Avec modération… Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
D'autres études ont montré que le vin rouge aide à prévenir les dépôts dans la paroi artérielle, et des chercheurs de Johns Hopkins University aux États-Unis ont récemment découvert que le vin «protège le cerveau des lésions à la suite d'une attaque».
Le vin rosé contient un certain nombre de composés bénéfiques avec des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires potentielles. Les polyphénols contenus dans le vin rosé peuvent aider à abaisser le LDL, ou mauvais cholestérol, tandis que le potassium peut abaisser la tension artérielle.
Tout est dans ses pétales ! Ils contiennent de la vitamine A (notamment un super antioxydant), de la vitamine C (notamment un super anti grise mine), de la vitamine E (notamment un super anti-inflammatoire), des acides gras essentiels. Par ailleurs, ils ont des qualités antibactériennes, cicatrisantes et astringentes.
Est-il possible de boire de l'alcool avec une hypertension artérielle ? Boire de l'alcool n'est pas recommandé en présence d'une hypertension artérielle. L'alcool a un effet direct démontré sur les niveaux de pression artérielle.
Selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, un exercice de respiration appelé "entraînement de la force musculaire inspiratoire" permettrait aussi de réduire la pression artérielle en le pratiquant 5 minutes par jours.
Il peut réduire le taux de mauvais cholestérol
Le vin rosé contient de nombreux composés utiles aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes potentielles. Par exemple, les polyphénols présents dans le vin rosé peuvent contribuer à réduire le taux de LDL ou mauvais cholestérol.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Le vin rosé est un vin qui se boit assez facilement, qu'il soit un vin d'apéritif ou de table. Dans l'ensemble, c'est un vin qui se boit frais, entre 8 et 10 degrés pour les rosés d'apéritif, et entre 10 et 12 degrés pour les rosés de table. La température est très importante dans la dégustation des vins rosés.
0,2 g de sucres pour un vin rouge, 0,6 g pour un vin blanc sec, 2,5 g pour un vin rosé, 5,9 g pour un vin blanc doux.
Mais il en favorise l'apparition… L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Le vin protégerait ainsi le mauvais cholestérol de l'oxydation, le rendant ainsi moins toxique. Par ailleurs, il pourrait diminuer la formation des caillots sanguins et fluidifier le sang, à la manière de l'aspirine.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
STOCKHOLM, 4 septembre (APM-Reuters) - Une seule tasse de café peut suffire à augmenter la pression artérielle, et contribue à l'altération de la souplesse des artères, ce qui favorise aussi à long terme l'hypertension, met en évidence une étude grecque présentée au congrès de la Société européenne de cardiologie (ESC) ...
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Attention au risque de dépendance
Si un verre de vin par jour n'est donc pas, en soit, mauvais pour la santé, il peut créer une dépendance qui, elle, peut devenir dangereuse. Boire un verre de vin tous les jours c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en passer.
Mélangé avec de l'eau, le vin se dénature complètement, perd de ses arômes et de sa générosité.
1 g d'alcool apporte 7 kcal, contre seulement 4 pour le sucre. Mais ce n'est pas tout ! "Outre le fort apport calorique, le rosé est aussi suspecté de contenir beaucoup d'additifs, notamment le fameux soufre tant décrié", met en garde Christophe Lavelle, biophysicien et chercheur au CNRS.
En raison du contact minimal entre le jus et la peau, inhérent à la méthode typique de pressage direct du rosé, ce vin, contrairement aux vins rouges, ne bénéficie pas des avantages des polyphénols concentrés principalement dans la peau et les pépins.
Les vrais coupables du mal de tête sont les sulfites, des composés chimiques provenant du souffre utilisés par certains vignerons pour compenser le manque de tanins, des anti-oxydants présents dans le vin rouge, afin de stabiliser le vin et améliorer sa conservation.
En grande quantité, l'alcool augmente le risque
Les symptômes comprennent des palpitations cardiaques, un essoufflement et une faiblesse musculaire.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.