L'avion doit avoir une vitesse relative par rapport au vent pour décoller et se maintenir en l'air. S'arrêter, c'est avoir une vitesse relative de 1667 Km/h (donc supersonique) à l'équateur et nulle aux pôle (donc chute).
Bien sûr qu'un avion de ligne peut rester immobile à basse altitude. Il lui suffit de freiner. Même à très basse altitude, c'est plus facile, ainsi quand il arrête de bouger il brûle moins.
Donc un avion peut tomber en panne en plein vol mais, ceci dit, il se fait que c'est le décollage et l'atterrissage qui sont les plus dangereux pour l'avion. En fait, j'ai lu que, théoriquement, vous avez le moins de chance de subir un accident quand vous êtes dans un 747 à 35.000 pieds d'altitude.
Mais si l'angle d'arrivée de l'air est trop élevé, ce qui peut être la conséquence d'un avion qui aurait trop ralenti alors que le pilote maintient le nez de l'avion vers le haut comme s'il se mettait en montée, alors l'écoulement de l'air sur le dessus de l'aile n'est plus assuré et la portance diminue progressivement ...
Lorsque l'avion est en mouvement, cette forme courbée provoque un rétrécissement de la zone de circulation de l'air au niveau de l'avant de l'aile (bord d'attaque). On appelle ce phénomène l'effet venturi. Il provoque alors une dépression qui aspire l'avion vers le haut et lui permet de tenir dans les airs.
Le roulage jusqu'au parking, L'arrêt des moteurs après être rentré sur l'aire de stationnement : c'est là que finit officiellement le "vol" de l'avion.
Les vols sont limités la nuit
Entre 24 heures et 6 heures, les décollages sont interdits. Entre 22 heures et 24 heures, les décollages ne sont autorisés que sous certaines conditions, notamment liées au volume sonore de l'avion. Les atterrissages sont interdits entre 24 heures et 5 heures.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Une fois à haute altitude et positionné sur son plan de vol, l'avion atteint sa vitesse de croisière. Vous n'avez donc plus cette sensation d'écrasement, tout simplement parce que votre corps se déplace désormais à la même vitesse que l'avion.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Le fait qu'il y ait du vent, des nuages ou de la pluie sur une région n'a aucune incidence sur la sécurité ou le confort d'un voyage, mais en plus, le fait d'avoir ce type de prévision est (presque) toujours inquiétant…
Il s'agit d'une variation assez brusque de l'intensité et de la direction du vent. Les turbulences générées directement par l'avion sont un autre type d'incident qui peut survenir en vol. Cela se produit lorsque de grandes masses d'air entrent en collision avec les extrémités des ailes de l'avion.
Pourquoi un avion ne peut pas atterrir ? Il existe plusieurs raisons pour lesquelles un avion ne peut pas atterrir. Les conditions météorologiques sont parmi les plus courantes. Par exemple, un vent arrière supérieur à 5 nœuds peut empêcher un avion d'atterrir sur certaines pistes.
On peut citer le VJ 101 allemand, le Ryan X-13 américain qui décollait depuis un camion à plateau, ou encore le Mirage III V français, la lettre "V" c'était pour vertical.
Chaque moteur est commandé par une manette. Elles sont placées à la gauche du pilote ou sur une console centrale dans la configuration ou les pilotes sont à cotés.
Le groupe motopropulseur qui comprend le plus souvent un, deux ou quatre moteurs, est l'un des composants principaux de l'avion. Cette caractéristique est souvent utilisée pour classer les avions : mono, bi ou quadrimoteur, bi ou quadriturbopropulseur, mono, bi ou quadriréacteur.
Lorsqu'elle tourne, cette spirale sert à identifier que le réacteur est en marche. Ce moyen visuel permet d'avertir les équipes au sol, souvent situées à proximité des avions, de s'en tenir éloigné pour éviter tout risque d'aspiration.
On peut croire que l'avion risque de se casser ou qu'il risque de tomber jusqu'au sol, mais il n'en est rien. Même si l'on voit les ailes bouger et que l'on entend des bruits spécifiques, les turbulences ne peuvent provoquer aucun dommage à un avion moderne.
Il est possible de diminuer son niveau d'anxiété grâce à des techniques de relaxation comme la cohérence cardiaque, qui est un exercice de respiration antistress, ou la méditation. L'aromathérapie peut aussi aider, avec des huiles essentielles permettant de se sentir mieux.
Bref, vous l'aurez compris, si les rafales sont inférieures à 50km/h de vent il n'y a jamais de question à se poser. Si ces 50 km/h de vent viennent totalement de travers alors certains vols vont commencer à être annulés.
En situation de fortes rafales, les avions ont tendance à décoller avec le vent de face ce qui a même tendance à améliorer la portance et aider l'avion à décoller. La sécurité est primordiale en aviation et des briefings précis sont mis en place avant le décollage, il n'y a pas lieu de s'inquiéter.
Ce qui apparaît sur une carte ou une surface plane comme une ligne droite n'est pas la distance la plus courte entre deux points.. C'est parce que la terre n'est pas plate., mais c'est une sphère. Donc, la distance la plus courte entre deux points sur une sphère est un arc plutôt qu'une trajectoire droite et constante.