L'air sec se compose, pour l'essentiel, d'azote (78,08 %), d'oxygène (20,95 %) et, pour moins de 1 %, de gaz rares comme l'argon (0,93 %), le néon (0,0018 %, 18,18 ppm), le krypton (1,14 ppm), le xénon (0,08 ppm), l'hélium (5,24 ppm) et, dans les basses couches, de la vapeur d'eau, du dioxyde de carbonedioxyde de ...
L'air est un mélange gazeux, il est composé majoritairement : de diazote (78 %) dont la formule chimique est N2 ; de dioxygène (21 %) dont la formule chimique est O2.
Les deux gaz principaux de l'atmosphère terrestre, diazote N2 (78%) et dioxygène O2 (21%) sont pratiquement transparents et n'ont donc qu'une influence minime sur la température de la Terre. Ce sont en fait certains constituants mineurs de l'atmosphère qui influent sur le climat.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Ce que nous appelons « air » se compose de…
L'air sec se compose d'environ 78 % d'azote, 21 % d'oxygène et 1 % d'argon. L'air contient également de la vapeur d'eau qui représente entre 0,1 et 4 % de la troposphère. L'air chaud contient généralement plus de vapeur d'eau que l'air froid.
L'air contient un gaz indispensable à la vie : le dioxygène (O2). Les êtres humains, les animaux et les végétaux l'absorbent et rejettent du dioxyde de carbone. Un humain consomme en moyenne, chaque jour, environ 15 000 l d'air et 1,5 l d'eau.
C'est lui qui permet de retenir une partie de la chaleur fournie par le soleil. Sans effet de serre, pas de vie sur Terre, il y ferait des températures négatives en permanence. Le principal gaz à effet de serre est d'ailleurs la vapeur d'eau.
Le dioxyde de carbone s'est fixé dans les sédiments (roches calcaires) et s'est dissout dans l'eau. L'apparition de formes de vie dans l'eau puis à la surface de la Terre (vie végétale) a permis la production de dioxygène, pour aboutir à la composition actuelle de l'air.
L'air n'est rien d'autre qu'un mélange de divers gaz. L'air dans l'atmosphère se compose d'azote, d'oxygène, qui est une substance indispensable à la survie des animaux et des hommes, de dioxyde de carbone, de vapeur d'eau et de petites quantités d'autres éléments (argon, néon, etc.).
Les êtres vivants peuvent absorber du dioxygène dans l'air qui nous entoure puisque celui-ci est composé principalement de 2 gaz : le dioxygène (environ 20 %) et le diazote (environ 80 %). Les êtres vivants qui prélèvent le dioxygène dans l'air ont une respiration appelée respiration aérienne.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
Selon un rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), publié en octobre 2018, le seuil de 1,5 °C de réchauffement sera franchi entre 2030 (horizon pessimiste) et 2052 (horizon optimiste).
Le dioxyde de carbone (CO2) est le premier GES émis par l'homme. On mesure d'ailleurs l'effet des autres gaz par rapport à lui en équivalent CO2. Il représente 77 % des émissions.
À l'échelle du siècle, le méthane est tout de même 25 fois plus puissant que le gaz carbonique en potentiel de réchauffement global (PRG) ! À quantité égale, le méthane est donc plus puissant en effet de serre que le CO2.
Le dioxyde de carbone (CO2) est principalement issu de la combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon) et de la biomasse. Comme l'eau, le CO2 participe au cycle de la photosynthèse des plantes. C'est donc un gaz à effet de serre naturel et indispensable, dans une certaine limite de concentration.
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Le risque d'extinction de l'humanité a été "dangereusement sous-exploré". C'est l'alarmante conclusion d'une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
Après elle, les viandes les plus « polluantes » sont l'agneau de lait (côté gaz à effet de serre, la production d'1 kg de viande équivaut à un trajet de 180 km), le bœuf (70 km), le porc (30 km)...
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).