Ainsi, les virus de l'Hépatite B, de l'Hépatite C, de l'Immunodéficience Humaine (VIH) et le virus T-lymphotrophique (HTLV) peuvent être transmis via le lait maternel. Tous ces virus peuvent provoquer des maladies graves à court terme, mais aussi à beaucoup plus long terme.
Le lait maternel est adapté pour répondre aux besoins du bébé dès sa naissance. Les bienfaits pour sa santé et son développement sont reconnus. L'allaitement apporte aussi des bienfaits pour la mère.
Commençons par affirmer haut et fort que le « mauvais » lait, ça n'existe pas ! La seule contre-indication totale et définitive à l'allaitement, c'est la galactosémie congénitale, une maladie très rare où le bébé manque d'une enzyme nécessaire au métabolisme du galactose, un composé du lactose, sucre du lait.
des tétées longues. votre bébé prend un biberon après une tétée. vos seins semblent plus souples que les premières semaines. vos seins ne présentent pas ou plus de fuites de lait.
Comme le lait maternel est un liquide biologique, si une femme est infectée ou porteuse d'un agent infectieux, son lait peut contenir des bactéries ou des virus.
Les signes de la mastite sont : un sein qui est gonflé, rouge et douloureux. Les symptômes peuvent être accompagnés d'un syndrome grippal. Si la mastite n'est pas traitée correctement, l'infection peut provoquer un abcès ou une septicémie.
Les symptômes de contamination surviennent dans les trois jours et provoquent des gastro-entérites avec vomissements, des diarrhées parfois sanglantes et souvent accompagnées de fièvre. Le risque d'une déshydratation rapide se présente. L'apparition de ces signes chez un nourrisson doit conduire à consulter un médecin.
Le lait se conserve au moins 4 heures à température ambiante, au moins 3 jours au réfrigérateur, et entre 6 et 12 mois au congélateur (en fonction du congélateur que vous avez).
Ce lait maternel épais et collant est souvent appelé « or liquide », et pas uniquement en raison de sa couleur jaune ou orangée : il est très important pour nourrir et protéger votre nouveau-né si vulnérable. Au début, vous ne produirez que de très petites quantités (entre 40 et 50 ml en 24 h 11).
Les bébés allaités ont moins de risques de souffrir de maladies comme la diarrhée, l'otite, le rhume et la bronchiolite. Même lorsqu'elles surviennent, ces maladies sont moins graves chez les bébés allaités.
Les lipases
Chez certaines femmes, le lait tiré va au bout de quelques heures ou après décongélation, sentir mauvais (odeur un peu de vomi), avoir un goût rance et un aspect savonneux.
En début de la tétée, le lait maternel est moins dense et plus liquide. Il peut parfois présenter une teinte bleu-vert. Cela s'explique par sa forte teneur en eau, ce qui lui donne une apparence plus translucide. Le lait de début de tétée est aussi plus riche en sucre et sa teneur en matière grasse est plus faible.
Pour nettoyer la tache, vous pouvez tamponner la tache avec un chiffon imbibé de vinaigre ménager, ou bien vous saupoudrez la zone tachée de bicarbonate de soude. Dans les 2 cas, il faudra frotter la tache, puis laisser agir quelques minutes avant de rincer et mettre en machine sur un lavage à froid.
Assurez-vous également d'avoir un apport en calcium suffisant car l'allaitement le réduit. Consommez quatre portions de produits laitiers par jour, par exemple du lait, du yaourt, du fromage, ou des produits non laitiers, notamment des fruits à coque, du tofu, des graines de sésame et des légumes verts à feuilles.
Le lait peut aussi être bleuâtre, rosâtre, jaunâtre... (sans parler de la belle couleur jaune orangé du colostrum). La couleur du lait maternel peut aussi changer selon qu'il est plus ou moins riche en facteurs anti-infectieux.
L'intolérance alimentaire se caractérise, en effet, par l'incapacité de notre système digestif à digérer convenablement un aliment. Dans ce cas précis, il s'agit du lactose, un glucide naturellement présent dans le lait de vache, de chèvre, de brebis, et aussi dans le lait maternel de la femme.
Mélanger ou secouer vigoureusement le lait peut nuire à certains de ses composants nutritionnels ou protecteurs. Lorsque votre bébé boit du lait exprimé à partir d'une tasse ou d'un biberon, les bactéries présentes dans sa bouche peuvent naturellement contaminer le lait.
De ce fait : s'il est à température ambiante, le biberon peut être conservé pendant une heure. Au-delà de ce délai, il faut jeter le lait ; si le biberon est réchauffé, il doit être consommé dans la demi-heure, car les germes s'y développent encore plus vite.
Il est recommandé de donner le biberon à l'enfant immédiatement après sa préparation. Sinon, fermez-le et placez-le au réfrigérateur entre 2° et 4°C pour une durée maximale de 24 heures. À température ambiante, il ne se conserve pas plus de 1 heure. S'il a été réchauffé, jetez-le au bout de 30 minutes.
Le lait peut contenir des micro-organismes nocifs tels que Salmonella, Escherichia coli O157:H7, Listeria monocytogenes, Staphylococcus aureus, Yersinia enterocolitica, Bacillus cereus, Clostridium botulinum, Mycobacterium bovis, Brucella abortus et Brucella melitensis.
L'hygiène de traite doit bénéficier d'une attention particulière. « Les vaches doivent être propres, les trayons propres et secs avant d'être branchés et tout doit être fait pour éviter les contaminations fécales du lait », liste Sabrina Raynaud. La tonte des queues et des mamelles est une piste à explorer.
Le lait est en majeure partie composé de lactose et ferments lactiques. Mais pas que ! Il contient aussi des bactéries (les ferments lactiques), et de la caséine (la principale protéine du lait) qui entraînent parfois une réaction chimique. Le liquide caille alors et on dit que le lait a "tourné".
Comment la toxoplasmose est-elle transmise? Une personne peut contracter la toxoplasmose après avoir consommé de la viande n'ayant pas été cuite suffisamment, particulièrement la viande d'agneau (mouton), de porc et de chevreuil (venaison), ou bien après avoir bu du lait non pasteurisé contaminé par Toxoplasma gondii.
Pendant la grossesse et l'allaitement, il est fortement déconseillé de manger de la charcuterie crue (jambon cru, saucisson, chorizo, saucisse de foie…), de la charcuterie fumée ou encore les rillettes, pâtés, et autres produits en gelée.
Les aliments déconseillés pendant l'allaitement
Certains aliments sont déconseillés pendant l'allaitement car ils peuvent avoir un impact sur le nourrisson. Parmi ceux-ci on compte les poissons les plus contaminés : espadon, siki, saumonette, lamproie.