Le steak haché est intéressant pour les personnes à risque d'anémie, car comme toutes les viandes rouges, il apporte une source importante de fer : en effet, une portion de 100 g apporte en moyenne 2,83 g de fer hautement assimilable par l'organisme (du fer héminique).
Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
Une viande rouge riche en minéraux essentiels à la santé
La viande de bœuf constitue une excellente source de sels minéraux. Cet aliment est surtout bourré de fer, de zinc, de sélénium, de cuivre, de potassium et de phosphore. Que des éléments essentiels à une bonne santé !
Obtenir le degré de cuisson « bien cuit à cœur » pour le steak haché signifie atteindre à cœur une température au moins supérieure à + 70°C : après cuisson, l'intérieur doit être brun-gris et en aucun cas encore rouge ou rosé.
La viande rouge contient des protéines et du fer, deux nutriments nécessaires pour conserver une bonne santé, produire des anticorps, protéger le système immunitaire, et éviter des maladies comme l'anémie. De plus, contrairement à d'autres viandes, le boeuf possède une concentration plus forte en fer héminique.
Pourquoi le steak est un choix santé au déjeuner
Lorsque vous mangez de la viande rouge avec modération, votre corps dispose d'une excellente source de protéines. Le fer, la vitamine A, la vitamine D, les vitamines B12 et B6 et le zinc figurent parmi les principaux nutriments contenus dans le steak.
Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Il est recommandé d'éviter la consommation de viande crue ou peu cuite (viande hachée de cheval ou de bœuf, steak tartare, barbecue sans cuisson à cœur, viande de volailles pas suffisamment cuite…) en particulier par les personnes sensibles : jeunes enfants, femmes enceintes et personnes âgées ou immunodéprimées.
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
Manger trop de viande rouge accroît le risque de maladies cardiovasculaires et de cancers. Selon plusieurs études, la consommation de viande rouge augmenterait de 24 % le risque de cancer du côlon, et de 20 à 60 % ceux de l'œsophage, du foie, du pancréas ou du poumon.
Amateur de viande rouge, il vaut mieux l'éviter le soir. A cause de ses teneurs élevées en protéines et en graisses, elle empêche de bien dormir. Les protéines diminuent la production de sérotonine qui est indispensable à la sécrétion de la mélatonine, l'hormone qui facilite le sommeil.
Il faut manger de la viande tous les jours
Pas la peine pour autant de manger de la viande quotidiennement pour être en bonne santé. «Consommer de la viande rouge une à deux fois par semaine suffit à assurer les besoins en fer de l'organisme», assure le nutritionniste.
Les viandes rouges et la charcuterie, les graisses, le sel et l'alcool sont les principaux aliments qui augmentent le risque de cancer. Il est prouvé que la consommation de viande rouge (bœuf, veau, mouton, agneau, porc) et de charcuterie est associée à une augmentation du risque de cancer colorectal.
Pour votre repas du soir, n'oubliez pas de manger quelques protéines comme : des sardines ou des conserves de poissons gras (maquereau, etc.) des viandes séchées comme la viande des grisons, le pastrami ou la bresaola (évitez la charcuterie trop grasse comme le saucisson, les rillettes, etc.)
Les viandes blanches késako ? Les viandes blanches sont celles provenant des volailles (poulet ou dinde) et du lapin. Elles sont considérées comme des alliées importantes d'une alimentation saine. Leur teneur en matières grasses est plus modérée que celle des viandes rouges et leur taux en protéines varie.
Dans l'alimentation actuelle, le porc et la charcuterie représentent aussi la plus grande source de sel, qui est devenu l'un des trois ennemis prioritaires pour la santé publique. La salaison a permis au cours des siècles de conserver les viandes, mais il est désormais urgent de diminuer notre consommation en sel.
D'après les directives officielles de la pyramide alimentaire, les personnes en bonne santé peuvent sans problème manger jusqu'à 6 œufs par semaine.
Son impact sur la santé
Cependant, il ne faut pas en abuser et la limitation de 500 grammes de viande rouge par semaine fixée par l'OMS et l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) est bien une limite maximale à ne pas dépasser, et non un objectif à atteindre.
Manger de la viande ne fait pas seulement du mal aux animaux, mais également à vous-même ! Consommer de la chair animale implique un risque pour la santé humaine, notamment de graves conséquences sur le système digestif et l'augmentation du risque de contracter une maladie mortelle.
Le campylobacter est une autre bactérie que l'on peut trouver dans le poulet. Elle cause la campylobactériose, une toxi-infection dont les symptômes peuvent être graves. Les enfants, les personnes âgées et celles qui ont un système immunitaire affaibli sont plus à risque d'en être atteints.
Riche en vitamines du groupe B, à l'origine du métabolisme des lipides, glucides et protéines, le poulet agit sur les systèmes nerveux et contribue au bon fonctionnement général de l'organisme. En outre, il permet de conserver une peau saine et en bonne santé.
Préférer la viande blanche (volaille, dinde, porc, etc.) permet de diviser ses émissions de CO2 quasiment par 10 par rapport à la consommation de viande rouge ! Cela ne veut pas dire qu'il faut se priver de viande rouge mais une fois par semaine suffit. Mangez moins de viande rouge mais de meilleure qualité.
La viande rouge
Les viandes rouges sont difficiles et longues à digérer car elles sont longues à mastiquer. Pouvant provoquer ballonnements et flatulences, l'organisme met donc une grande énergie dans la digestion, ce qui peut entraîner une fatigue d'autant plus accrue en cas de baisse de régime.
Le Programme National Nutrition et Santé (PNNS) établi par le ministère chargé de la Santé recommande le seuil de 500 grammes de viande cuite (hors volaille) par semaine[1].