Si votre enfant refuse d'aller chez son père, ce dernier sera en droit de porter plainte contre vous pour non-présentation d'enfant. La non-présentation d'enfant constitue un délit pénal. Au maximum, vous pourriez être condamnée à une peine d'un an d'emprisonnement et à 15 000 euros d'amende (Code pénal, art....
Dès que votre enfant devient majeur, il est libre de choisir son lieu de résidence et peut refuser de voir l'un de ses parents. Le juge n'étant plus compétent pour statuer sur sa résidence.
Normalement, l'enfant ne peut pas refuser d'aller chez un parent, sauf si le juge estime que cela est contraire à son intérêt. Si l'enfant refuse d'aller chez l'autre parent, il faut tout mettre en place pour que la visite se déroule quand même. Évidemment, l'usage d'une contrainte physique n'est pas recommandé.
Tant que l'enfant est mineur (moins de 18 ans), il ne peut pas décider seul chez quel parent il vit. Mais il peut donner son avis. Quel que soit son âge, l'enfant a le droit d'être entendu par le juge.
Modèle de lettre
Je vous serais reconnaissant(e) de bien vouloir demander aux magistrats qui seront chargés de juger [mon conjoint/ma conjointe] en raison des faits qui lui sont reprochés de lui retirer totalement l'autorité parentale, ainsi qu'en dispose l'article 378 du Code civil.
Ecouter ce qu'il a à dire d'abord est très important. Essayer de voir ce qui est de la réalité ou de ses craintes d'enfant. Essayer d'établir un dialogue avec son père et de lui expliquer la situation. Comprendre qu'un enfant a besoin de son père même si vous n'êtes pas en accord avec lui.
Si vous êtes en cours de procédure de divorce judiciaire, le droit de visite et d'hébergement de votre enfant a probablement été fixé dans une décision de justice. Dans ce cas, tant que le divorce n'est pas prononcé, vous devez vous adresser à votre avocat pour faire modifier ce droit.
Dès 12 ans généralement, les enfants peuvent avoir un livret jeune et une carte de retrait, avec l'autorisation de leurs parents et sous leur responsabilité.
À 12 ans. L'adolescent peut ouvrir un livret jeune à la banque et posséder une carte de retrait, avec l'accord de ses parents.
Les critères retenus pour la garde exclusive
La disponibilité des parents. La capacité des parents à s'occuper de leurs enfants. Les relations de chacun des parents avec leurs enfants. Le souhait des parents.
Dans l'Indiana : « Dans l'Indiana, les souhaits d'un enfant concernant la garde ne sont pas pris en compte jusqu'à ce que l'enfant ait au moins 14 ans, afin de minimiser toute influence indue d'un parent. »
Les tribunaux de la famille de l'Ontario ont généralement convenu que lorsqu'un enfant refuse d'avoir un droit de visite avec son autre parent conformément aux modalités d'une ordonnance du tribunal, le parent qui a l'enfant avec lui devrait traiter la situation et l'enfant de la même manière. qu'ils feraient si leur enfant refusait de...
Le parent qui a la résidence habituelle de l'enfant peut déménager librement. Vous devez informer l'autre parent de votre nouvelle adresse par tous moyens. L'autre parent ne peut pas s'opposer à votre déménagement.
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
Quel est le droit de visite minimum ? En théorie, la loi ne prévoit pas de temps minimum pour ce droit de visite. Bien souvent les parents vont définir la fréquence et la durée des visites en tenant compte des besoins spécifiques de l'enfant ainsi que de ses souhaits.
Pour les mineurs de 13 à 16 ans, la durée maximale est de 24 h de garde à vue, renouvelable une fois. Pour les mineurs de plus de 16 ans, la durée maximale de garde à vue peut dans certains cas être prolongée au-delà de 48 h. En garde à vue, on a le droit de voir un avocat dès la première heure, de voir médecin.
Le mineur âgé de 14 ans et plus peut consentir seul aux soins et aux traitements qui sont requis par son état de santé, s'il est apte à consentir. Les critères d'appréciation de l'aptitude à consentir du mineur sont les mêmes que ceux du majeur inapte.
Vers 13 ou 14 ans, le pénis grossit également tandis que la peau des testicules s'assombrit légèrement. C'est dans ces périodes que surviennent les premières éjaculations nocturnes. C'est aussi à cette période que la voix commence à muer et que le corps de votre enfant connait un pic de croissance.
Aux yeux de la loi, il n'existe pas d'âge minimum pour laisser un enfant seul à la maison. Une précision est donnée au sujet du délaissement de mineur : cela concerne les enfants de moins de 15 ans laissés livrés à eux-mêmes d'une manière où leur sécurité et leur santé sont mises en danger.
« Il est interdit aux jeunes de moins de 16 ans non accompagnés d'un parent ou d'une personne responsable de sortir seuls le soir après 24 heures.
Les parents ont l'obligation d'héberger leur enfant (ils ne peuvent donc pas mettre à la porte leur enfant mineur) et celle de subvenir à ses besoins même après 18 ans si l'enfant poursuit ses études (ce qui signifie le nourrir et l'habiller, mais pas forcément lui fournir de l'argent de poche).
Un enfant est un jeune être humain en cours de développement et dépendant de ses parents ou d'autres adultes. La convention relative aux droits de l'enfant définit l'enfance comme la période de la vie humaine allant de la naissance à 18 ans.
En cas de séparation, le père non marié continue d'exercer une autorité parentale pleine et entière, sauf à la perdre pour des comportements graves et bien identifiés, ou de s'en voir privé, en totalité ou en partie, par les modalités d'exercice décidées ou homologuées par le juge.
Devoir de protection et d'entretien
Les parents doivent veiller sur sa sécurité et contribuer à son entretien matériel et moral, c'est-à-dire le nourrir, l'héberger, prendre des décisions médicales, surveiller ses relations et ses déplacements...
A la question « peut-on refuser la garde alternée ? », la réponse est oui. En effet, la Cour de Cassation a pu juger dans un arrêt du 19 septembre 2007 que « le juge n'est pas tenu, en cas de désaccord des parents, d'ordonner la résidence en alternance à titre provisoire ».