Parfois, on entend dire que les Anglais adorent la France et l'accent français… et parfois, on affirme aussi que les Anglais détestent les Français. Sans compter que nos voisins britanniques utilisent parfois des mots français dans la conversation !
D'une façon analogique, les Anglais reprochent aux Français les défauts qu'ils n'ont pas : on les voit rusés jusqu'à la malhonnêteté, débrouillards, querelleurs, cyniques et superficiels ».
i vous demandez à votre voisin, qui a voyagé, pourquoi les Anglais appellent les Français Frogs, «grenouilles », et, par diminutif, Froggies, « grenouillettes », il vous répondra que c'est parce que nous mangeons les cuisses de ces batraciens des étangs.
La vie anglaise repose sur la confiance, la simplicité, le sens de l'observation. Les Anglais regardent attentivement les hommes, avec bonne foi, sans se croire obligés de conclure. Ils n'ont pas inventé le crédit, mais ils l'ont pratiqué avec efficacité.
En s'attardant sur l'histoire, la vie courante, la langue , la géographie, la culture, les institutions, l'agriculture ou encore le sport, l'économie, l'éducation et le droit, l'auteur s'attache à démontrer les oppositions, paradoxes ainsi que les raisons, sources de tant de conflits, d'une telle inimitié entre les ...
Au-delà des considérations pratiques concernant la détention d'un passeport européen, les anglais sont nombreux à investir en France pour profiter des taux bas en vigueur et des prix de l'immobilier français abordables.
Il ne supportait pas la mondialisation de la culture américaine et souhaitait qu'en France, et au delà, ce soit la culture française qui rayonne. Or, historiquement, les Britanniques sont proches des Américains, ce qui ne plaisait pas du tout au président de Gaulle.
Dans de nombreux pays occidentaux, les rapports sexuels se font de plus en plus rares. Un phénomène mis en en avant par une étude au Royaume-Uni : la majorité des britanniques font l'amour moins d'une fois par semaine. Passer plus de temps sous la couette en amoureux.
Les Anglais ont un sens de l'humour, et plus précisément un goût de l'autodérision qui anesthésie la peur du regard de l'autre et, ce faisant, libère leur originalité. Certes, ils peuvent apparaître mal fagotés, négligés, excentriques et même grotesques mais jamais, ô grand jamais, ennuyeux !
D'abord, parce que l'accent est une composante très importante dans la langue anglaise, ainsi que l'explique Jean Pruvost, linguiste et auteur de La Story de la langue française (Tallandier). «Quand nous nous distinguons par notre attention scrupuleuse à l'orthographe, outil de ségrégation pour nous, de leur…
France : l'hexagone
Si la France est également nommée hexagone, nul besoin d'aller chercher dans l'histoire, cela est simplement dû à sa forme hexagonale. Si la France était représentée au XIXe par les hussards noirs sous la forme d'un hexagone, c'est dans les années 1960 qu'on lui a donné ce nom.
«Ils adorent découvrir les régions, nos terroirs, nos traditions, et raffolent des marchés locaux où ils aiment dénicher des spécialités locales à cuisiner à la française...» Culture, patrimoine, gastronomie... Vue de l'étranger, la France a souvent des airs de carte postale.
Les Britanniques se concentrent particulièrement dans une vaste zone qui s'étend de la Haute-Vienne au Gers, englobant la Charente et la Dordogne. Ainsi, 43 % des Britanniques installés en France habitent en Nouvelle-Aquitaine ou en Occitanie (respectivement 39 200 et 24 900 personnes).
Les Français sont romantiques, galants et attentionnés
On dit que les Français sont romantiques, galants et attentionnés et plus évocateur : la réputation du “French lover” ou du “french kiss” n'est plus à faire.
Comment expliquer ce phénomène ? Sont-elles immunisées contre le froid ? Stephen Clarke : Au départ, les Anglais ne sont pas immunisés contre le froid. Cela s'est inscrit dans leur patrimoine génétique après plusieurs dizaines d'années de consommation d'alcool.
Ils ont toujours une pensée gentille et ne diront jamais s'ils n'aiment pas quelque chose. Ils sont polis c'est tout, enfin parfois il faut quand même lire entre les lignes. Si au supermarché, la caissière que vous ne connaissez ni d'Eve ni d'Adam vous appelle « My dear » ou « My Love », c'est normal.
Ils ne râlent jamais (sauf si tu t'aventures à doubler dans une file d'attente). De plus, ils sont plutôt serviables, si tu as besoin d'un renseignement dans la rue ou dans un magasin ils t'aideront pratiquement toujours et avec le sourire et ça c'est plutôt agréable !
“Les Anglais sont très gentils et respectueux”, souligne Mélody. D'autant plus agréable lorsque l'on est une femme… “Ici, je ne suis jamais fait embêter dans la rue. Je prends de bus la nuit sans aucun souci”, décrit-t-elle. Mais c'est dans l'art de faire la queue que la politesse anglaise s'illustre le plus.
Les Anglais sont européens. Ils vivent comme nous, mais ils ont quelques habitudes différentes des nôtres. Quand ils font des achats dans un magasin, les An- glais ne payent pas en euros. Ils font partie de l'Eu- rope, mais ils conservent leur monnaie anglaise : la livre sterling.
'Sweetheart', 'love' et 'darling' : termes d'affection employés au Royaume-Uni.
Les Anglais tiennent à cet espace qu'ils estiment comme le leur, et qu'il est très impoli d'envahir. Ainsi, quand on parle à quelqu'un, on évite de se pencher vers cette personne. En général, elle peut très bien entendre d'où elle se trouve.
Crevettes, huîtres, viande saignante, ail,... sont bannis à la table de la reine Elizabeth, du prince Charles, de Kate et William.
Charles de Gaulle arrive à Londres le 17 juin 1940 avec l'intention de négocier avec les Britanniques, alliés de la France, la poursuite de la guerre, après avoir exposé son plan à Paul Reynaud. Il rencontre le Premier ministre britannique, Winston Churchill, dans l'après-midi.
Le gouvernement arrive à Bordeaux. De Gaulle est accompagné de son aide-de-camp Geoffroy de Courcel, qu'il a choisi parce que ce secrétaire d'ambassade qui avait été en poste à Athènes parle parfaitement anglais. En apprenant que le maréchal Pétain remplace Paul Reynaud, de Gaulle remet sa démission au gouvernement.
Il veut cesser le combat et négocier un armistice avec le pouvoir hitlerien. Charles de Gaulle refuse ce choix. Le 17 juin 1940, il repart pour Londres rejoindre Churchill, convaincu lui aussi que le combat contre les nazis doit se poursuivre. Dès le lendemain, De Gaulle décide d'agir.