Souvent, le cancer du rein se développe sans provoquer de symptôme particulier. Néanmoins, il arrive qu'un cancer du rein entraîne une hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines, une douleur dans le flanc ou qu'il se matérialise par une masse palpable au niveau des lombaires.
Les signes les plus classiques sont la présence de sang visible dans les urines (hématurie), une douleur au niveau des flancs ou la présence d'une masse lombaire palpable.
Quand s'inquiéter et qui consulter ? Dès lors que vos douleurs s'intensifient ou que vous présentez les symptômes associés des calculs rénaux ou d'une pyélonéphrite, prenez rendez-vous sans tarder avec un médecin généraliste pour effectuer les premiers examens, et recevoir un traitement pour soulager la douleur.
Les reins peuvent déclencher des douleurs qui peuvent irradier en bas du dos. Il s'agit principalement de : la colique néphrétique : douleur provoquée par un calcul sur les voies urinaires (une intervention chirurgicale est nécessaire dans 10 à 20 % des cas) ; la pyélonéphrite : infection haute des voies urinaires.
Dans environ 85 % des cas, les cancers du rein proviennent des cellules du tissu rénal : on parle de « carcinome des cellules rénales ». Dans 85 % des cas, ce cancer se développe dans un seul des deux reins.
La survie nette après 5 ans pour le cancer du rein et le cancer du bassinet du rein est de 73 %. Cela signifie qu'environ 73 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer du rein ou du bassinet du rein survivront au moins 5 ans.
Sans traitement, la tumeur va progressivement envahir le rein, les vaisseaux qui l'irriguent (veine rénale et veine cave), les organes voisins (glande surrénale, ganglions), voire migrer sous forme de métastases dans d'autres organes : le poumon (dans 75 % des cas), le foie, les os, le cerveau, etc.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Douleurs abdominales/ lombaires. Brûlure pendant la miction, avec un besoin impérieux d'uriner. Traces de sang dans l'urine (changement aussi d'odeur et de couleur) Manifestations digestives, diarrhée, nausées, vomissements.
L'eau est la meilleure boisson pour la santé des reins. La recommandation officielle est de boire de 1,5 à 2 litres par jour. C'est l'équivalent de 8 verres d'eau par jour.
La douleur diffuse dans le bas-ventre peut s'accompagner de troubles digestifs. Il s'agit souvent de la conséquence d'une infection urinaire non soignée. Des envies fréquentes d'uriner, une douleur lors de la miction ou encore des urines rouges et malodorantes surviennent.
"Non, le café n'est pas particulièrement mauvais pour les reins", note la nutritionniste. Il est cependant recommandé d'en limiter la consommation, surtout s'il s'agit de café soluble ou de chicoré.
Il n'y a pas de « marqueur » sanguin du cancer du rein. L'échographie abdominale permet de mettre en évidence une masse solide, ou kystique atypique avec parfois des calcifications. C'est le premier examen de “débrouillage”.
Les kystes rénaux provoquent des douleurs chez la majorité des malades. Les douleurs aiguës peuvent être dues à une infection, au saignement d'un kyste ou au déplacement d'un calcul rénal. Les douleurs chroniques sont localisées ou diffuses (douleurs lombaires, abdominales ou dans le flanc).
Une fine aiguille est alors introduite dans le rein afin de prélever les fragments qui seront analysés. Grâce à l'anesthésie locale, cet examen n'est pas douloureux.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
Il faut absolument consulter son médecin si : Le mal de dos est consécutif à une chute, un choc, ou un coup et ce tout particulièrement chez les femmes de plus de 65 ans, chez les personnes qui fument, consomment de l'alcool, prennent des corticoïdes, présentent un diabète ou ont des antécédents de cancer.
Riches en eau et en antioxydants, les fruits rouges ont des vertus détoxifiantes. Ceux aux couleurs sombres comme la myrtille, les mûres et les canneberges sont les meilleurs pour les reins.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Le cancer du rein est le plus souvent traité par la chirurgie lorsqu'il est localisé ou localement avancé. Lorsque le cancer a formé des métastases, le traitement repose sur des médicaments de thérapies ciblées et d'immunothérapie, associés ou non à la chirurgie.
La néphrectomie partielle consiste à enlever la tumeur au rein ainsi qu'un peu de tissu sain tout autour. Cette chirurgie permet de laisser le reste du rein en place. La néphrectomie partielle est parfois appelée chirurgie conservatrice du néphron ou chirurgie conservatrice du rein.
Votre médecin ou le radiologue vous a prescrit une IRM rénale. Cet examen fait généralement suite à une anomalie découverte en échographie ou au scanner. Elle permet par exemple la caractérisation de nodules découverts au scanner ou en échographie. Il est également indiquée pour explorer certains cas d'hématurie.