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Le ça désigne la part la plus inconsciente de l'homme, c'est le réservoir des instincts humains, le réceptacle des désirs inavoués et refoulés au plus profond. Ces besoins pulsionnels ont besoin d'être canalisés, notamment via la sublimation (qui consiste à réaliser de manière détournée un désir pulsionnel).
Le ça (en allemand : das Es) désigne, sous la forme substantivée du pronom personnel de la troisième personne du singulier, au genre neutre, l'une des trois instances de la seconde théorie de l'appareil psychique élaborée par Freud. Selon Laplanche et Pontalis, il « constitue le pôle pulsionnel de la personnalité ».
Le Ça, le siège des désirs et des pulsions refoulées, est guidé par le principe du plaisir. Le Moi, qui est le médiateur entre les deux autres instances, est guidé par le principe de Réalité. Le Surmoi, qui représente la conscience morale et l'intériorisation des interdits de l'enfance, agit comme le juge censeur.
Son rôle est de préserver l'équilibre psychique du sujet en s'adaptant aux contraintes de la réalité extérieure. Une partie du Moi accède à la conscience alors qu' une autre partie est infiltrée par l'inconscient du fait des ressentis internes. Le moi est donc à la fois conscient et inconscient.
Hume, au contraire, répond par la négative : le moi n'existe pas. L'homme n'est, en dernière analyse, que multiplicité de perceptions, sans aucune unité. Le fondement de ce refus de l'existence du moi n'est autre que sa théorie empiriste de la connaissance.
Prendre conscience des stratégies, les nommer, c'est les faire exister comme un super-pouvoir. Donner un nom au super-pouvoir, c'est trouver un mot, une expression, c'est inventer un mot composé ou une devise qui rend compte de cette force particulière.
Le rôle premier de l'inconscient est de nous maintenir en vie. L'inconscient active chaque seconde toutes nos fonctions vitales (respiration, battement du coeur, système immunitaire…etc…). La fonction de l'inconscient agit sur notre physique. Toutes les actions vitales de notre corps se font naturellement.
le ça: instance psychique, structure psychologique de l'inconscient (Freud). Le terme "ça" a été inventé par Georges Groddeck en 1923. Il fut repris et conceptualisé la même année par Sigmund Freud; Dans la théorie freudienne, l'instance psychique "ça" représente les intérêts pulsionnels de l'individu.
Dès lors, le moi ne serait pas maître dans sa propre maison : non pas qu'il habite une maison qui n'est pas la sienne, mais plutôt qu'il n'est pas en permanence en train de contrôler ce qu'il se passe chez lui.
C'est la partie de la personnalité la plus consciente, toujours en contact avec la réalité extérieure. Le Moi s'efforce de faire régner l'influence du monde extérieur sur le ça. Soumis au principe de réalité, il a un rôle de régulateur et de médiateur. Ses opérations sont inconscientes (mécanismes de défense).
Le moi et l'altérité
Dans la philosophie classique, ou en général dans la réflexion philosophique, le moi représente la conscience individuelle de l'empirique dans le sujet : conscience des changements et fluctuations d'un quelque chose d'invariant.
Nom commun. (Philosophie) Tout ce qui nous est extérieur, par opposition au moi métaphysique. Notion d'absolu, réalité psychique consensuelle qui dépasse/transcende certaines réalités du moi individuel. Réalité qui ne dépend pas de l'Ego personnel.
Qu'est-ce que le subconscient ? Plusieurs mots en psychologie servent à décrire le psychisme humain. L'inconscient correspond à l'ensemble des phénomènes psychiques auquel notre conscience n'a pas accès. Par opposition, le conscient est la perception immédiate de notre état psychique.
Le psychisme comporte des fonctions, qui sont des processus actifs donnant des capacités. Ce sont le contrôle émotionnel, la fonction de réalité (qui permet de distinguer réalité et imagination), les grandes fonctions cognitives et représentationnelles.
Le surmoi, lui, est l'héritier de l'autorité parentale. Il se forme en intériorisant les critiques et les jugements parentaux. Ce surmoi, issu des apprentissages au cours des années d'enfance, se construit au contact des interdits. Et notamment, le principal qui structure la vie humaine : l'interdit de l'inceste.
Le moi va se trouver alors « dans un système de pensée appelé première topique » qui comprend le conscient, le préconscient et l'inconscient.
Le surmoi anthropologique, c'est donc la limite que la culture impose à l'individu pour qu'il renonce à la satisfaction immédiate de ses pulsions. Il n'y a culture que si chacun sait différer sa satisfaction, ou l'élaborer psychiquement à travers une représentation.
Notre inconscient, fruit de notre histoire, cause cachée de nos désirs, de nos comportements et de nos malaises, nous échappe. Pourtant, c'est un ami. Il nous dit qui nous sommes, pointe nos difficultés et nous permet d'être plus indulgent avec nous-même. D'où la nécessité de savoir l'écouter.
« La représentation inconsciente, après le refoulement, subsiste en tant que formation réelle dans le système inconscient », écrit Freud, et la réalité des représentations refoulées se juge à leur activité, en particulier à leur effet d'attraction et donc de déformation du cours des pensées.
L'hypnose pour libérer la puissance du subconscient
Il s'agit de l'hypnose. L'hypnose est une méthode de plus en plus reconnue et pratiquée même par la médecine. La force de l'hypnose réside dans le fait qu'elle permet à l'individu d'aboutir à un changement de comportement en agissant directement sur le subconscient.
Pour obtenir des pouvoirs physiques, vous allez devoir rester en bonne forme physique. C'est un processus continu qui va vous amener à évoluer et à vous améliorer en permanence. Soulevez des haltères pour augmenter votre force.
Les super-pouvoirs peuvent être physiques ou mentaux. Ils peuvent avoir été obtenus par les héros de façon innée ou avoir été acquis de façon fortuite ou au terme d'une quête. On trouve des héros possédants un unique pouvoir, d'autres en possédant une multitude.
Les régimes démocratiques sont organisés selon le principe de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire afin d'éviter leur concentration entre les mains d'une seule personne.