Parmi les répondants, 68 personnes disent éprouver des malaises après avoir consommé du vin : rougeurs sur la peau, démangeaisons et écoulements nasaux sont les plus fréquemment observés. Mais il en y a d'autres : maux de ventre, accélération du rythme cardiaque et diarrhée sont souvent ressentis.
Les résultats de cette étude ont démontré que l'ingestion d'un verre de vin rouge par jour (25 centilitres environ) modifie le mélange entre « bonnes et mauvaises » bactéries du microbiote intestinal en favorisant le développement de certaines espèces de bactéries, importantes pour l'équilibre du microbiote intestinal.
L'alcool stimule la muqueuse gastrique ainsi que la production d'acide gastrique. Ceci peut provoquer des douleurs d'estomac ou des maux de ventre, accompagnés de nausées et de vomissements.
Tout alcool prit régulièrement augmente les risques d'addictions, de maladies du foie (cirrhose, hépatite…) et d'avoir certains cancers. Le développement du cancer de l'œsophage est en partie dû au vin et à sa concentration en alcool.
En comparant les effets de plusieurs boissons alcoolisées (bière, cidre ou spiritueux), les chercheurs britanniques avancent que les personnes qui consomment régulièrement du vin rouge présentent un meilleur équilibre dans leur microbiote (ensemble des microbes gastro-intestinaux) que celles qui n'en boivent pas.
Elle peut présenter les symptômes suivants : fatigue, maux de ventre, nausées, vomissements, accumulation de liquide dans l'estomac et jaunisse (coloration des yeux et de la peau).
Maux d'estomac, nausées et vomissements
L'alcool stimule la muqueuse gastrique et celle-ci produit alors davantage d'acide gastrique. De cette façon, une consommation excessive d'alcool peut entraîner une détérioration de la muqueuse gastrique. Cela entraîne à son tour des maux d'estomac.
Attention au risque de dépendance
Si un verre de vin par jour n'est donc pas, en soit, mauvais pour la santé, il peut créer une dépendance qui, elle, peut devenir dangereuse. Boire un verre de vin tous les jours c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en passer.
Les chercheurs constatent aussi que la consommation de vin rouge provoque plus souvent des malaises que celle du blanc. Ils croient que la protéine de transfert des lipides (LPT) présente sur la peau des raisins pourrait en être la cause. Cette protéine est reconnue pour être très allergène.
"Les risques pour la santé associés à l'alcool sont énormes", dit-elle. Selon elle, ces résultats confortent d'autres recherches récentes, qui ont mis en évidence "des corrélations claires et convaincantes entre la consommation d'alcool et la mort prématurée, le cancer et les problèmes cardiovasculaires".
Boire de l'eau
Beaucoup d'eau, même si vous n'en avez pas envie. Du jus, mais évitez les jus très acides, comme le jus d'orange. Essayez aussi une tisane à la menthe, au gingembre ou à la camomille. Du jus de tomate ou de légumes mélangés.
Les 6 boissons à bannir en cas de brûlures d'estomac
Parmi les grands responsables, on distingue le vin blanc, la bière et le whisky.
Si vous y êtes sensible optez pour un verre de vin rouge ou de champagne à la place d'un vin blanc ou d'un rosé demi-sec. Et en ce qui concerne le mal de tête, tout dépend de la quantité ingérée.
Boire beaucoup d'eau
On recommande de boire 1,5 à 2 litres d'eau chaque jour, particulièrement en cas d'intestin irritable. Il faut boire tout au long de la journée en évitant l'eau glacée et sans jamais boire plus d'un verre à la fois.
Les vins rouges
De plus, ses acides organiques facilitent la digestion.
L'alcool ne fait pas que déshydrater le corps, il irrite aussi la paroi de l'estomac. Cette irritation est la cause des vomissements, voire des diarrhées, en cas de surconsommation.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
Ils commencent à se manifester habituellement 24 heures après la réduction drastique ou l'arrêt d'une consommation excessive d'alcool de longue durée. Le symptôme principal est la «trémulation» (tremblements), en particulier des mains, mais aussi parfois de la tête et de la langue.
Il peut s'agir d'une réaction de type allergique à certains composants de l'alcool mais il est possible aussi que vous soyez dépourvue de certaines enzymes permettant de métaboliser, c'est-à-dire de transformer l'éthanol dans votre organisme.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiques de manque quand vous ne consommez pas (tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements), mais elle est aussi psychologique, au point de ne plus arriver à vivre sans l'alcool.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.
Le cidre, chef des alcools qui ne font pas grossir !
Loin devant les autres, le cidre est l'alcool placé en tête parmi ceux sauveront les meubles si vous voulez vous faire un plaisir coupable, avec (seulement) 50 kcal pour une bolée de 15cl.
Une bouteille de 25 cl de bière blonde apporte 140 kcal. Le record est détenu par le whisky, un verre compte 380 kcal.