Les rapaces ne sont pas casher mais d'autres types oiseaux peuvent être mangés : les poulets, les canards, les oies et les dindes le sont. 4. Les animaux doivent être abattus par un rabbin qualifié et leur sang doit avoir été drainé.
Cependant, et bien qu'il soit interdit à un Juif de châtrer un animal, raison pour laquelle on ne trouve en principe pas de bœuf, de chapon, etc. en Israël, il est licite d'abattre et consommer la chair d'un animal préalablement castré par un Gentil. Le canard et l'oie sont donc bien autorisés.
Les tourterelles et jeunes pigeons sont purs, étant les seuls oiseaux admis pour une offrande. Les volailles de basse-cour (poulet, canard, oie, dinde, pintade) sont toutes potentiellement pures.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin. Tout produit animal ou dérivés d'un produit animal en provenance d'un animal Non-Certifié
Tout aliment contenant du sang, animaux terrestres ou ailés, ainsi que les œufs qui pourraient être tachés de sang. C'est pourquoi la saignée de la viande est pratiquée lors de l'abattage (par un rabbin) complétée par la cachérisation pour enlever les dernières gouttes de sang (viande grillée, jus jeté).
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
Tout ce qui a nageoires et écailles et vit dans l'eau, mers ou fleuves, vous en pourrez manger.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Le Deutéronome, XIV, 3-8, précise : "Tu ne mangeras rien d'abominable. Voici les animaux que vous pourrez manger : le boeuf, le mouton, la chèvre, le cerf, la gazelle, le daim, le bouquetin, l'antilope, l'oryx et la chèvre sauvage.
Les animaux marins tels que les homards, les crabes, les seiches et les anguilles ne sont pas casher. 3. Les rapaces ne sont pas casher mais d'autres types oiseaux peuvent être mangés : les poulets, les canards, les oies et les dindes le sont.
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Dans la religion juive, les aliments carnés et lactés ne sont jamais associés. On ne peut par exemple consommer, après un repas à base de viande, un dessert à base de beurre. L'utilisation d'huile ou de margarine est donc très courante dans la cuisine juive, même pour la pâtisserie.
Le mot cacher signifie tout simplement « apte » ou « conforme ». Manger cacher pour un Juif, c'est suivre un commandement de Dieu (une Mitsva), et absorber une nourriture divine. Les règles qui régissent l' alimentation cacher s'appellent la « cacherout ». Elles sont inscrites dans la Torah.
Tous les aliments provenant du lait ou contenant du lait sont classés comme produits laitiers, y compris le lait, le beurre, le yogourt et tous les fromages (durs, mous et crémeux). Les produits laitiers doivent répondre aux critères suivants pour être considérés cachères : Ils doivent provenir d'un animal cachère.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Selon le même organisme, la méthode employée pour la viande kasher et halal entraîne de graves souffrances et deux minutes peuvent s'écouler entre les incisions et la mort de l'animal.
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
Sur chaque emballage de viande vendue en supermarché figure le numéro d'abattoir commençant par les deux chiffres de son département. Si celui-ci fait partie de la liste de l'OABA, cela signifie qu'il ne pratique pas l'abattage rituel et, donc, que la viande que vous avez devant vous provient d'un animal étourdi.
Concernant les poissons, il n'y a pas de cachérisation, contrairement à la viande. Un poisson est ou n'est pas cacher : "Parmi tout ce qui est dans les eaux, tout ce qui n'a ni nageoires ni écailles, vous ne mangerez pas, ce sera impur pour vous." (Deutéronome, XIV, 9-10).
Les écailles du thon sont toutes petites. Le thon possède une nageoire anale, deux nageoires dorsales et des pinnules ( toutes petites nageoires ) qui se situent derrière la deuxième nageoire dorsale. Le thon blanc est plus petit que le thon rouge. Le nom scientifique du thon blanc est thunnus alalunga.
Le corps du maquereau revêt la forme hydrodynamique d'un fuseau élancé. Couvert de minuscules écailles fines et adhérentes, il se termine par un long et mince pédoncule caudal et une queue fine et échancrée en forme de croissant. Le dos porte deux nageoires relativement éloignées l'une de l'autre.