Avant cuisson, le corail est de couleur verte et prend une belle couleur rouge après cuisson. Le corail est délicieux, et rentre souvent comme composant principal dans des préparations culinaires très élaborées. Soit on aime, soit on déteste, il n'y a pas de juste milieu. Qui dit oeufs, dit homard femelle.
Les parties comestibles du homard sont l'abdomen, la queue et les pattes. Il vous suffit donc de lui enlever l'estomac (situé derrière la tête !) et les intestins avant de le faire cuire. Il est possible que les femelles aient encore leur œufs.
Que manger dans le homard ? Dans le homard, il est possible de tout manger, à l'exception de l'estomac qui se trouve derrière la tête du crustacé, et de l'intestin, qui se présente comme un long filament noir. La plus grande partie de la chair du homard se situe dans ses pinces, ses pattes et sa queue.
21 mai 2008 – Ce ne sont pas tous les amateurs de homard qui apprécient le tomalli du homard, mais ceux qui le mangent devraient limiter leur consommation, recommande Santé Canada. Le tomalli, cette substance verte qui se retrouve dans la cavité du homard, assume les fonctions du foie et du pancréas.
Pour récupérer le corail du homard, ébouillanter 3 minutes le crustacé au court-bouillon. Puis égoutter-le, détacher sa tête et gratter le corail. Vous pouvez ensuite poursuivre la cuisson des pinces et de la queue.
La langouste est la femelle du homard et la langoustine, leur fille?
Cette coloration rouge est due à la présence d'astaxanthine, un pigment orangé de la famille des caroténoïdes.
Seuls l'estomac (qui se trouve à l'arrière de la tête) et l'intestin (la veine noire qui fait la longueur de la queue) ne sont pas comestibles. Sinon, la chair, les œufs, le foie, le gras et le sang du homard peuvent être consommés.
Le tomalli, appelé plus communément "fard d'homard" aux Îles-de-la-Madeleine, fait partie de notre tradition culinaire. C'est un mélange de foie, d'oeufs et de chair de homard et de sel. Il peut se déguster en tartinade, mais peut aussi agrémenter vos sauces.
Pelez le dessus de la queue du homard pour retirer l'intestin avec les doigts ou avec la pointe d'un couteau. Détachez ensuite la pince du reste de la patte. Pour décortiquer les pattes, mieux vaut utiliser une fourchette à homard afin de la défaire en section.
Préférez la femelle au mâle, dotée de plus de chair et plus fine. Retournez l'animal sur le dos. Chez la femelle la carapace du ventre, qui a des palmes, se présente en creux : c'est la place des oeufs. A l'inverse, cette partie est bombée chez le mâle.
MEILLEURE RÉPONSE par nos experts. Il ne faut surtout pas le congeler cru ! Cela risquerait fortement de dénaturer son goût et sa texture et de le rendre impropre à la consommation.
Dans le tube digestif du crustacé, on trouve un court œsophage, un intestin moyen et un autre postérieur et un large estomac. Concernant l'estomac, en son sein est disposé un système de pièces articulées calcifiées assurant le broyage des aliments.
Cassez la pince à l'aide du casse noix et retirez-en la chair en vous aidant du pique. Grattez bien pour ne rien oublier. Cassez ensuite l'articulation des pinces pour y récupérer un peu de chair également. N'hésitez pas à utiliser à nouveau la pince à homard pour casser aussi la partie la plus charnue des pinces.
Côté vitamines et minéraux, le homard constitue une bonne source de phosphore, de magnésium et de potassium. Il contient du zinc, du sélénium, de la vitamine B12 et de la vitamine E. Décidément, toutes les raisons sont bonnes pour mettre au menu ce savoureux crustacé! La saison du homard est courte, profitez-en!
Le poids idéal d'un homard est de 500 g par personne, car il y a plus de la moitié de déchets. Au-delà de 1 kg, le homard se fait vieux et sa chair devient plus dure. Choisissez-le absolument vivant, avec la nageoire caudale qui se replie énergiquement sous la queue.
Son gène de couleur :
Chez le homard, il interagit avec une protéine, la crustacyanine, pour donner une couleur bleue qui contribue à camoufler l'animal aux yeux de ses prédateurs. Mais, à la cuisson, la protéine se délite, libérant l'astaxanthine qui, de ce fait, redevient orange.
Le tomalli est une substance verte et tendre qu'on retrouve dans la cavité du homard. Il assume les fonctions hépatique et pancréatique et, tout comme le foie d'autres animaux, il sert de filtre naturel aux contaminants.
Ce crustacé bleu et tacheté évolue dans les eaux froides de l'Europe principalement en Bretagne. Il est présent en abondance de mai à septembre même si celui-ci est particulièrement apprécié pour les fêtes de fin d'année.
1. Le homard est-il bien vivant à l'achat? Il doit absolument l'être. On ne doit pas manger un homard mort avant la cuisson puisque, une fois mort, il dégage des enzymes et des bactéries qui s'attaquent à ses tissus.
Non seulement cette découpe s'adapte parfaitement à la cuisson à la poêle ou à la planche, mais elle évite également au homard de souffrir, car le centre nerveux du crustacé s'étend sur toute la longueur de son corps (pas uniquement dans la tête).
Selon l'animatrice scientifique, le homard n'est pas immortel, mais il ne vieillit pas. C'est un animal fascinant. En fait, ces cellules se régénèrent tout le temps et à l'infini. Elles ne vieillissent jamais, c'est assez incroyable.
Comment savoir si le homard est cuit ? Rien de plus simple pour vous assurer de la bonne cuisson de votre homard : après quelques minutes passées dans l'eau bouillante et/ou sur le gril de votre barbecue, le homard perd sa couleur initiale et se colore en rouge brique.
Des homards rares
Certains rapports avancent qu'il existe un homard bleu pour un million de homards, un jaune pour 30 millions et un blanc pour 100 millions. Ce homard de couleur pâle a été attrapé dans la baie Fortune. Un sur 30 millions de homards est de ces couleurs.