Celui de l'aspartame est 200 fois supérieur à celui du sucre. Problème : ce ne sont que des molécules vides, c'est à dire des non-aliments, car ils ne contiennent aucun nutriment et le corps ne va quasiment pas les reconnaître.
Les résultats obtenus suggèrent que l'aspartame est un agent carcinogène chez les rongeurs notamment chez les rats (males et femelles) et les souris males avec une augmentation de l'incidence de cancer (foie et poumon).
Étourdissements et vertiges. Tremblements. Migraines et violents maux de têtes (en cas de consommation chronique) Pertes de mémoire.
"Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, non seulement l'aspartame ne fait pas maigrir, mais il fait même grossir, car il est un leurre pour le cerveau. Quand vous prenez de l'aspartame, le cerveau réagit comme lorsque vous consommez du sucre, il dit au pancréas de fabriquer de l'insuline.
L'UE a établi une dose journalière acceptable de 7,5 milligrammes par kilogramme de poids corporel par jour (mg/kg pc/jour) pour la DKP afin de protéger les consommateurs contre les effets néfastes possibles de cette substance dans les aliments.
Il existe plusieurs faux sucres, ou édulcorants artificiels, mais les plus connus sont l'aspartame (Equal), le stevia, l'acesulfame-k (Sunett), le sucralose (Splenda), et la saccharine (Twin).
L'aspartame est composé à 50 % de phénylalanine.
- Moins grave : consommée en grande quantité, la phénylalanine peut provoquer des troubles intestinaux type diarrhée. Elle est en effet connue pour ses propriétés laxatives.
Les édulcorants de synthèse (aspartam, acésulfame, sucralose…) ou à base de produit naturel (stévia) possèdent un pouvoir sucrant bien supérieur à celui du sucre (jusqu'à plus de 100 fois supérieur) ce qui permet pour une même quantité, de consommer très peu de calories.
Formulé à base d'aspartame et d'acésulfame-K, l'édulcorant de table Canderel propose le même pouvoir sucrant qu'un morceau de sucre mais avec 0 calorie, ce qui est idéal si vous surveillez votre ligne mais que vous conservez une appétence certaine pour le sucré.
Le sirop d'agave.
Métabolisme. Lors de la digestion, l'aspartame perd son groupement hydroxyméthyl (méthanol), puis se décompose en ses deux acides aminés de base, l'acide aspartique et la phénylalanine. Sous l'effet de la chaleur, il peut aussi se recombiner pour former de la dicétopipérazine.
Les réponses avec le Dr Catherine Serfaty-Lacrosnière, nutritionniste : "La stévia n'est pas dangereuse. La stévia est issue d'une plante, elle a un pouvoir sucrant très important. Elle donne le goût comme le sucre, mais elle n'a pas de calories.
Ingredients. Eau gazéifiée ; colorant : E150d ; acidifiants : acide phosphorique, citrate de sodium ; édulcorants : aspartame, acésulfame-K ; arômes naturels dont caféine.
A l'heure actuelle, aucun effet secondaire n'est à déplorer même si la controverse demeure : pas d'effets cancérogènes, mutagènes, elle n'est pas toxique en tous cas dans les quantités raisonnables (ne pas dépasser 1 g de stévia par jour, ce qui est malgré tout considérable).
Les aliments qui peuvent contenir de l'aspartame sont les édulcorants de table, les bonbons et les chewing-gums sans sucre, les laitages allégés, les chocolats et les boissons « lights » ainsi que certains substituts de repas. Il est aussi présent dans certains chocolats et dérivés, dans les sauces et les condiments.
Les faux sucres – l'aspartame est le plus connu – ont un pouvoir sucrant 300 à 400 fois supérieur à celui du sucre, ce qui explique pourquoi pour un effet équivalent, leur apport en calories est négligeable.
Parmi les sucres à éviter en priorité, on peut citer le saccharose, c'est-à-dire le sucre blanc, de table, raffiné, mais aussi les sucres ajoutés dans certains plats préparés industriels qui font grimper, sans que nous nous en rendions compte, notre taux de glycémie.
Une étude a mis en avant que les édulcorants perturbent la composition de la flore intestinale ce qui pourrait, à long terme, provoquer des troubles métaboliques tels que l'intolérance au glucose (prédiabète) ou le diabète mais également d'autres pathologies en lien avec une flore intestinale déséquilibrée.
Aspartame, Stevia et autres édulcorants n'ont pas l'effet amincissant promis dans les publicités. Au lieu de favoriser la perte de poids, ils sont associés à un risque accru de grossir et d'avoir une obésité sur le long terme.
Dans le cadre d'une alimentation équilibrée et d'une consommation mesurée, le miel est un allié de la santé. Il ne fait pas grossir et ce ne serait pas judicieux de s'en priver au regard de ses nombreuses vertus.
Les résultats des études longitudinales indiquent de plus que la consommation régulière d'édulcorants non nutritifs est associée à une augmentation du poids et du tour de taille, ainsi qu'à une incidence accrue d'obésité, d'hypertension, de diabète et d'accidents cardiovasculaires.
La consommation d'aspartame, de saccharine, d'acésulfame-potassium, de cyclamates, de sucralose, de glycosides de stéviol et de polyols est sécuritaire pour les personnes diabétiques.
Aspartame : ne provoque pas de caries, Sucralose : ne provoque pas de caries. Non métabolisé par l'organisme, il n'augmente pas la glycémie.