Contrairement à la plupart des autres matériaux de construction, le bambou est totalement recyclable. Les déchets de bambou recyclés sont par exemple largement utilisés dans la culture d'autres végétaux et même pour la production d'engrais.
Le bambou peut contribuer à la déforestation
La monoculture épuise les sols, éradique la biodiversité nécessaire, et génère donc plus de risques de maladies. Une fois le bambou installé, impossible de retrouver la biodiversité originelle. Autre impact écologique non-négligeable : son empreinte carbone.
Le bambou absorbe le CO2
Plusieurs études s'accordent à dire que l'absorption du gaz à effet de serre par une forêt de bambou serait 3 fois plus importante qu'un volume équivalent d'arbres ! Une bambouseraie est ainsi un puits de carbone intéressant dans une logique de réduction et de compensation de son empreinte.
On retrouve le palmier, le carton, l'amidon ou encore le bois et la bagasse. Il est important de jeter ce type de vaisselle dans la poubelle de recyclage après usage. Certaines matières sont aussi compostables comme c'est le cas du Bambou ! On retrouve les produits OK COMPOST qu'il faudra jeter dans les bacs à compost.
Le tronc des bambous est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour construire d'impressionnants échafaudages, notamment pour la construction des gratte-ciels. Les bambous servent aussi à la construction de divers objets : meubles, parquet, cloisons, petites maisons, pilotis, ponts de singes, bungalows, etc..
Un bambou a besoin de 900 à 1000 mm d'eau par an pour bien se développer. L'année de sa plantation, un bambou ne doit pas manquer d'eau. L'eau de pluie ne sera pas suffisante pour couvrir ses besoins.
Les feuilles de bambou sont souvent consommées en infusion, seules ou avec d'autres plantes. Vous pouvez donc faire bouillir de l'eau et la verser dans une tasse avec 2 à 4 grammes de feuilles de bambou. Ensuite, vous pouvez boire l'eau infusée comme pour toutes vos tisanes !
Pense-bête : le bambou peut servir à fabriquer des clôtures, des poutres, des charpentes, des murs, des planchers, et même des maisons entières et des ponts.
Attention au chauffage au micro-ondes !
Pure ou mélangée à d'autres substances, la mélamine supporte mal la chaleur : elle libère des molécules toxiques comme le formaldéhyde. Interdiction, donc, de faire chauffer la vaisselle en bambou mélaminé au micro-ondes.
La vaisselle en bambou peut être lavée au lave-vaisselle, mais vous devez éviter les bosses ou les éraflures indésirables. Cependant, si vous les lavez à la main, il est préférable d'utiliser une éponge douce qui ne cause aucun dommage et qui nettoie parfaitement les résidus alimentaires.
Le bambou est léger, solide, ultra-renouvelable et compostable, ce qui en fait le choix idéal pour les produits écologiques.
En effet, le bambou absorbe 5 fois plus de gaz à effet de serre et produit 35% d'oxygène supplémentaire qu'un volume d'arbres équivalent ! Il a une capacité de rétention très importante de CO2 puisqu'un hectare de bambouseraie peut capter jusqu'à 60 tonnes de CO2 chaque année.
Après ses 2000 hectares de bambou Moso plantés en Italie par ses 900 agriculteurs partenaires, l'entreprise Onlymoso a a commencé à développer la culture du bambou en France depuis 2019. La première plantation a eu lieu dans l'Ain sur 1 hectare, et 3 autres plantations ont suivi cette même année.
Ses atouts sont nombreux et variés : de croissance très rapide et ultra-léger, dans la construction le bambou nécessite dix fois moins d'énergie que le béton. Extrêmement solide (27% plus résistant que le chêne), le bambou ne pourrit pas, isole remarquablement, et est aussi totalement recyclable.
Les pousses de bambou contiennent du potassium. Dans l'organisme, il sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d'acide chlorhydrique par l'estomac, favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles, incluant le coeur, et participe à la transmission de l'influx nerveux.
Créé à partir d'une canne de bambou coupée au niveau du nœud, c'est une alternative écologique et naturel à l'éco-cup en plastique. Idéale pour les restaurateurs et bars, souhaitant devenir acteurs d'une consommation responsable tout en développant une image de marque original.
Des chercheurs ont créé un bambou six fois plus solide que l'acier à poids égal en le faisant rétrécir au micro-ondes. Ce nouveau matériau, entièrement renouvelable, pourrait servir à la construction de bâtiments à l'infrastructure ultralégère, mais aussi à des voitures ou des avions plus propres.
La brosse à dents en bambou n'a rien à envier à sa concurrente en plastique. Elle est bien plus jolie, légère et solide. Elle est plus agréable à prendre en main et plus douce aussi… c'est pourquoi elle est si appréciée. Elle ne pourra qu'embellir votre salle de bain zéro déchet !
La brosse à dents jetée au bac jaune termine donc probablement sa vie enfouie ou incinérée. Pour éviter cela, et parce les brosses à dents représentent 5000 tonnes de déchets annuels en France, Bioseptyl prend en charge la fin de vie des brosses à dents toutes marques confondues.
Pour cela, retirer les poils en nylon de votre brosse à l'aide d'une pince. Les bagues métalliques qui aident à fixer ces poils vont automatiquement se séparer de la brosse à dents. Une fois que votre manche en bambou est nu, l'opération est terminée et vous pouvez passer au recyclage.
Le panda géant mange du bambou pendant 12 à 16 heures par jour. Environ 99% de son régime alimentaire est constitué de bambou. Pourtant, le panda géant appartient à la famille des ursidés, appartenant elle même au groupe des carnivores.
Il dispose d'un puissant effet anti-inflammatoire. Ainsi, le bamboosil (Bamboo Silice) est un remède efficace pour traiter tous les maux ostéo-articulaires. On parle des inconforts articulaires, des douleurs dorsales, des tendinites, de l'ostéoporose et de la déminéralisation.
Ainsi, en ce moment, Nandina domestica (ou bambou sacré) est très à la mode. Son feuillage coloré, sa floraison estivale et ses baies rouges sont appréciés pour leur couleur flamboyante. Or, toutes les parties de la plante sont toxiques pour l'homme à cause de la nandeline qu'elle renferme.
Les spécialistes recommandent de procéder à la taille entre mars et mai. C'est-à-dire au moment de l'apparition de nouvelles tiges, alors que les feuilles ne sont pas encore présentes. Ensuite, vous allez faire une seconde coupe en juin ou en juillet lorsque les feuilles apparaissent.