Le « sel rose de l'Himalaya » ne contient pas d'iode mais de nombreux résidus de minéraux, qui lui donnent notamment cette couleur rosée plus ou moins soutenue. Ce colorant naturel n'est autre que du fer. On retrouve d'autres traces de minéraux, tels que le zinc, le cuivre et bien d'autres.
Goût fin et délicat, apprécié par les plus grands chefs. Non raffiné, le sel rose de l'Himalaya est particulièrement riche en sels minéraux et oligo-éléments dont fer, potassium, magnésium, calcium, cuivre, manganèse, phosphore et zinc. Contrairement au sel de mer, ce sel de roche est non iodé.
Détoxifiant, relaxant, anti-stress : La richesse du sel rose en oligo-éléments et minéraux lui garantit des effets détoxifiants et reminéralisants pour l'ensemble de l'organisme. Ces derniers utilisés en bain procureront des vertus apaisantes et relaxantes à l'ensemble de votre corps.
Le sel de mer contient de l'iode, mais pas en quantité suffisante pour répondre à vos besoins quotidiens. Ainsi, assurez-vous donc de consommer des produits laitiers ou des fruits de mer régulièrement. Ou saupoudrez vos aliments d'algues, recommande Wendy Jo Peterson.
Le sel rose est réputé pour sa richesse en oligo-éléments. Il contient du sulfate, du potassium, du magnésium, du calcium, du silicium, du manganèse et du phosphore. Les cellules de l'organisme assimilent directement les minéraux grâce à sa structure cristalline.
Le sel iodé est un sel alimentaire enrichi en iode, de façon à réduire les risques de carence en iode. Cet élément est indispensable à la production des hormones thyroïdiennes et sa carence peut entraîner la formation de goitre, un retard de croissance et divers troubles mentaux.
Le sel extrait de l'eau de mer est le plus intéressant pour notre organisme, car le mieux équilibré en sels minéraux. Le sel de mer est plus riche en magnésium (sous forme de chlorure de magnésium), potassium et calcium ainsi qu'en oligo-éléments.
Le sel non iodé, également appelé sel de table, est du chlorure de sodium, auquel rien n'a été ajouté. Chimiquement, le sel non iodé est un sel traité qui contient environ 97 à 99 % de chlorure de sodium. Ce sel provient directement de la mer ou de gisements de sel souterrains.
Après quelques heures, si le sel est effectivement iodé, la patate se colore en violet.
Dans les commerces, vous trouverez ce sel entre autres dans le rayon « sel régénérant pour machine à laver la vaisselle ». Nous vous conseillons les sels Carrefour, U, Le Guérandais, Finish Calgonit et Apta.
1- Moins de sodium, plus de minéraux
Le sel rose de l'Himalaya contient moins de sodium par portion que le sel blanc et il apporterait plus de 80 minéraux et éléments utiles à l'organisme.
Recommander des sels marins aux légumes, épices et herbes aromatiques, du gomasio, du chlorure de potassium.
Le sel rose de l'Himalaya est considéré comme le meilleur sel au monde.
Le sel rose peut s'utiliser en cuisine pour l'assaisonnement. Il a un goût très fin, apprécié par les gourmets. Ce sel rose de l'Himalaya apporte également une touche déco insolite à vos plats ! Il s'intègre également dans les formules de beauté notamment en tant que sel de bain.
Le sel rose est extrait de roches salines, proches de la chaîne de l'Himalaya. C'est un sel brut, non raffiné, riche en oligo-éléments, et non iodé. Il est aussi appelé sel rose de l'Himalaya ou sel de l'Himalaya. Les nuances roses du sel gemme proviennent de la présence d'oxydes de fer.
Comment utiliser le sel rose de l'Himalaya en cuisine ? Le sel rose est naturel : il n'a subi aucune transformation et ne contient aucun additif. Si on le compare au classique sel de table, il permet de limiter l'apport de sodium dans vos plats.
- ajouter précautionneusement 30 mL d'acide chlorhydrique (30% environ). - agiter : une précipitation d'iode en suspension se forme. - filtrer et recueillir l'iode. Laver à l'eau pour enlever l'acide résiduel, puis sécher le solide.
La carence en Iode se manifeste en 10 symptômes connus : goitre ou gonflement de la base du cou, fatigue et manque d'énergie, dépression, troubles de la mémoire, frilosité, prise de poids, peau sèche et chute de cheveux, baisse du rythme cardiaque, constipation, règle abondantes et irrégulières, crampes.
Cependant, ingérer des niveaux extrêmement élevés d'iode peut s'avérer dangereux et notamment entraîner des goitres qui entravent le fonctionnement de la thyroïde (mais il faudrait probablement prendre, pendant plusieurs semaines, la dose d'iodure de potassium recommandée pour que ces troubles se produisent).
En iodant le sel, on réduit certains problèmes de santé, notamment les problèmes de la glande thyroïde comme le goitre.
Le sel de table et le sel marin ne contiennent pas d'iode naturellement. L'iodation du sel de table est depuis de nombreuses années obligatoire au Canada et largement utilisée dans de nombreux pays comme la France et les États-Unis. Par contre, le sel de mer n'est pas obligatoirement enrichi en iode.
En l'absence de thyroïde, 90% de l'iode radioactif est éliminé les 2 premiers jours, en grande majorité par les urines, mais également par les selles, la salive, la transpiration et les sécrétions nasales.
Riche en fer, il permet une bonne régénération du sang et améliore la circulation. Il aide à avoir des poumons sains et à améliorer les fonctions respiratoires. Il permet de rétablir le pH sanguin (l'équilibre acido-basique). Il agit de manière impressionnante sur les problèmes de reflux gastriques.
On retrouve bien moins les pouvoirs vitalisants, dont le sel de mer lui dispose en raison de l'exposition au soleil et à l'eau, dans le sel de l'Himalaya, car il est extrait sous terre. En un sens, il s'agit donc de sel moindre, avec des minéraux et oligo-éléments moins divers tels que le sel marin.
Par un procédé d'ingénierie assez complexe, l'hydrolyse, il est parvenu à assembler le chlorure de sodium (du sel) et le chitosan, dans un rapport de 97% de chlorure de sodium et 3% de chitosan. Ce mélange stable de produits naturels a donné naissance au Symbiosal, le premier vrai faux sel.