Mais s'il s'ennuie ou a faim, pour satisfaire son besoin de brouter, votre cheval peut essayer de mâcher de l'écorce, des branches ou des feuilles d'arbre.
A la base non, on peut donner du sapin sec - sauf que de nos jours la plupart des sapins (surtout ceux qu'on vend pour Noel) sont bourres de pesticides et traite a fond avec des produits chimiques qu'il vaut mieux s'abstenir de les donner aux chevaux.
Pour répondre à cette question, de nombreuses hypothèses sont émises : goût de l'écorce ou de la sève, consommation pour réguler la population parasitaire, impact sur le plan digestif, expression du stress ou de l'ennui... on peut aussi considérer que ce comportement revient suite à un changement dans la configuration ...
Les causes les plus couramment évoquées sont : l'ennui, le manque de minéraux et la mauvaise manie. Les solutions proposées sont variables, mais ,en général, il sera conseillé de donner un mauvais goût au bois. Le comportement disparaît alors, mais, bien souvent, le problème demeure.
Les miens sont badigeonnés à l'huile de lin + sicatif (pour éviter que ça reste gras et collant). Le bois dure beaucoup plus longtemps exposé à la pluie et les chevaux n'y touchent pas. Odeur discrète et pas désagréable.
Dans le cas d'un ulcère, le cheval va être plus agressif et présenter des troubles de l'alimentation spécifiques. Par exemple, manger de la terre ou du crottin, comme pour se faire lui-même une sorte de pansement.
Mort en 3 jours. Le cytise : très fréquent dans les jardins, toute la plante est toxique. Le cheval tente de vomir, puis convulsion et coma.
Au printemps, également, l'ingestion de feuilles de chêne est à surveiller. En effet, l'ingestion de glands à l'automne ou de jeunes feuilles au printemps provoque des troubles digestifs et une insuffisance rénale chez les équidés, les bovins et les chiens.
Absolument pas toxique, et comme le dit Tessa, c'est même plutôt bénéfique.
Les plantes à la plus haute toxicité pour les chevaux sont l'ellébore, l'euphorbe, la belladone, l'absinthe et l'aconit. Le cheval est doté d'un solide instinct et l'ingestion de ces plantes est souvent accidentelle.
Des sapins de Noël pour toutes sortes d'animaux
Celles qui en raffolent le plus seraient les chèvres, mais pas seulement. Les chameaux, les bœufs, les bharal (caprin de l'Himalaya) et les takins (bovins d'Himalaya) ne dédaignent pas, dans leur menu, quelques épines ou écorces de sapin.
Les arbres d'ombrage seront plutôt le mûrier platane, le hêtre, le tilleul ou encore le frêne. Si vous cherchez à protéger vos chevaux du soleil l'été et du vent l'hiver, nous vous conseillons plutôt les haies brise-vent comme un saule, un noisetier ou encore l'osier.
Fétuque des prés (plante vivace) Dactyle pelotonné (pauvre en fructanes, résistant à la sécheresse, appétissant pour les jeunes chevaux) <20 % trèfle blanc ( comble les espaces vides, particulièrement riche en protéine) herbes locales (plantain lancéolé, ortie, chardon-marie, pissenlit, carotte sauvage)
Le tilleul calme, détend, repose, apaise sans provoquer de risques d'accoutumance. Le tilleul est conseillé pour les chevaux nerveux, stressés, avec éventuellement des désagréments digestifs.
Une grande toxicité des glands quand ils sont verts
Leur teneur diminue avec leur mûrissement et quand ils deviennent marrons et desséchés, leur toxicité est nulle et ils peuvent être consommés.
Le laurier rose, natif des territoires méditerranéens, se répand en tant que plante ornementale : cela n'est pas sans danger ! Le laurier rose (Nerium oleander) est un représentant de la famille des Apocynaceae de très haute toxicité pour les chevaux.
Reconnu pour ses propriétés reminéralisantes et antioxydantes, le Bambou, très riche en silice est recommandé pour renforcer les os, le cartilage ainsi que les tendons du cheval. Il agit particulièrement lors de fragilités ou de raideurs.
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
En effet, le fait d'avaler des pierres permettrait de se lester et donc de fournir moins d'efforts pour ne pas remonter à la surface. Enfin, une dernière théorie veut que cette habitude soit un moyen de soulager la faim. Et pour cause, en mangeant des cailloux, l'animal peut ainsi se sentir rassasié.
En général, ce comportement est le symptôme d'un déséquilibre, soit alimentaire, soit comportemental. En cas de carence alimentaire (manque de vitamines, d'oligoéléments ou insuffisance de la ration), le cheval peut avoir tendance à manger ses crottins ou ceux des autres chevaux.