.
Auteur du livre Iconic Whisky, Alexandre Vingtier constate lui aussi que certains whiskies se bonifient avec le temps, mais il prévient : il faut être patient. « Le whisky peut encore gagner en fondu après plusieurs années, voire transformer certains de ses arômes, mais à une vitesse extrêmement lente. »
Une équipe d'archéologues a découvert en Chine des tessons de bocaux en terre cuite vieux de 9000 ans. En analysant les traces chimiques laissées dans les contenants, les scientifiques ont pu déterminer le contenu : un mélange de riz et de miel. Autrement dit : de l'alcool préhistorique !