Il n'est pas possible de contrer un contre-uno. Si vous n'avez pas crier UNO de manière distincte lorsque qu'il ne vous reste plus qu'une seule carte, les autres joueurs peuvent crier contre-uno pour vous obligé à piocher ensuite 2 cartes en guise de pénalité, mais il n'est pas possible de contrer un « contre-uno ».
Le joueur doit dans tous les cas annoncer « UNO » avant de poser sa dernière carte. S'il abat sa dernière carte sans jamais avoir dit « UNO », et qu'un adversaire annonce « CONTRE-UNO » avant lui, le "vainqueur" doit reprendre deux cartes ; la manche continue.
Fin d'une manche
S'il oublie et que l'un de ses adversaires le lui fait remarquer (en criant CONTRE-UNO) avant que le joueur suivant n'ait joué, il doit piocher deux cartes de pénalité. La manche est finie lorsqu'un joueur a posé sa dernière carte.
Attention : lorsqu'un joueur n'a plus qu'une carte en main, il doit l'annoncer aux autres de manière distincte en criant « Uno ». Si cette formalité est oubliée ou omise et qu'un adversaire le remarque, il doit piocher deux nouvelles cartes en guise de pénalité.
À propos des cartes noires et changement de sens...
Oui il est possible de finir par une carte noire (+4/changement de couleur). Quand nous sommes plus que deux à jouer, la carte changement de sens ne permet pas de rejouer, il s'agit d'une carte lambda.
+2 : En posant cette carte, vous contraignez le joueur intervenant après vous à piocher 2 cartes supplémentaires ET à sauter son tour. Si ce dernier contre votre +2 en posant la même carte, celui après lui devra piocher 4 (2+2) cartes… ainsi de suite.
Selon Yannick, interviewé par Konbini ce vendredi, "il est absolument interdit d'enchaîner les +2 au UNO". Pour ceux qui se demandent, il en va de même, évidemment, des +4 et autres cartes du même type.
Yannick a aussi apporté une précision sur la carte « changement de sens » ou « inversion ». Elle est inutile lorsqu'on est que 2 joueurs, il en effet « absolument interdit de jouer deux fois ». Peut-on finir par une carte noire (+4, changement de couleur) ? Cette question aussi peut faire vriller une partie.
Les actions des cartes "+2" ne s'additionne pas et le dernier joueur, sur lequel la "chaîne" de cartes "+2" est posée, ne pioche que deux cartes du paquet et passe son tour.
Enfin il est interdit de mettre d'un seul coup plusieurs cartes portant le même chiffre et il est possible de finir avec carte dite "noire" (changement de couleur ou +4).
Ou toute autre carte noire. Il faut absolument finir ta partie avec une carte de couleur. C'est la loi qui le dit.
Que se passe-t-il si l'on termine la partie avec une carte « Joker » ? Contrairement à une idée reçue, on peut tout à fait finir la partie avec une carte « Joker ». Si la carte est jouée pour terminer la partie, il ne se passe rien et on débute directement le décompte des points.
Lorsqu'un joueur joue son avant-dernière carte, il doit immédiatement annoncer à voix haute UNO pour indiquer à ses adversaires qu'il n'a plus qu'une seule carrte en main. S'il l'oublie, et qu'un de ses adversaires s'en apercoit et lui fait remarquer, il doit alors tirer 2cartes de pénalités dans la pioche.
Lorsqu'un joueur pose son avant-dernière carte, il doit immédiatement crier «UNO» (qui signifie «un») pour indiquer à ses adversaires qu'il n'a plus qu'une seule carte en main. S'il oublie et si l'un de ses adversaires le lui fait remarquer avant que le joueur suivant n'ait joué, il doit piger deux cartes.
Tu débutes la partie avec 7 cartes en main. Lorsque c'est ton tour, il faut que tu poses une carte portant le même chiffre ou la même couleur que celle qui est sur la table. Quand un joueur place son avant-dernière carte, il doit crier « UNO ! ». Le but du jeu : être le premier à ne plus avoir de cartes en main.
C'est en tout cas ce que vient d'annoncer Uno sur Twitter : il est interdit d'additionner les +4 et les +2 et forcément ça fait l'effet d'une bombe car c'est une pratique plus que courante pour les joueurs.
Au-delà du fait qu'on ne peut pas cumuler les +4, cette redoutable carte ne peut être jouée que si on n'a pas la couleur demandée. A cela s'ajoute une règle supplémentaire : "Le joueur qui reçoit le +4 a le droit de challenger la personne qui lui a donné, et donc de vérifier si elle n'a pas la couleur demandée".
Bingo pour le Uno !
En 1971, Merle Robbins, modeste coiffeur de l'Ohio, s'écharpe avec son fiston sur les règles très compliquées du huit américain. Il imagine alors un jeu de cartes bien plus simple qu'il surnomme Uno.
Si le joueur ne possède pas de carte lui permettant de jouer, il pioche une carte : si cette carte peut être jouée, IL A LE DROIT DE LA POSER. Sinon, il passe son tour et la conserve dans son jeu. Le joueur peut choisir de ne pas jouer une carte, il pioche alors une carte.
Le jeu de cartes, le « 8 américain » a été modifié et vendu dans le salon de coiffure d'un barbier américain, Merle Robbins et son fils Ray, suite à une dispute pendant une de leurs parties.
La Bataille commence par la distribution de l'ensemble des cartes face cachée à tous les joueurs. En même temps, les joueurs vont poser face visible la première carte de leur paquet. La carte la plus forte remporte les autres (suivant l'ordre : Joker, As, Roi, Dame, Valet, 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2).
ATTENTION : L'ordre des cartes de la plus faible à la plus forte est: 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, Valet, Dame, Roi, As.
Quant au prénom Jack, il vient corroborer le film Batman de Tim Burton dans lequel le super-vilain s'appelait Jack Napier, et le comics Gotham Knights n°54 dans lequel, avant de devenir le Joker, il est également nommé "Jack". A noter qu'Oswald est aussi le vrai prénom du Pingouin, Oswald Cobblepot.
À la tête de ce gang, il supervise le cambriolage de l'usine Ace Chemicals, où il rencontre Batman ; Jack Napier engage le combat contre ce dernier mais Batman le fait tomber dans une cuve d'acide. Défiguré, rendu complètement fou, il se donne le surnom de Joker.