Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
Rassurez-vous : la plupart des aéroports sont ouverts la nuit. En tout cas, les aéroports internationaux, oui.
Puis-je passer la nuit à Orly ? L'aéroport d'Orly est fermé de 0h30 à 3h30. Cependant, si vous êtes munis d'une convocation, fournie par votre agence de voyages, ou d'un billet d'avion vous pouvez vous présenter pour patienter dans le terminal de départ.
Le salaire d'un pilote de ligne se situe en moyenne à plus de 100 000 euros de rémunération annuelle, soit plus de 8 000 euros bruts mensuels.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
Pour les avions
En général, les aéroports se ferment aux vols commerciaux entre 23h et 06h du matin, afin de respecter des accords en matière de nuisances sonores. En pratique, ce n'est pas une règle universelle puisqu'il n'est pas rare, surtout l'été, de voir des vols commerciaux atterrir après 2 ou 3h du matin.
L'aéroport CDG est ouvert 24h/24
Il est ouvert 24h/24, mais si vous voulez passer la nuit où que ce soit dans l'aéroport, il faudra passer aux points de contrôle de sûreté avant 23h. Autrement, vous serez obligés de passer la nuit à l'enregistrement, ou aux zones antérieures à ces points de contrôle.
Les hôtels pour se loger à Orly
Vous avez notamment les grandes chaînes Ibis ou Novotel mais qui sont reliés à l'aéroport par des navettes à toute heure du jour ou de la nuit.
L'idéal pour passer une bonne nuit est de rester en zone de transit. On appelle cet endroit également la zone d'embarquement. En dormant en zone de transit on reste sous douane et c'est franchement l'option la plus sûre. La zone sous douane est donc la zone qui se trouve entre le contrôle des passeports et l'avion.
Le commandement numéro un est de toujours rester près de vos bagages sous risque de vous faire interpeller par la sécurité (vous pouvez même les utiliser comme oreiller ou repose-pieds pour dormir sans être inquiété); ou bien, si l'aéroport propose ce service, stocker les bagages dans des casiers appropriés.
Ils signalent de jour comme de nuit l'intention de décoller ou d'atterrir. Ils sont généralement éteints en vol de croisière. Ils peuvent être utilisés sporadiquement pour vérifier les conditions atmosphériques : si l'avion est dans la couche, celle-ci est éclairée, alors qu'en ciel clair, les phares n'éclairent rien.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Peut-on sortir de l'aéroport lors d'une escale ? A priori, rien ne s'y oppose.
Le Yotelair dans la zone de transit sécurisée dans le terminal T2E - satellite L de l'aéroport Charles de Gaulle, propose des cabines de repos. Vous pouvez dès lors réserver à tout moment une chambre-cabine lors dans votre temps de transit ou si vous devez partir très tôt le lendemain matin.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
L'air insufflé dans la cabine est donc recyclé en moyenne toutes les 2 à 4 minutes. Le système HEPA extrait donc de l'air extérieur et le mélange à de l'air recyclé, « propre » puisque débarrassé de ses particules indésirables... Voilà qui explique pourquoi l'air circulant dans l'avion est froid.
Un avion est plus lourd que l'air et pourtant il vole. L'une des raisons est que l'avion s'appuie sur l'air. Ses ailes ne sont pas parallèles au sol, elles sont conçues pour être légèrement inclinées vers le haut. Ainsi, elles dévient l'air vers le bas, ce qui crée une poussée vers le haut.
La première n'est autre que le port d'une couche pour adulte, ce qui n'est pas franchement confortable. La seconde est tout simplement de se retenir de faire ses besoins, mais là encore, les contraintes sont peu acceptables.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Dans l'univers aéronautique, le sujet n'est pourtant pas tabou. Sur court et moyen-courrier, l'aviation civile autorise les pilotes à dormir s'ils se sentent fatigués. Sur long-courrier, où les vols peuvent dépasser les 10h, c'est même une nécessité, trois à quatre pilotes étant amenés à se relayer.