Le porc contient plusieurs nutriments essentiels à la santé. Il renferme des protéines de haute qualité. Il est également riche en zinc, en sélénium et en vitamines du groupe B, spécialement la vitamine B1 (thiamine) dont les taux surpassent ceux des autres viandes.
La viande de porc est riche en protéines elle en contient près de 20 g pour 100 g de viande crue et environ 25g pour 100g de viande cuite. Le porc apporte aussi des vitamines, sa viande est réputée pour sa richesse en vitamines B1.
Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
100 g de rôti de porc contiennent près de 70 mg de cholestérol. Le porc est source de phosphore et de zinc.
C'est un mets peu calorique. Il est l'aliment idéal pour la musculation par son apport nutritif. Riche en fer avec 12 mg pour 100 g, c'est une source de 12 vitamines et surtout la vitamine A et la vitamine B9. Il contient également des sels minéraux tels le zinc ou le cuivre.
Le filet mignon
Le morceau le plus tendre du cochon. Avec le jambon, c'est un véritable morceau de choix. Partie maigre et étroite située sous les côtes, très peu sollicitée au cours de la vie de l'animal, ce qui explique sa tendreté unique. À cuire au four ou en cocotte pour en mesurer tout le fondant !
L'araignée de porc, aussi appelée cigaline, est un morceau peu connu qui offre pourtant une viande délicieusement tendre. Située dans le jambon (la cuisse), précisément sur l'os du coxal, cette pièce est relativement rare puisque seuls deux morceaux sont présents dans le cochon.
Pour remplacer astucieusement le porc, je conseille tout simplement d'utiliser du veau : la viande a la même consistance et le même aspect une fois cuit. Par contre, il y a une différence de taille : la teneur en gras.
Les abats bons pour la santé : Cœur, langue, pieds, tête, ris de veau, rognons et tripes. Nourrissant et très maigre en graisse (2 à 3 % de lipides), le coeur fournit des protéines de qualité, ainsi que des quantités élevées de fer et de vitamines B.
Un atout majeur des abats est leur richesse en fer, notamment le foie de veau dont les apports atteignent 4.5 mg pour 100 grammes. Le fer, aliment santé des séniors, joue un rôle majeur dans l'organisme puisqu'il permet le transport de l'oxygène dans les cellules, et a bien d'autres bienfaits.
Riche en amidon, la banane contient des fibres solubles et insolubles, mais ce n'est pas le fruit le plus intéressant pour aider à la baisse du cholestérol. Consommer, néanmoins, une banane de taille moyenne par jour apporte une portion de fruit dans la journée et contribue ainsi à l'équilibre alimentaire.
Les bonnes quantités de viande
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
Préférer les morceaux de veau et de bœuf les plus maigres (tende de tranche ou rumsteck) pas plus de trois à quatre fois par semaine (soit environ 500 g), et éviter les charcuteries et les viandes les plus grasses : principalement le porc, à l'exception du jambon blanc découenné, dégraissé, l'agneau et le canard.
Amateur de viande rouge, il vaut mieux l'éviter le soir. A cause de ses teneurs élevées en protéines et en graisses, elle empêche de bien dormir. Les protéines diminuent la production de sérotonine qui est indispensable à la sécrétion de la mélatonine, l'hormone qui facilite le sommeil.
Les viandes blanches késako ? Les viandes blanches sont celles provenant des volailles (poulet ou dinde) et du lapin. Elles sont considérées comme des alliées importantes d'une alimentation saine. Leur teneur en matières grasses est plus modérée que celle des viandes rouges et leur taux en protéines varie.
Dans l'alimentation actuelle, le porc et la charcuterie représentent aussi la plus grande source de sel, qui est devenu l'un des trois ennemis prioritaires pour la santé publique. La salaison a permis au cours des siècles de conserver les viandes, mais il est désormais urgent de diminuer notre consommation en sel.
Selon la littérature scientifique actuelle, la viande rouge, dont font partie le porc et le sanglier, serait probablement cancérogène. Cette association a principalement été observée pour le cancer colorectal, mais également celui de la prostate et du pancréas.
Il existe pourtant une nuance entre les deux dénominations : alors que le mot « porc » se réfère avant tout à la viande, le terme « cochon » désigne plutôt l'animal de façon générale. Sur un plan technique, d'autres termes sont employés pour désigner les différentes catégories d'animaux.
La bonne réponse : le porc.
Les bienfaits du boudin noir pour la santé
Composé de sang, le boudin noir est très riche en protéines, en calcium, en potassium et en magnésium, des oligoéléments essentiels pour notre organisme. En outre, les amateurs de régime et de cuisine diététique apprécieront l'absence de glucides dans sa composition.
Les amateurs d'abats doivent faire attention à ne pas en manger trop. Les reins ou encore le foie, sont des filtres dans le corps humain et des toxiques s'y accumulent. Lorsque l'on mange des abats, on ingurgite donc ces toxiques, notamment le cadmium, qui fait partie des métaux lourds.
Une richesse en protéines de haute qualité et en nutriments
Au même titre que le steak, les tripes sont très riches en protéines. Il s'agit de protéines de qualité, car elles contiennent les neuf acides aminés fondamentaux dont notre organisme a besoin pour fonctionner correctement.
Le porc ibérique a une capacité unique qui donne la meilleure viande du monde. La qualité la plus appréciée du porc ibérique est que c'est le seul dont le gras infiltre aussi bien la viande, les muscles, pour lui apporter une saveur unique, une texture persillée et de grande qualité.
Le principal consommateur de viande de porc en 2021 reste la Chine, en tenant compte de ses régions économiques spéciales, Hong Kong, Macao et la Chine continentale, dont la consommation s'élève respectivement à environ 61, 52 et 37 kg/habitant (kilogrammes par habitant).