Attention, toutes les parties de la plante sont toxiques du fait de sa teneur en oxalate de calcium. A noter également que les inflorescences dégagent une odeur de viande pourrie peu ragoutante qui attire et piège certaines mouches pour la pollinisation.
Toxicité : l'Arum maculatum est-il toxique ? Baies, tubercules, tiges, feuilles... Toutes les parties de la plante sont toxiques. En cas d'ingestion, les muqueuses buccales souffrent d'oedèmes et d'inflammations.
Le plus sûr moyen de les éliminer consiste à arracher les tubercules (et pour ce faire creuser suffisamment profond) et à couper les fleurs, c'est-à-dire le spadice inclus dans une grande enveloppe à aspect de feuille verte ou blanchâtre.
Les rhizomes des Arums tachetés (Arum maculatum) constituent des réserves de nourriture activement recherchées par certains animaux omnivores. Le sanglier fait partie de ceux là. Il déterre les rhizomes profondément enfouis dans le sol grâce à son boutoir puis les consomme en abandonnant tiges et feuilles.
Citons notamment : Aconit (Aconitum), Petite ciguë (Aethusa cynapium), Belladone (Atropa belladonna), Brugmansia, Colchique(Colchicum autumnale), Grande ciguë (Conium maculatum ), Daphné (Daphne laureola), Pied d'Alouette (Delphinium), Digitale pourpre (Digitalis purpurea), Laurier-rose (Nerium oleander), Lupin ( ...
L'aconit est la plante la plus toxique des jardins. Elle pousse dans des milieux humides, dans les sols riches en engrais, dans les chemins et les rives de cours d'eau. Elle est riche en alcaloïdes, très toxique, voire mortelle. Le seul fait de la toucher peut provoquer des irritations cutanées.
Il ne s'agit pas de rosée mais d'un phénomène lié à la circulation de l'eau dans l'appareil végétatif des plantes, phénomène que l'on appelle la guttation.
Toute la plante est toxique, mais particulièrement les fleurs, qui provoquent nausées, vomissements, altération de l'état général, diarrhées violentes. Les graines sont à l'origine de convulsions, sueurs, puis une détresse cardio-respiratoire pouvant entraîner la mort.
La fleur est sans danger, mais ses feuilles peuvent causer des troubles cutanés et digestifs, parfois respiratoires en provoquant de l'enflure. Peut être dangereuse au contact. Peut causer des dermites et autres troubles cutanés. Toutes les parties de la plante sont toxiques, surtout le bulbe.
Voici leur recette pour s'en débarrasser. : « Il faut l'arracher avec une fourche ou un petit râteau en creusant bien profond pour arracher les bulbes, puis le faire disparaître en le laissant sécher sur une bâche pour le brûler. Ainsi, l'ail sauvage devrait disparaître des jardins ».
Les bulbes devront être installés à la mi-ombre et dans un sol ameubli, frais et riche. En pot, le terreau devra être de qualité et si possible contenir un engrais intégré à diffusion lente.
Toxicité Toutes les parties de la plante contiennent des glycosides cardiotoniques dont l'action sur le cœur est proche de celle de la digitale pourpre (Digitalis purpurea). Une intoxication peut survenir après ingestion de très faibles quantités de matériel végétal.
En cas de prise par voie orale, la plante est très toxique: 10 à 20 feuilles chez l'adulte, deux à trois feuilles chez l'enfant entraînent une symptomatologie sérieuse. L'ingestion de 0,25 g de feuilles séchées par kg de poids corporel serait mortelle en 4 à 24 h en l'absence de traitement.
Oui, le Laurier Blanc est toxique.
Et pas seulement un peu toxique, c'est un véritable poison et il peut s'avérer très dangereux en cas d'ingestion. Le fait que le Laurier Blanc soit toxique est normal puisqu'il n'est qu'une variété du Laurier Rose, une des plantes les plus toxiques de France.
Cette variété de plante n'est pas comestible. Les narcisses contiennent de la lycorine, un alcaloïde toxique qui, en cas d'ingestion, provoque des vomissements, des maux de ventre et de la diarrhée.
C'est toute la plante, bulbe, tige, feuilles et fleurs qui contiennent des substances toxiques, des glucosides appelés tulipalines, et c'est le bulbe qui en contient la plus forte concentration. Ces molécules sont des fongicides, qui protègent la plante.
Les racines du manioc ou encore les graines de lin contiennent des glucosides cyanogènes et, souvent, il faut les traiter avant la consommation (en général par ébullition prolongée). Les noyaux de drupes, comme ceux des cerises ou des abricots, contiennent souvent des cyanures ou des glycosides cyanogènes.
Plantation de l'arum
Choisissez un endroit ensoleillé mais non brûlant. L'arum tolère la mi-ombre. Attention aux sols trop secs car l'arum a besoin d'un sol frais et humide. On peut enrichir la terre à la plantation avec de l'engrais ou un amendement type fumier et algues.
En été, une fois leur floraison terminée, Les feuilles des Arums jaunissent et se dessèchent, surtout si les plantes sont exposées au soleil et cultivées dans un sol sec. En août, coupez toutes les feuilles au ras du sol afin que de nouvelles pousses bien vertes ressortent en septembre.
La multiplication
Pour multiplier un Arum, rien de plus simple, la division des rhizomes est très facile. Il vous suffit de déterrer la plante mère à l'automne, puis de couper la souche en plusieurs morceaux. Chaque nouvelle bouture devra comporter au moins une ou deux feuilles pour être replantée.
La sève d'agapanthe est toxique ! De ce fait, ne laissez pas les enfants ou les jeunes animaux croquer ces feuilles épaisses. La toxine une fois ingérée provoque des douleurs dans la bouche, des irritations et sur la peau, des sensations de brûlure.
Les plantes toxiques n'ont pas de caractéristiques qui permettent de les classer comme telles. Il faut donc connaître le nom précis de chaque plante. Ce nom vous permettra d'interroger le Centre Antipoisons quant à sa toxicité ou de faire les recherches nécessaires.
La primevère obconique
Partie toxique : Les feuilles, les fleurs et la tige peuvent être toxiques. Premiers signes d'intoxication : réaction cutanée avec rougeurs, démangeaisons et parfois un œdème local et/ou des cloques. Les effets sont majorés en cas de nouveau contact avec la plante.