L'Eglise Catholique n'interdit plus la crémation depuis le 8 mai 1963 si cela n'est pas pour provoquer les choix de cultes de cette religion. L'Eglise recommande également de garder les cendres dans un cimetière pour qu'un lieu de repos éternel et de célébration soit bien déterminé.
La crémation et la religion
La crémation est en revanche totalement interdite par le coran et la religion orthodoxe et certains courants de la religion juive et de la religion protestante. Elle est tolérée par le bouddhisme et encouragée par l'hindouisme. Pour le jaïnisme et le sikhisme, la crémation est obligatoire.
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
il est aussi interdit de les disperser dans une propriété privée. Après un délai de 1 an, si les proches du défunt n'ont pas pris de décision, les cendres sont dispersées dans l'un des lieux suivants : Espace dédié du cimetière de la commune du lieu de décès. Site cinéraire le plus proche.
La crémation est autorisée par le maire du lieu du décès (ou du lieu de mise en bière en cas de transport du corps). L'autorisation est accordée sur présentation des documents suivants : Expression écrite des dernières volontés du défunt ou demande de la personne chargée de l'organisation des obsèques.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Pour organiser une crémation, il faut compter entre 1500 et 7000 euros. Ce tarif peut se varier selon les prestations choisies par les familles : cérémonies, chambre funéraire, salle de convivialité, fleurs, maître de cérémonie…
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
Effectivement, idée reçue car depuis la loi du 19 décembre 2008, il n'est plus possible de conserver chez soi les cendres du défunt. Désormais, l'urne funéraire pourra être scellée sur une pierre tombale, enterrée dans une sépulture ou enfin déposée dans un columbarium.
Depuis 2008, il est interdit de conserver des cendres funéraires à son domicile. Pour mieux régir la dispersion des cendres funéraires, il est aujourd'hui possible d'inhumer les cendres dans un espace cinéraire tel qu'un columbarium, de les disperser dans un jardin du souvenir ou en pleine nature.
Le cercueil en carton est bien moins cher que le cercueil traditionnel. Son prix se situe entre 600 € et 800 €. En comparaison, un cercueil traditionnel peut coûter entre 600 € et plus de 2000 €.
Ainsi, de nos jours, tout crématorium est tenu d'accepter les cercueils en carton dès lors qu'ils sont conformes aux normes AFNOR NFD80-001-1 et NFD80-001-3. Apprenez-en plus ici sur les normes réglementaires en vigueur quant au cercueil fait à base de carton.
Les raisons évoquées sont à la fois :
économique (avec l'idée que le prix d'une crémation est inférieur à celui d'une inhumation, ce qui n'est pas systématique) pratique (pas de concession à acquérir et pas de tombe à entretenir en cas de dispersion des cendres) philosophique.
Comment évolue un corps dans un cercueil ? "Là encore, cela dépend de plusieurs facteurs, l'étanchéité du cercueil, l'hydrométrie, la profondeur à laquelle le cercueil est enterré notamment", répond le médecin légiste. Si le corps est enterré à faible profondeur, au soleil, la décomposition est accélérée.
Aujourd'hui, les jardins du souvenir et les columbariums, où les familles peuvent disperser les cendres de leurs proches, existent dans presque toutes les communes de l'Eure. Les crématoriums rejettent du mercure et des solvants qui émettent du gaz à effet de serre.
Les cendres ne peuvent désormais plus être partagées entre les héritiers. Elles sont recueillies dans une urne. L'urne pourra être conservée pour une durée d'une année au maximum au crématorium ou dans un lieu de culte après accord de l'association cultelle.
C'est interdit, car la Seine est une voie navigable et à ce titre assimilable à une voie publique. Reste à savoir qui s'y opposerait. Et il n'y a pas de sanction de prévue. Rappelons que la dispersion des cendres ne peut se faire que si le défunt a exprimé avant sa mort la volonté d'être crématisé.
Le prix d'un emplacement en columbarium
Votre niche vous est acquise pour un certain nombre d'années, allant de 5 à 50 ans, voire à perpétuité. Les tarifs d'un columbarium varient selon les villes et les régions, et sont généralement compris entre 350 euros et 1200 euros.
Ainsi, les pompes funèbres en charge des obsèques ne peuvent pas garder l'urne funéraire après la crémation du défunt, car la loi considère les locaux de l'entreprise comme un dépôt privé, au même titre que le domicile de la famille (sauf le temps de quelques jours après la crémation).
On pense parfois bien faire en leur cachant le décès d'un proche, mais ils ne manqueront pas de le sentir, à notre contact. Il est donc essentiel de leur dire la vérité. Tous les spécialistes de l'enfance s'accordent sur la question. Il n'y a pas d'âge minimum pour annoncer à un enfant la mort d'un proche.
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
Un cercueil de bonne qualité peut durer jusqu'à plus de 50 ans. D'un autre côté, les bois tendres comme le pin sont moins résistants et sélectionnés généralement pour une crémation.
La mutuelle n'opère un remboursement de frais d'obsèques que si le défunt est un membre. En d'autres termes, il faut que votre proche ait souscrit à ce service de la mutuelle et soit à jour dans le règlement de la rente.
La prise en charge des frais d'obsèques par la commune
Lorsque les héritiers et ayants droit n'ont pas les ressources financières suffisantes, l'enterrement peut être pris en charge par la commune (entièrement ou partiellement).
Pour le décès d'un salarié du secteur privé, les ayants droit du salarié décédé peuvent demander à la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) dont dépendait le défunt au moment du décès, le versement d'un capital décès.