C'est un changement juridique d'importance qui marque le début du risque social. L'ensemble des événements suivants peuvent désormais être considérés comme des risques économiques et sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
La Sécurité sociale fournit la couverture de base des risques "maladie/maternité/invalidité/décès", "accidents du travail/maladies professionnelles", "vieillesse" et "famille".
Le risque est social parce que, si l'événement survient, il affectera la position sociale, financière ou économique de celui auquel il arrive. Ce dernier subira une chute de revenus, ou perdra une partie de son patrimoine, ou devra faire face à des dépenses exceptionnelles, etc.
le risque (ou la probabilité) que l'exposition à une matière ou à une condition dangereuse entraîne des blessures, une maladie ou des dommages, et. la gravité des dommages, des blessures ou des préjudices (effets nocifs pour la santé) que pourrait entraîner l'exposition.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Les risques sociaux sont des événements pouvant survenir à tout individu et provoquant pour lui soit des dépenses importantes, soit une diminution sensible de ses revenus habituels, et nécessitant donc une prise en charge collective.
La Sécurité sociale a en effet été créée en 1945 pour prendre en charge collectivement au niveau de la Nation certains risques courants. Celle-ci prend aujourd'hui en charge les risques maladie, maternité, invalidité, décès, accident du travail/maladie professionnelle, vieillesse et les charges de famille.
Les prestations sociales peuvent répondre à trois logiques de prise en charge : assurance sociale, assistance ou protection universelle.
On parle des « risques sociaux » qui engendrent une baisse des revenus ou une hausse des dépenses, susceptibles de compromettre la sécurité économique de leur foyer. La protection sociale vise la retraite, la santé, la prévoyance, la dépendance, l'action sociale (aide et allocations familiales pour les bas revenus).
Qu'est-ce que la sécurité sociale ? La Caisse Primaire d'Assurance maladie (CPAM), autrement dit la Sécurité Sociale gère la branche santé du régime général. Elle préserve votre santé, votre vie professionnelle et votre vie personnelle. Vous pouvez être bénéficiaire de plusieurs prestations et d'allocations familiales.
La "Sécurité sociale" est un Service public de l'Etat, qui assure l'ensemble des risques sociaux des travailleurs, salariés et des professions libérales, des travailleurs indépendants et des travailleurs non salariés, des salariés agricoles, que ces personnes travaillent sur le territoire métropolitain de la France, ou ...
La prise en charge du risque repose sur des principes et des institutions. Face au risque, un premier outil peut être la prévention . L'objectif est alors d'expliquer aux individus les risques auxquels ils font face et les conséquences de ces risques, afin que les conduites à risque soient évitées.
L'assurance maladie voit le jour avec la loi du 5 avril 1928 , sous le ministère de Raymond Poincaré de l'Alliance démocratique (centre-droit).
Concrètement, elle accompagne 60 millions d'assurés tout au long de leur vie, en prenant en charge leurs soins quels que soient leurs ressources, leur situation ou leur état de santé. Elle garantit ainsi un accès universel aux droits et elle permet l'accès aux soins.
la branche Accidents du travail – maladies professionnelles, également gérée par l'Assurance Maladie. la branche Retraite, gérée par l'Assurance Retraite. la branche Autonomie, gérée par la Caisse nationale de solidarité pour l'Autonomie. la branche Recouvrement, gérée par l'Urssaf.
La plupart des dépenses de protection sociale sont financées par les prélèvements obligatoires. Les impôts permettent de payer les dépenses inscrites aux budgets de l'État ou des collectivités territoriales. Les cotisations sociales patronales et salariales permettent de financer les dépenses de la Sécurité sociale.
Allocations familiales, revenu de solidarité active (RSA), allocation logement, allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), bourses scolaires, aides locales pour le logement social dans certaines régions, etc.
Trois acteurs jouent un rôle dans le fonctionnement de la Sécurité sociale depuis sa création en 1945 : les partenaires sociaux, la direction salariée des organismes de Sécurité sociale et les pouvoirs publics.
L'accent est mis sur l'effritement général de la condition salariale, cette précarisation massive du travail touchant l'ensemble des travailleurs, et ses conséquences en terme de vulnérabilités socio-économiques, comme par exemple le chômage, l'exclusion, la désaffiliation.
Un risque émergent est défini de la manière suivante : « Un risque résultant d'un danger nouvellement identifié auquel une exposition significative pourrait se produire, ou un risque résultant d'une exposition et/ou d'une sensibilité nouvelle ou accrue et inattendue à un danger déjà connu.»
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Un risque se caractérise selon deux paramètres : Sa gravité : l'ampleur des dommages potentiels. Sa probabilité d'occurrence : « à quel point il est probable de subir le dommage »
Le risque majeur est la possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique (qui résulte de l'action humaine), dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages importants et dépasser les capacités de réaction de la société.