Une consommation importante de produits sucrés est associée à un risque plus élevé de cancer de la prostate. Nos habitudes alimentaires ont un impact sur notre santé.
Des études ont démontré que la consommation de la viande rouge ou transformée, comme les saucisses, les hamburgers, le bacon, les charcuteries et le jambon, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
– La grenade. "C'est moins connu mais le jus de grenade est un vrai allié pour la santé de sa prostate. On peut en boire un verre chaque jour", affirme le Pr Zerbib. Les antioxydants présents dans le fruit du grenadier seraient les responsables de ces bienfaits.
Une alimentation riche en soja réduirait le taux de PSA de 14% (10). Le soja contient des polyphénols (génistéine, famille des isoflavones) qui ont un rôle antioxydant et oestrogénisant. Le tofu, les boissons et yaourts au soja en sont riches.
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
prendre le temps de vider sa vessie le plus possible à chaque miction. Certains hommes ont plus de facilité à le faire en position assise que debout ; aller uriner sans trop attendre lorsqu'une envie urgente se fait sentir, pour ne pas trop distendre la vessie.
Les hommes qui boivent six tasses de café par jour ou davantage voient diminuer de 60% leur risque de développer le type de cancer de la prostate le plus mortel et de 20% leur risque de contracter un cancer de la prostate, quel qu'il soit, selon cette étude de la Harvard School of Public Health.
Il fournit de nombreuses propriétés curatives pour prévenir les maladies parmi lesquelles on trouve le cancer. Le miel est bon pour le cancer du côlon, de la prostate, de la peau, du foie et des poumons.
On trouve cette molécule dans plusieurs fruits et légumes : pastèque, pamplemousse rose, papaye… Principale source de lycopène, la tomate est un allié alimentaire de choix pour la prostate.
Le résultat indique que la consommation d'au moins dix portions de tomates (ou de préparations à base de tomates) par semaine diminue de près de 20% le risque de développer un cancer de la prostate. L'effet protecteur est mis au crédit du lycopène, un puissant antioxydant dont la tomate est particulièrement riche.
"La capsaïcine a eu un profond effet anti-proliférant sur les cultures de cellules humaines de cancer de la prostate", a souligné l'un des chercheurs ayant participé à l'étude. La découverte est de taille lorsqu'on sait que 680 000 hommes sont atteints chaque année d'un cancer de la prostate dans le monde !
Il contient de la catéchine, substance antioxydante qui permet de baisser le taux de l'Antigène Spécifique de la Prostate (PSA) et le niveau de la testostérone.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Les gras saturés à éviter sont ceux qui proviennent des viandes grasses et des produits transformés à base de viande, alors fuyez le salami, les saucisses et le bacon, et consommez l'agneau et le bœuf avec modération.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Il n'existe pas de données probantes selon lesquelles les produits laitiers et une alimentation riche en calcium accroissent le risque de cancer de la prostate; Les données scientifiques ne justifient pas de limiter la consommation de produits laitiers dans le but de prévenir le cancer de la prostate.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
La solution: une combinaison de plantes. - Les graines de courge réduisent l'augmentation de volume de la glande. En consommer 1 ou 2 cuillères à soupe par jour, par exemple le soir en guise d'apéritif où elles remplaceront les cacahuètes, ou au petit déjeuner. - Les tisanes d'épilobe.
Par exemple, le cyclisme est une excellente forme d'exercice, mais passer plusieurs heures assis sur un siège dur peut aggraver une prostate déjà douloureuse. Un siège de vélo adapté aux problèmes de prostate ou un vélo à position allongée peut aider à corriger ce problème.
Un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme un taux de PSA normal pour la plupart des hommes, mais le taux de PSA dépend de nombreux facteurs, tels que l'âge du patient, la taille de la prostate et d'autres facteurs liés au mode de vie du patient.
Quelles sont les causes de l'hypertrophie de la prostate ? Des modifications de la production d'hormones mâles, liées à l'âge, pourraient être à l'origine de l'hypertrophie bénigne de la prostate, mais cette hypothèse n'a pas encore été confirmée.
Quelles sont les complications de l'hypertrophie de la prostate ? Une vessie qui ne se vide pas correctement augmente le risque d'infection urinaire et de problèmes rénaux. Certains hommes qui souffrent d'hypertrophie bénigne de la prostate sont victimes de calculs urinaires dans la vessie ou d'infections à répétition.
Le PSA normal est normalement inférieur à 4 ng/ml. Mais, cette valeur seuil doit être relativisée à l'âge. Inférieur à 2,5 ng/ml avant 50 ans, sa valeur s'élève avec l'âge en même temps que la croissance normale de la prostate (inférieur à 6,5 ng/ml avant 80 ans).
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.