Les prix continueront probablement de grimper en 2022. Trading Economics prédit que les prix du bois augmenteront de 16% d'ici octobre de l'année prochaine ( plus de détails ici).
Conséquence de l'inflation, les prix du bois ont augmenté par endroits de 10 à 15% en un an. Il n'y a pas de risque de pénurie selon les professionnels, mais il faut s'attendre à des délais importants pour le bois sec en septembre.
Dans les semaines à venir, il est donc possible de s'attendre à une baisse d'environ 15 à 30% sur divers articles, notamment ceux destinés aux projets d'aménagement paysager.
Une chose est sûre : le prix du bois de chauffage a explosé au cours des dernières années et particulièrement en 2022. Le prix du stère, c'est-à-dire d'un mètre cube de bois, a augmenté de plus de 20 % en un an : alors qu'il était de 116 € en 2021, il a bondi jusqu'à 143 € en moyenne en 2022.
Anticipez votre achat.
Le bois de chauffage devrait logiquement augmenter de +30% cette année. Chez Simplyfeu nous allons faire tout notre possible pour limiter la hausse au maximum. Imports de bois de charpente depuis l'Europe vers les Etats Unis.
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
Inflation : "La baisse des prix devrait commencer en 2023" estime l'économiste iséroise Virginie Monvoisin.
Après une année 2021 marquée par la reprise post-pandémie, le début d'année 2022 se gâte pour les matériaux de construction.
Allègement pour les chantiers de construction : les coûts de construction vont baisser avant la fin 2022. Le coût des matériaux de construction est proche de son pic et entamera une trajectoire descendante progressive au cours des prochains mois, selon les projections du cabinet de conseil CBRE.
Le prix du bois, toutes essences, est de 81 €/m3 en 2021 (contre 61 € / m3 l'année précédente) ; c'est le plus haut niveau atteint depuis 2001, début des analyses de l'indice.
Actuellement, le prix du stère de bois de chauffage balance entre 30 et 120 €. La plupart du temps, il est entre 50 € et 70 €. Ce qui donne une moyenne de 0,04 € / kWh. Il est évident que ces prix changent suivant les frais de transport du bois car ils constituent entre 20 à 30% du prix.
L'indice général du prix de vente des bois sur pied en forêt privée progresse ainsi de 34 % en 2021, comparé aux 2 % de 2020 et à la baisse de 10 % en 2019. Le prix atteint 81€/m3, contre 61 €/m3 en 2020, soit une augmentation de 20 € le m3 de bois sur pied.
Cette année, les crédits immobiliers, les terrains et les maisons sont touchés par l'inflation. Mais la période actuelle reste favorable aux projets de construction. Logique : tout sera encore plus cher en 2023 ! C'est le moment d'acheter.
C'est pourquoi, beaucoup de fournisseurs de bois de construction se tournent vers l'Europe et importent des matières premières comme le bois, ce qui fait augmenter leurs prix et crée cette hausse des prix du bois. C'est le cas du prix du bois de menuiserie qui a quasiment doublé dans certaines régions françaises.
L'ensemble des coûts des matières premières (ex : acier et métal pour des pièces de machine de production, bois dans les exploitations forestières etc.), de la production et du transport (livraison) ont explosé. Face à ces augmentations, les produits bois énergie se sont vus imposer une forte augmentation tarifaire.
Selon les calculs de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), notre pouvoir d'achat va reculer de 0,8%. C'est la première fois qu'une telle baisse est observée depuis 10 ans. Bruno Le Maire entrevoit une sortie du pic d'inflation vers 2023.
Selon l'étude, les prix de certains matériaux ont plus augmenté que d'autres : menuiserie-serrurerie +21,5% ; maçonnerie-entreprise-générale +19,4%, couverture-plomberie-chauffage +17% ; aménagement-décoration-plâtrerie et électricité +16,4%.
Quels sont les matériaux les plus touchés par les pénuries et les hausses de prix ? Tous les matériaux sont concernés : acier, bois, isolants, consommables (visserie, quincaillerie…), carrelage, tuiles, menuiserie alu et PVC, composants électroniques/électriques, etc.
La hausse des coûts de construction
Avec 1,2 million de transactions, l'année, 2021 a été celle de tous les records. Pourtant, beaucoup d'incertitudes planent sur le marché de l'immobilier en 2022. La frilosité des mairies et le contexte sanitaire pèsent sur le logement. L'offre de biens a diminué de 6 % sur un an.
Après une année 2022 qui s'annonce, une nouvelle fois, historique pour le marché de l'immobilier, de nombreux observateurs s'attendent à un ralentissement en 2023. Si une baisse des prix est envisageable, le manque d'offres risque bien, du moins dans certaines zones tendues, de continuer à les gonfler artificiellement.
Le prix moyen des maisons au pays pourrait chuter de 20% à 25% en 2023, après que ceux-ci ont explosé pendant la pandémie de COVID-19, selon un rapport de la Banque TD. Les prix ont déjà commencé à baisser au cours de l'été dans certaines régions du pays, une tendance qui pourrait perdurer.
Les bois résineux (plutôt tendres) : pins, sapin, épicéa, mélèze. Pour un poêle, ils sont à éviter. Ils projettent des braises en se consumant et encrassent les conduits à cause de leur résine.