Leur consistance est variable et peut être pour certains assez dure.
Le lipome est une petite tumeur bénigne sans gravité. Il n'est pas nocif pour la santé, mais peut parfois gêner sur le plan esthétique ou fonctionnel. Le lipome se traduit par une boule de forme ronde ou ovoïde, de consistance molle (même si certains peuvent parfois être un peu plus durs).
Le lipome est une tumeur bénigne des parties molles. Il s´agit d´une prolifération bénigne d´adipocytes matures. Il est qualifié de géant lorsque son poids dépasse 1 kg ou son diamètre supérieur à 5 cm. La gêne fonctionnelle et esthétique peut être un motif principal d´exérèse chirurgicale.
Un lipome se présente généralement comme une masse douce, ronde et mobile sous la peau. A priori indolore, elle devient douloureuse quand elle exerce une pression sur les nerfs ou des vaisseaux sanguins.
Certaines lésions tumorales peuvent avoir l'allure d'un kyste, mais l'un des signes principaux d'un kyste, c'est que ça ne bouge pas. Le lipome n'est généralement pas douloureux.
Le lipome est le type le plus courant de tumeur non cancéreuse des tissus mous. Il apparaît habituellement sous la forme d'une masse molle et indolore qui croît lentement.
Le lipome se distingue par sa consistance molle et malléable : contrairement aux tumeurs cancéreuses, il “roule” sous les doigts, ce qui permet d'éliminer le diagnostic de cancer. Si besoin, votre médecin pourra vous demander d'effectuer des examens d'imagerie, comme un scanner, une échographie ou une IRM.
"Concernant la différence entre un lipome et un kyste, le kyste est dans un coque donc il est très rond et très rénitent. Quand on palpe, c'est un petit peu ferme mais souple. Le lipome, lui, est très souple. Quand on appuie sur le lipome, il s'enfonce.
Ce dernier est une excroissance bénigne des cellules adipeuses. Alors que les lipomes sont généralement des masses indolores et à croissance lente sous la peau, les liposarcomes peuvent être agressifs, envahir les tissus voisins et former des métastases.
Comme il est constitué uniquement de tissus adipeux, le lipome n'est pas vascularisé. Il ne peut pas s'infecter ni évoluer en abcès. À l'examen, il se distingue du kyste sébacé par son apparence et sa consistance. Le lipome est mou et ne présente pas d'orifice en son centre quand le kyste est plus dur.
Les lipomes sous-cutanés sont des tumeurs, très fréquentes qui siègent préférentiellement au niveau du cou et du tronc. Cependant, d´autres localisations peuvent se voir, bien qu´elles soient rares et inhabituelles, et le médecin doit penser au lipome, devant toutes tuméfactions sous cutanées y siégeant.
Le traitement naturel : il existe des traitements applicables en homéopathie, en particulier dans le cas de lipomes localisés dans le cou et le dos. Peuvent être utilisés le Thuya occidentalis et/ou Baryta carbonica, souvent utilisés dans le traitement des verrues et de l'acné.
Les lipomes peuvent être : isolés dans près de 9 cas sur 10 apparaissant alors le plus souvent sur les avant-bras, le tronc, les cuisses et le cou ; multiples. Dans ce cas, ils peuvent être d'origine héréditaire ou bien associés à différents syndromes génétiques.
Quand le lipome a évolué trop rapidement (augmentation de volume en quelques mois), le chirurgien peut demander un examen d'imagerie comme une échographie ou une IRM. Dans la majorité des cas, il n'est pas nécessaire de retirer un lipome.
Le plus souvent, c'est le chirurgien esthétique, spécialiste des parties molles, qui réalise lui-même l'ablation. En cas de lipome superficiel, unique ou en petit nombre (moins de 6), la chirurgie a lieu au cabinet, sous anesthésie locale. Aucune hospitalisation n'est requise.
Chez certaines personnes, une maladie héréditaire appelée lipomatose provoque la formation de lipomes multiples. Des blessures ciblant le tissu adipeux pourraient être un facteur à l'origine de l'apparition d'un lipome, mais cela reste une hypothèse.
Le diagnostic est posé par une biopsie de la zone suspectée. Souvent, lorsqu'à l'imagerie, un liposarcome bien différencié est suspecté, une exérèse complète de la masse peut être faite sans biopsie. L'investigation peut être complétée par un CT Scan du thorax.
Il se manifeste discrètement par l'apparition d'une masse qui grossit, souvent au niveau de l'abdomen ou des membres. A un stade avancé, des douleurs et troubles respiratoires peuvent être présents. Malheureusement, le diagnostic d'un liposarcome est souvent tardif.
Le symptôme le plus fréquent d'un sarcome des tissus mous est l'apparition d'une masse ou d'une enflure. Elle peut être associée à une sensibilité locale et parfois à de la douleur à mesure que la masse grossit. Dans le cas du sarcome des os, le symptôme le plus fréquent est la douleur, souvent plus vive la nuit.
La douleur en cas d'étranglement apparaît alors brutalement, elle est très intense et l'intervention doit se faire en urgence, la hernie créant un obstacle au transit digestif (une occlusion intestinale).
Ils sont généralement de forme arrondie et sont mobiles à la palpation (ils roulent sous les doigts). Un point noir ou un petit orifice peut être visible à leur surface, qui correspond à l'abouchement du kyste à la peau.
Contrairement aux kystes qui ont une paroi, les tumeurs n'en ont pas, même si elles sont souvent bien circonscrites (ou dit aussi encapsulées). Une tumeur peut être bénigne ou maligne, autrement dit cancéreuse.
Son caractère évolutif : il est préférable de retirer un lipome dont la taille a augmenté significativement en quelques mois.
Amas de cellules non cancéreuses. Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
l'abcès cutané : boule dure et douloureuse qui peut être rouge et chaude au toucher. Les abcès cutanés contiennent souvent du pus et sont généralement un signe d'infection.