Il existe au sein du cœur un certain nombre de structures neuronales organisées sous forme de plexus. Des circuits neuronaux locaux (interneurones) au sein de ganglions intracardiaques permettent l'intégration et le traitement d'informations nerveuses assurant la modulation de la fonction cardiaque.
On ne le sait pas forcément, mais dans notre cœur se niche un système nerveux intracardiaque (SNI), une sorte de petit cerveau, jouant un rôle essentiel dans la modulation de cet organe.
On compte des milliards de neurones un peu partout dans un organisme humain (cerveau, moelle épinière et nerfs). Plusieurs formes de neurones sont possibles, mais ils possèdent tous les trois structures de base : l'axone, le corps cellulaire et les dendrites.
Le cerveau constitue le centre de contrôle du corps humain, il gère tout ce que nous faisons.
Qu'est-ce que la variabilité du rythme cardiaque? Notre cerveau fait battre notre cœur selon ce que demande l'endroit ou encore la situation où nous sommes, l'émotion et la pensée qui nous habitent. Il contrôle et envoie les messages à travers notre système nerveux autonome (système sympathique vs parasympathique).
Le cœur a la particularité d'être un système autonome, commandé par une activité mécanique et électrique qui lui est propre.
Aujourd'hui, on est un peu revenu sur ce « matérialisme » biologique, et les connaissances les plus récentes montrent que le sentiment amoureux résulte d'une interaction complexe entre les cerveaux (le cerveau des instincts, celui des émotions et le cerveau logique) et le coeur.
"Non, le cœur ne contient pas de mémoire", explique un neurobiologiste, mais une greffe peut agir sur l'état émotionnel.
Notre ventre abrite plus de 200 millions de neurones connectés qui transmettent des ordres.
Pour faire circuler le sang dans le corps, le cœur se contracte et se dilate. Cette action de pompage s'illustre bien par l'alternance du serrement et du desserrement d'un poing. Chaque battement, le cœur expulse du sang dans les artères. C'est ce qui crée le pouls.
le motoneurone, ou neurone moteur ; le neurone pyramidal ; le neurone bipolaire ; le neurone à orexineneurone à orexine.
Le globicéphale possède deux fois plus de neurones que l'homme dans le cortex cérébral. Hypothèse séduisante, et qui fonctionne pour d'autres groupes que les mammifères. Elle expliquerait les capacités cognitives exceptionnelles de certains oiseaux, comme les corbeaux (dont le pallium est riche en neurones).
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Le neurone est l'unité de travail de base du cerveau.
C'est une cellule spécialisée conçue pour transmettre l'information à d'autres cellules nerveuses, cellules musculaires et cellules glandulaires.
On compterait environ 500 millions de neurones(1) dans notre intestin, constituant ainsi un système nerveux à part entière : le système nerveux entérique. Il s'agit du second système nerveux de l'organisme, d'où le nom de « deuxième cerveau ».
Le corps et le cerveau sont des objets publics, accessibles au regard, externalisés et objectifs. L'esprit est privé, masqué, interne et subjectif.
Des neurones dans l'intestin
Mais il y a mieux : comme notre cerveau, notre ventre produit également de la sérotonine, un des neurotransmetteurs qui participent à la gestion de nos émotions ! Et pas qu'un peu : 95 % de la sérotonine totale de notre corps, selon les dernières découvertes.
Le système nerveux entérique comprend des millions de neurones disposés le long du tube digestif. Il sert à commander les contractions de l'intestin. Le nerf vague assure la communication entre le cerveau et ce système nerveux parfois qualifié de « second cerveau ».
1 mm3 de substance grise du cerveau humain contient entre 10 000 et 50 000 neurones, établissant jusqu'à 100 à 500 millions de connexions nerveuses.
C'est un phénomène physiologique bien connu. » Et qu'en dit le professeur Gérard Helft, cardiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, qui signe la préface du livre de Charlotte Valandrey? « Il n'y a aucune transmission de mémoire et autres souvenirs lors d'une greffe, conclut sans ambiguïté le spécialiste.
La greffe cardiaque sert à traiter l'insuffisance cardiaque sévère et terminale. Cette insuffisance cardiaque peut être due à des dommages au cœur causés par : une maladie coronarienne, comme une crise cardiaque; une hypertension artérielle sévère non traitée (maladie cardiaque hypertensive);
Le cœur, organe de l'amour.
L'amour désigne un sentiment intense d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour.
Je t'aime, parce qu'avec toi, le monde est plus beau, Le ciel bien plus bleu, les étoiles bien plus grandes, Parce qu'un regard bien souvent remplace les mots, Et qu'il suffit d'un rien, pour que ta main se tende.
Le cœur repose, par une face inférieure, sur le diaphragme qui le sépare des viscères de l'abdomen. Muscle dénommé strié par les histologistes, il possède la même structure que ceux des membres avec la même force de contraction.