Pour qu'un avion décolle, il est essentiel que ses ailes génèrent de la portance, un phénomène directement lié à la vitesse de l'air sur les ailes. Ainsi, théoriquement, un avion face à un vent fort pourrait décoller même à l'arrêt, comme le démontre certaines vidéos spectaculaires.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
Il faut des conditions météorologiques extrêmes - un brouillard très épais, un ouragan, une tornade ou un blizzard - pour retarder le décollage de votre avion. N'oubliez pas que les vols sont retardés en raison des conditions météorologiques au départ, en route ou à l'arrivée.
Pour des raisons de sécurité, les avions doivent de préférence faire face au vent pendant le décollage et l'atterrissage afin d'assurer la sécurité des opérations. De cette manière, le vent réduit leur vitesse au minimum durant l'atterrissage et assure leur portance au décollage.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Si on prend en compte les avions capables de décoller et atterrir de manière autonome, c'est le Lockheed SR-71 Blackbird qui est l'avion le plus rapide de l'histoire, avec une vitesse maximale de plus de 4.000 km/h, soit l'équivalent de Mach 3,32.
Oui, s'il n'y a pas d'autres conditions météorologiques, comme des orages ou des ouragans, les hydravions peuvent voler ainsi que décoller sous la pluie.
Pour qu'un avion décolle, il est essentiel que ses ailes génèrent de la portance, un phénomène directement lié à la vitesse de l'air sur les ailes. Ainsi, théoriquement, un avion face à un vent fort pourrait décoller même à l'arrêt, comme le démontre certaines vidéos spectaculaires.
Heureusement, les avions sont équipés de radars de pointe qui localisent précisément les cellules orageuses pour pouvoir les éviter. Au sol également, les orages peuvent être un problème, par exemple si la piste d'atterrissage est trop mouillée ou que le pilote manque de visibilité pour atterrir.
Voici quelques raisons pour lesquelles les vols sont généralement interdits en cas d'orage : Turbulences : Les orages sont souvent associés à des turbulences graves, ce qui peut rendre le vol très inconfortable et potentiellement dangereux pour les passagers et l'équipage.
L'aviation est le mode de transport le plus néfaste pour le climat et une des sources d'émissions de gaz à effet de serre (GES) dont la croissance est la plus rapide. Dans les vingt prochaines années, l'industrie espère doubler le nombre de voyageur.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
La raison principale, c'est pour consommer moins de carburant : Les avions de ligne volent en croisière entre 7.000 et 12.000 mètres d'altitude, car à cette hauteur, l'air est beaucoup moins dense et oppose moins de résistance à l'avion.
Paris : pourquoi les avions et hélicoptères ne peuvent-ils pas survoler la capitale ? Si vous voyez un avion se rapprocher un peu trop près la capitale, un seul conseil : fuyez. Car Paris ne peut pas être survolée à moins de 2000m d'altitude, sauf urgence.
Pourquoi un avion ne peut pas atterrir ? Il existe plusieurs raisons pour lesquelles un avion ne peut pas atterrir. Les conditions météorologiques sont parmi les plus courantes. Par exemple, un vent arrière supérieur à 5 nœuds peut empêcher un avion d'atterrir sur certaines pistes.
C'est à la configuration de l'atmosphère que l'on doit ce décalage temporel. Il existe en haute atmosphère des vents d'ouest permanents qui accélèrent l'avion lorsqu'il va d'ouest en est, mais le ralentissent lorsqu'il vole à contre-courant.
Lorsqu'un avion vole, 4 forces différentes s'exercent sur l'engin en mouvement. La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. À l'inverse, le poids est une force qui attire l'avion au sol.
S'il n'y a pas de contamination de glace ou neige, l'avion peut décoller », explique Réal Lépine, directeur général de la station d'Aéro Mag à Dorval et Mirabel. « Le produit qu'on applique pour dégivrer est de l'éthylène glycol, c'est du type 1 de couleur orangée et chauffé de 60 à 80 degrés Celsius. »
Le Golfe du Bengale
Cette zone sac à vomi se situe entre l'Inde et les côtes Birmanes et est réputée pour ses fortes turbulences, et ce, quelle que soit la saison. En cause, la présence non loin de l'Équateur, qui coupe le globe terrestre en deux et où se rencontrent les vents de nord et du sud.
Lorsqu'un avion traverse une zone de turbulence électrique, il peut être frappé par la foudre sans que cela ne compromette la sécurité du vol.
Le MiG-31 : Mach 2.83 (3300 km/h)
Il est entré en service en 1981. Equipé de deux turboréacteurs Soloviev D-30, il affiche une vitesse de pointe hallucinante de Mach 2.83, plus de 3 300 km/h à 3 000 m d'altitude.
Pour ce qui est du présent, le titre de l'avion de ligne le plus rapide au monde appartient à l'avion de passagers Airbus A380. Le Super Jumbo a une vitesse maximale désignée de Mach 0,96 ou 96% de la vitesse du son à 39.000 pieds (environ 1.020 km/h), ce qui en fait l'avion subsonique le plus rapide en circulation.
La Storch (« cigogne ») a été fabriquée en 1937 par la société Gerhard Fieseler. Sa finesse technique en a fait l'avion de combat le plus lent du monde en cas de besoin. Le Fieseler Storch était utilisé comme avion de reconnaissance, de transport et médical.