De manière générale, il n'est pas conseillé d'associer les médicaments avec l'alcool. Lorsque vous prenez du paracétamol, vous avez le sentiment de prendre un traitement inoffensif pour soulager un mal de tête, une douleur de règles, etc. Et pourtant, dans la réalité, l'alcool et le paracétamol ne font pas bon ménage.
Quels médicaments éviter avec l'alcool ? "Outre les benzodiazépines, les neuroleptiques ou les antidépresseurs, il est recommandé de ne pas boire d'alcool en association avec les analgésiques ou les antitussifs contenant de la codéine ou du tramadol.
Aucun médicament non plus ne permet d'éliminer la gueule de bois et certaines pratiques courantes sont également à proscrire : le paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan) peut être toxique pour votre foie, déjà bien fatigué par la consommation importante d'alcool ; en prendre avant de se coucher est peut être pire ...
Si vous avez une maladie des reins, du foie, vous souffrez d'alcoolisme chronique, vous pesez moins de 50 kg : consultez un professionnel de santé avant de prendre du paracétamol. Si vous êtes enceinte : en règle générale, la prise de médicament doit être évitée pendant cette période.
Il faut éviter, voire proscrire l'alcool (même en faibles quantités) avec les médicaments du système nerveux, tels que les anxiolytiques, certains antidépresseurs, les neuroleptiques, les hypnotiques (somnifères) : l'alcool majore l'effet sédatif de ces médicaments avec une altération accrue de la vigilance, rendant ...
Si vous consommez quotidiennement de l'alcool, respectez au minimum 8 heures d'intervalle entre deux prises de paracétamol.
Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour.
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Utilisé ponctuellement, sur une courte durée et en respectant sa posologie, le paracétamol est un antalgique sans danger. Mais lorsqu'il est pris en trop grande quantité ou pendant trop longtemps, il est toxique pour le foie et peut avoir de graves conséquences.
Prenez un grand bain chaud : l'eau chaude va activer le foie et les reins afin d'éliminer rapidement l'alcool et les toxines. La peau, en transpirant, va également évacuer un maximum de déchets (la peau est notre émonctoire le plus étendu et donc est capable d'évacuer beaucoup de toxines à la fois !).
Les médicaments à prendre et à ne pas prendre
Car pour assimiler le cachet, on va faire appel à notre foie qui est déjà bien occupé à éliminer l'alcool ingéré ! Si vous avez mal à la tête, vous pouvez prendre du paracétamol ou de l'ibuprofène, mais le plus longtemps possible après la consommation d'alcool.
«Au contraire, par précaution, il ne faut jamais consommer d'alcool lorsque l'on prend un traitement.» Ainsi, l'alcool, jamais bon pour la santé, peut fatiguer l'organisme ou le déshydrater. Outre les antibiotiques, d'autres médicaments sont incompatibles avec la consommation d'alcool car ils augmentent la somnolence.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Par exemple, le mélange cocaïne-amphétamines, accentue les effets de stimulation du système nerveux central, ce qui potentialise les risques d'hyperthermie, de déshydratation et de problèmes cardiaques. Un autre exemple connu est la prise d'alcool en étant sous traitement antibiotique.
Ne le surchargez pas avec du paracétamol ! - Nous recommandons également la prise de citrate de bétaine. Il permet de faciliter la digestion et donc de diminuer les maux d'estomac en lendemain de cuite.
Utilisé à bon escient, le paracétamol est un médicament sûr et efficace. Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas.
La dose habituelle est de 1 comprimé par prise, à renouveler au bout de 6 à 8 heures. En cas de besoin, la prise peut être répétée au bout de 4 heures minimum. Attention : cette présentation contient 1000 mg de paracétamol par comprimé : ne prenez jamais 2 comprimés à la fois.
Il est recommandé de ne pas dépasser un gramme par prise et d'attendre au minimum 4 heures (voire 6 à 8 heures) entre chaque prise. Généralement, un comprimé contient 500 mg de paracétamol.
L'utilisation du paracétamol
Son mécanisme d'action dans la douleur et la fièvre est encore mal connu. Il agit pendant environ 4 heures, en une vingtaine de minutes après sa prise. Il est sûr et efficace dans les conditions normales d'utilisation et il peut être pris par les enfants.
L'action de ce médicament est très rapide puisque le maximum de concentration dans le sang est atteint entre 15 minutes si on prend un comprimé effervescent et 30-60 minutes si on l'avale sous forme de comprimé et de poudre.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (maux de tête, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
La nifédipine à forte dose plus à risque que l'amlodipine
"Cette étude suggère qu'une dose élevée de nifédipine peut augmenter le risque d'arrêt cardiaque soudain dû à une arythmie cardiaque fatale, contrairement à l'amlodipine.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
L'ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien.