Les graisses de porc et de bœuf [INCI : adeps bovis, adeps suillis, ou variantes avec les termes -tallow, ou -lard], rebuts des abattoirs, ne sont plus guère employées pour la fabrication des savons, mais on les retrouve encore dans les cosmétiques sous forme de dérivés transformés.
Parce que vous ne le savez sans doute pas, mais la grande majorité de vos produits cosmétiques est bourrée d'ingrédients d'origine animale. Par origine animale, je n'entends pas seulement le miel ou la gelée royale qu'on trouve dans quelques crèmes, je parle de graisse d'animaux morts, de griffes, de leur foie etc.
Le processus de fabrication du maquillage commence souvent par la création d'une base. Par exemple, dans le cas d'un fard à paupières, cette base comprend souvent le liant et le mastic. Ensuite, les pigments de couleur sont ajoutés progressivement et mélangés jusqu'à ce que la teinte souhaitée soit atteinte.
Carmin. Colorant rouge pour les rouges à lèvres, fait à partir de cochenilles broyées.
Tous font partie d'un ensemble utilisé le plus souvent par les femmes pour se rendre superficiellement en beauté sans intention artistique. Mais de nos jours, il est fréquent de voir un homme avec du maquillage.
En effet, en 1880, un chimiste qu'on nomme Eugène Rimmel crée du mascara avec du distillant de pétrole et de la vaseline. Il appela ce produit « le Rimmel ». Encore aujourd'hui, plusieurs pays associent le nom « Rimmel » comme synonyme de « mascara », notamment en Espagne, en Italie et en France.
Nos pratiques de beauté, telles qu'on les connaît, remontent à l'Égypte antique. La trousse de maquillage de Cléopâtre n'était pas si éloignée de la notre : khôl, fard blanc, fard à joues, crayon à sourcils, baume à lèvres. Les Égyptiens, hommes comme femmes, se maquillent d'abord pour leur santé.
De la graisse de porc dans les rouges à lèvres. Ceci n'est pas une blague. Des études ont d'ailleurs démontré que ces produits en question sont composés de 70% de corps gras. Prisés par les femmes, ils contiennent de la graisse animale et parfois celle du porc.
Le but consiste à vérifier si un produit peut se révéler toxique ou irritant si on l'utilise. À des fins méthodologiques, on utilise une dose concentrée du produit ou de l'ingrédient testé sur un grand nombre d'animaux. Les souris, les rats, les hamsters et les lapins sont les animaux le plus souvent utilisés.
Sinon, lors de l'achat du produit regardez directement sur le contenant et s'il porte le label « animal test-free » ou encore « vegan » alors votre produit n'est pas testé sur les animaux ! Si votre produit est végan alors aucun ingrédient est d'origine animale et n'est pas testé sur animal.
Le maquillage était probablement déjà utilisé il y a 10 000 ans et plus. Il me semble que les plus anciens maquillages connus sont égyptiens. Ils avaient une fonction d'embellissement et souvent une fonction sanitaire (soin de l'œil, protection de la peau contre le soleil et l'air sec, etc.).
Le maquillage existe dès l'Antiquité, mais il se répand surtout au 16e siècle, chez les aristocrates. Il faut avoir la peau la plus claire possible et les joues roses. « Ce maquillage revendique son aspect de trompe-l'œil », explique Anne de Marnhac.
Les fouilles archéologiques ont permis de découvrir que les cosmétiques sont apparues il y a au moins 10 000 ans. Des palettes de maquillages et soins pour la peau ont en effet été retrouvés sur plusieurs sites historiques.
DIOR TESTE-T-IL SUR LES ANIMAUX ? Dior ne teste aucun produit sur les animaux.
En 1989, L'Oréal a définitivement arrêté de tester ses produits sur les animaux, soit 14 ans avant que la réglementation ne l'exige. Aujourd'hui, L'Oréal ne teste plus ses ingrédients sur animaux. L'Oréal ne tolère plus aucune exception à cette règle.
Chez NIVEA, nous voulons être transparents sur nos actions pour le bien-être animal : nous sommes contre les tests sur animaux et offrons une large gamme de soins aux formules végan, 100 % sans ingrédients d'origine animale.
La graisse de baleine est longtemps entrée dans la composition du rouge à lèvre, mais le risque d'extinction des espèces de baleine, et les lois de protection des animaux, ont rendu ce commerce difficile. D'ailleurs, son usage dans les cosmétiques est aujourd'hui interdit.
Nous ne vendons nos produits que dans des régions, circuits et catégories de produits qui ne nécessitent pas de tests sur les animaux ni dans certains pays, comme la Chine où la loi impose ces tests.
Le consommateur n'a alors qu'à introduire une bandelette dans le tube à essai et attendre dix minutes. Si une seule barre apparaît sur la bandelette, c'est que l'aliment ne contient pas d'ingrédient impur. Mais si elle présente deux barres, cela signifie que le mélange contient du porc ou de l'alcool.
Elle est souvent utilisée dans les confiseries, les desserts, les produits laitiers, les charcuteries et les soupes en tant qu'agent gélifiant. Les bonbons gélifiés et les gelées sont quelques exemples de produits alimentaires qui contiennent de la gélatine de porc.
Ce n'est qu'en 1912, avec l'apparition du premier blush sec créé par Bourjois (à base de talc, kaolin et colorants de synthèse), que les femmes "vertueuses" renouent avec ce geste.
Il n'existe évidemment pas d'âge légal. Il est vrai que les petites filles souhaitent souvent imiter Maman assez rapidement. Mais de nombreux spécialistes s'accordent sur le fait qu'avant 11 ou 12 ans, se maquiller paraît un peu prématuré.
En général, l'objectif à atteindre en maquillage est de rapprocher le visage maquillé le plus possible du canon de beauté actuel.