Dans l'espace intersidéral, où la température et la pression sont basses, l'eau gèle-t-elle ou bout-elle alors ? La réponse est : les deux.
Si vous portez un bol d'eau à température ambiante dans le vide son contenu va bouillir naturellement, sans que vous ayez besoin de le chauffer et une partie de l'eau va s'évaporer, et le reste geler : tout dépend de la température initiale.
Grâce à l'énergie solaire, l'eau des mers et des océans s'évapore dans l'atmosphère en se débarrassant de son sel et de ses impuretés. L'évaporation peut également provenir de la terre, nous parlerons alors d'évapotranspiration.
Rappelons que de l'eau liquide existe très vraisemblablement dans le sous-sol profond de Mars, et dans les océans sous-glaciaires d'Europe, de Ganymède, de Callisto, de Titan, d'Encelade, de Triton et de Pluton.
C'est beaucoup plus simple : les molécules d'eau sont attirées par la gravité terrestre, comme tout le reste. Le seul moyen par lequel quelque chose pourrait s'échapper dans l'espace depuis la Terre, c'est d'avoir une vitesse supérieure à la vitesse de libération.
À défaut d'exploser, il se passerait quand même des choses pas très agréables dans le corps de ce pauvre astronaute dépourvu de combinaison ! À cause de l'absence de pression dans le vide interstellaire, son sang et ses autres fluides corporels se mettraient à bouillir.
Le Géoïde quant à lui est une représentation du globe terrestre qui est une surface sur laquelle tous les points sont soumis à la même force de gravitation. En clair sur cette surface l'eau ne coule pas. Il s'agit d'une surface équipotentielle de la pesanteur.
L'eau est présente dans tout le cosmos, sous forme de glace ou de vapeur. Elle est même relativement courante à l'état de vapeur. Mais d'eau liquide, point, en dehors du système solaire où notre chère planète est la seule à jouir, au grand jour, du charme de l'eau liquide.
L'analyse des données recueillies par la sonde Juno de la NASA montre que l'eau compte pour environ 0,25 % des molécules présentes dans l'atmosphère à l'équateur de Jupiter.
bombardée par des météorites de taille kilométrique, libérant l'eau sous forme de vapeur au moment de l'impact. Il y a 3,9 milliards d'années, le bombardement s'achève et la croûte terrestre se refroidit à une température suffisamment basse pour que l'eau se condense sous forme liquide.
Dans l'espace, la face d'un satellite sur orbite terrestre exposée au Soleil (ou celle du scaphandre d'un astronaute) peut potentiellement monter à + 150 °C, tandis que celle à l'ombre descendra à – 120 °C puisque, contrairement à la plage sur Terre, il n'y a pas d'air ambiant.
➙ aqua-, hydr(o)-. L'eau est formée d'hydrogène et d'oxygène (H2O).
Lorsque vous êtes dans l'espace, il n'y a plus de pression, c'est un vide parfait, sans aucune molécule d'air.
Par exemple, l'eau bout à 100°C et la vapeur d'eau se condense à 100°C. Selon le type de substance, la température à laquelle l'ébullition se déroule varie énormément. Par exemple, à une pression normale de 101,3 kPa, l'eau liquide s'évapore à 100 °C, alors qu'il faut une température de 2 567 °C pour le cuivre.
L'hydrogène est combiné avec le gaz carbonique issu de l'expiration des astronautes, et transformé en eau potable et en méthane grâce à une réaction chimique que l'on appelle l'effet Sabatier. L'eau est donc toujours recyclée à bord de l'ISS », a-t-il expliqué sur France Info.
Ainsi, pour chaque pallier de 300 mètres d'altitude, l'eau bout environ un degré plus bas. Par exemple, l'ébullition a lieu à 93° à 2000 mètres, à 85° au sommet du Mont-Blanc, et à 72° à la pointe de l'Everest – et elle ne deviendra pas plus chaude. »
Jupiter semble assez peu hospitalière pour accueillir une forme de vie, en tout cas telle qu'on l'imagine. La pression et les températures sont extrêmes sur la géante, ce qui parait hautement incompatible avec le développement d'organismes.
Vénus n'a probablement jamais eu d'océan à sa surface ! Vénus, c'est l'une des quatre planètes rocheuses de notre Système solaire. Il y règne une température étouffante. Et pas une goutte d'eau ne peut aujourd'hui y couler.
Y a-t-il de l'eau sur Saturne ? Saturne n'a pas de surface solide, mais on y trouve bien de l'eau. Des traces d'eau sous forme de vapeur existent dans son atmosphère. En outre, ses anneaux contiennent principalement de la glace d'eau.
Vous avez sûrement entendu parler de la théorie du Big-Bang, qui décrit comment l'Univers est « né » d'un amas de matière très dense et très chaud il y a environ 13,7 milliards d'années. Une dilatation progressive, comme un ballon qu'on gonfle.
Uranus est la septième planète à partir du Soleil. Elle est qualifiée de géante de glaces, car elle est largement composée d'eau, d'ammoniac et de méthane sous forme solide. Comme toutes les autres planètes, Uranus s'est probablement formée dans un grand nuage de gaz, de poussière et de glace.
L'eau peut se former spontanément à partir de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène, mais seulement sous certaines conditions : Des quantités suffisantes d'oxygène et d'hydrogène, Une température pas trop élevée (pas plus de 2 000 à 3 000 °C) Un rayonnement ultraviolet pas trop important.
Dans l'espace, la gravité existe aussi. D'ailleurs, la Terre est attirée par le soleil et elle tombe vers lui. Mais comme elle se déplace très vite, elle ne l'atteint jamais et la Terre ne fait que tourner autour. On dit qu'elle est en orbite, comme les autres planètes du système Solaire.
Pendant très longtemps, il y a eu très peu de photos de la planète Terre montrant un hémisphère complètement éclairé. La raison est relativement simple : pour avoir une photo d'un hémisphère de la Terre dans sa totalité, il faut être suffisamment loin de la Terre, et il faut se trouver entre le Soleil et la Terre.
On parle de gravitation parce que cette force qui nous attire tous vers la Terre est appelée gravité. C'est grâce à la gravité que l'on ne tombe pas de la Terre, grâce à la gravité que le ballon de foot retombe vers la pelouse, la tartine sur le carrelage.