Aliments à limiter : pomme, poire, abricot, cerise, nectarine, pêche, prune, mûre, pastèque, litchi, mangue, datte, figue, goyave, kaki, pruneau et tout produit en contenant (frais ou sec / jus, compotes, glaces ...) et les fruits oléagineux (pistaches et noix de cajou).
Régime Fodmaps : les aliments à limiter
Champignon, chou-fleur, oignon, échalote, poireau, artichaut, asperge, chicorée, pissenlit, oignon, échalote, pomme, poire, pastèque, melon, nectarine, pêche, abricot, kaki.
Si le reste du fruit est d'une couleur orangée, le kaki peut être consommé sans problème. Il faut retenir que c'est seulement si le kaki est plus vert qu'orange qu'il ne vaut mieux pas l'acheter.
Les tannins du kaki peuvent se polymériser au contact du suc gastrique. Ils forment ainsi une boule dure comme de la pierre, impossible à digérer. Appelée « bézoard », cette boule peut se coincer dans l'estomac de n'importe quel individu, y compris les enfants et même, les nourrissons.
Le kaki est également riche en fibres (essentiellement présentes sous forme de pectines), qui sont utiles pour stimuler en douceur le transit intestinal. Enfin, c'est une bonne source de fer et il contient très peu de sodium.
C'est aussi une source de potassium et de fibres (2,5g/100g) qui ont un effet diurétique sur le corps. Véritable concentré d'apports nutritionnels, le kaki est idéal pour stimuler le transit intestinal, se sentir bien dans son corps et faire le plein de tonus.
Et sur le podium pour les fibres avec 3 g/100g, principalement en cellulose et hémicellulose, et également de type “pectine” (à la propriété gélifiante appréciée pour réaliser les confitures). C'est donc un fruit stimulant le transit, à recommander pour contrer la constipation.
Appelé aussi kaki-pomme, il peut être dégusté à tout moment, contrairement à son cousin l'astringent.
Source de fibres, le kaki stimule le transit intestinal et combat les maladies du système digestif. Notez que cuit, il va au contraire stopper les problèmes de diarrhées. Il renforme le système immunitaire grâce à sa richesse en vitamine C.
Idéal pour accompagner le foie gras par exemple.
La teneur en sucre dans la chair de kaki, et donc son goût sucré, est plus élevée que dans les pommes, les pêches, les oranges et les poires, s'élevant à 12,5 g/100 g. Les sucres les plus courants sont le glucose et le fructose (Smrke, 2019).
Outre sa bonne dose de vitamine C, on ingère à chaque bouchée des vitamines A et B, mais aussi de nombreux sels minéraux comme du potassium, du calcium ou encore du manganèse, entre autres. Fruit antioxydant par excellence, il prend soin des cellules qu'il aide à lutter contre leur vieillissement naturel.
Comme la production est généralement prolifique chez le plaqueminier, on peut combiner plusieurs façons de conserver les fruits : la congélation : le kaki la supporte plutôt bien, une fois que vous avez coupé les fruits en morceaux, disposés dans un sac congélation, à consommer dans les 6 mois.
Éviter les aliments fermentescibles
Les légumineuses comme les lentilles, les fèves et les pois secs.
La banane est un fruit bénéfique pour les personnes souffrant du syndrome de l'intestin irritable. Riche en fibres solubles, elle aide à réguler le transit intestinal, souvent sans aggraver les symptômes. De plus, la banane est une source de potassium, contribuant au bon fonctionnement du système digestif.
Nombre de fruits frais (cerise, raisin, poire, kaki, melon, ananas, mangue, litchi, etc.) et fruits secs (abricots, dattes, figues, nectarines, pêches, pruneaux, raisins). Les jus de fruits concentrés et le miel.
Sa consommation permet notamment de diminuer les taux de cholestérol et de triglycérides. Ses fibres aident aussi à améliorer le métabolisme des lipides. Le kaki pourrait donc aider à prévenir l'athérosclérose et ses complications d'après plusieurs études.
On évite les fruits riches en fibres comme les fruits rouges, mais également les fruits secs (abricot, pruneau, raisin) et les oléagineux (cacahuètes, noix, noisettes, amandes…) qui en contiennent également beaucoup.
Les kakis astringents doivent être mangés quand ils sont très mûrs, à un stade où le fruit serait considéré comme n'étant plus à son summum. Que doit-on repérer? Une peau lustrée, molle et tachée de noir, ainsi qu'une chair crémeuse comme un flan.
Concernant le kaki-pomme, il est tout à fait possible de manger la peau du kaki ! C'est même recommandé ! Toutefois, la texture de la peau n'étant pas particulièrement agréable, notre conseil sera de ne pas la manger lorsque vous déguster le kaki mûr - à la chair astringente, donc.
Un fruit ramolli et rouge orangé. Ne mangez pas de kaki jaune ou vert. N'oubliez pas : plus c'est mûr plus c'est bon ! Les mois dégustation : d'octobre à janvier.
Compte tenu de son apport élevé en bêta-carotènes (180 µg pour 100 g), le kaki est considéré comme un antioxydant très puissant. Le kaki est bon pour le cœur. Ses antioxydants lui confèrent des vertus intéressantes, notamment pour lutter contre les maladies coronariennes.
La banane, la pomme, la datte, la figue, le raisin, le kiwi ou encore les cerises sont également pourvues d'intéressantes propriétés laxatives. Pour plus d'effets, les fruits sont à consommer de préférence crus ou cuits.
Figue. De la même manière que les prunes, les figues sont plus laxatives quand elles sont séchées. Elles regorgent de fibres insolubles, notamment dans la peau et les graines du fruit. Ces dernières permettent d'éviter un transit difficile chez les personnes constipées.
Très riche en fibres, ce fruit d'origine néo-zélandaise l'est aussi en raphides, fin cristaux d'oxalate de calcium qui favoriseraient la production intestinale de mucines, à l'effet laxatif.