Consommé avec modération, l'attiéké ne vous fera pas grossir et peut même devenir un véritable allié minceur, puisqu'il est extrêmement rassasiant. Une fois consommé, l'amidon gagne en volume dans l'estomac, ce qui favorise la sensation de satiété sur la durée.
L'attiéké est composé à plus de 95 % de glucides et est très pauvre en lipides (environ 2 %) ainsi qu'en protides (moins de 2 %). Sa valeur calorique est faible : en moyenne 188 kcal pour 100 g.
L'attiéké s'accompagne de fruits comme l'avocat et parfois même de graines d'arachides. Il a la réputation de faire dormir. Certains diront que c'est parce qu'il rassasie bien, d'autres parce qu'il a une haute teneur en amidon.
Par contre, le manioc est très pauvre en gluten, en protéine et en matières grasses, riche en magnésium, potassium, calcium, vitamine et fer. Ce qui en fait un allié de choix pour les soucis digestifs et les régimes minceur.
L'attiéké est un couscous de manioc obtenu par cuisson à la vapeur de semoule de pulpe de manioc fermentée.
L'attiéké est l'une des recettes les plus populaires en Côte d'Ivoire, et plus particulièrement à Abidjan. Il s'accompagne de poisson braisé ou de viande, de bananes plantain, de couscous et de manioc.
La Chine, premier producteur d'attiéké L'attiéké est une semoule humide et amidonnée, à base de manioc râpé ou broyé, fermenté, puis cuit à la vapeur. On lui connaît habituellement trois variétés.
"Le manioc est composé d'à peu près 70% de glucides, c'est à dire de sucres... donc il fournit de l'énergie.
En outre, il favorise le transit intestinal, permet de soulager les problèmes d'estomac, les irritations du côlon, mais également de lutter contre la constipation et la diarrhée.
Il est originaire des peuples lagunaires du Sud de la Côte d'Ivoire (Ébrié, Adjoukrou, Alladian) (Djeni et al., 2011). Fabriqué pour les festivités lors des grands événements depuis la fin du xix e siècle, l'attiéké est de plus en plus destiné au marché en raison de sa forte demande.
Le Nigeria en est le plus gros producteur (37 504 100 de tonnes). Viennent ensuite le Brésil (24 354 000 de tonnes) et l'Indonésie (23 908 500 de tonnes).
Pour des dispositions hygiéniques et de sécurité propres aux aliments cuits, il est recommandé de garder l'attiéké sous-vide au froid. Toutefois, la stabilité de ce produit, dans l'emballage proposé, a été prouvée à 30°C 2°C.
La mitraillette (Belgique). Ce plat belge est constitué de baguette, de sauce, de frites (ah, les frites belges !) et de viande. Ce kébab revisité s'élève à 1100 calories environ. Avec une bière, ça passe mieux, il paraît.
L'aliment à la densité calorique la plus élevée est l'huile, puisqu'elle contient 100% de lipides et apporte 900 calories/100g. Toutes les huiles possèdent exactement la même valeur calorique, il n'existe pas d'huile moins calorique que les autres. Les alcools forts : en moyenne 250 cal/100g.
Le riz est le féculent le plus calorique.
Toutefois, l'apport énergétique varie fortement selon les variétés : le riz sauvage fait figure d'exception, avec seulement 102 calories aux 100 grammes. 100 grammes de quinoa bouilli (cuit à l'eau) renferment 149 calories.
Aujourd'hui, cette culture résistante à la sécheresse est également considérée comme bénéfique pour la santé : la racine de manioc est sans gluten, riche en vitamine C et en cuivre.
Une simple lecture indique les aliments qu'il faut interdire aux diabétiques : la farine de manioc, le tapioca indigène, toutes les céréales (sauf peut-être le pain en quantité contrblée), les fruits très sucrés et les fruits secs, les beignets de tous ordres, et les sucreries en gknéral.
Origine : Amérique du Sud ; Saison : mai à octobre ; Couleur : chair blanche ; Saveur : neutre.
En plus de contenir des fibres, le manioc est une source de plusieurs nutriments, dont le cuivre, la thiamine, la vitamine C et le sélénium! Le sélénium et la vitamine C sont de puissants antioxydants alimentaires. Le manioc est riche en glucides, dont l'amidon.
Le manioc souvent mangé comme un féculent n'en est pourtant pas un. Ce tubercule avec sa forme cylindrique fait partie de la famille des euphorbiacées et est originaire d'Amérique du Sud. Il est l'une des plantes les plus consommées au monde, après le riz ou le maïs, principalement en Afrique.
Du Manioc à l'oignon, tout est bon
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de consommer plus de potassium pour réduire notamment la tension artérielle et le risque de maladies cardio-vasculaires. Elle conseille aussi d'augmenter l'apport en potassium pour avoir des os solides.
Au goût, l'attiéké a une légère acidité du fait qu'il est obtenu par fermentation. En texture, l'attiéké est plus élastique et collant. C'est une excellente alternative au riz ou aux pâtes. Cuisiné en un tour de main, il accompagnera tous vos plats de viandes, poissons, légumes.
11 semblerait que le manioc ait eti introduit en Afrique par les portuguais vers la fin du XVIeme siècle, via Sao Tome et Fernand0 Po dans le golfe du B&rin et par Warri et le fleuve Congo. La propagation du manioc fut tout d'abord lente et sa culture peu importante jusqu'au début du XIXème si&cle.
L'attiéké est produite traditionnellement par les femmes, des équipes constituées dans le village se groupant pour la production. Le manioc est mis à fermenter dans l'eau pendant des jours, séché au soleil, broyé, essoré, séché et vanné puis mis à cuire à la vapeur.