Chez la femme, 50 % de la testostérone circulante sont produits directement par les ovaires et les glandes surrénales alors que l'autre moitié provient de la conversion périphérique de précurseurs hormonaux tels que la DHEA (déhydroépiandrostérone).
Testostérone chez la femme
Elle sert de protection pour les muscles, y compris les muscles cardiaques en réduisant le mauvais cholestérol (HDL). Elle réduit le stockage de la graisse sous-cutanée. Elle participe également à la protection des os. À un taux normal, elle régule le désir et la libido.
Les changements hormonaux lors de la ménopause bouleversent tout sur leur passage. La baisse du taux de testostérone, qui joue un rôle dans le désir sexuel, entraîne notamment une baisse de la libido. Pour y remédier, il est possible de suivre un traitement à base de cette hormone.
Les œstrogènes augmentent la libido, tandis que la progestérone la diminue. C'est pourquoi chez de nombreuses femmes, le désir sexuel est boosté aux alentours de l'ovulation (et donc, du pic d'œstrogènes), mais baisse après ce pic, lorsque le taux de progestérone augmente.
La fonction sexuelle étant régulée par la testostérone, une baisse de la production de testostérone peut être la cause d'une dysfonction érectile. Voilà pourquoi on fait systématiquement une prise de sang, pour mesurer la testostérone.
Non seulement elle est présente dans le corps masculin où elle est synthétisée par les testicules et les glandes surrénales, mais en plus, la progestérone agit en faveur de la masculinité ! En effet, cette hormone stéroïdienne est un précurseur de la testostérone, l'hormone sexuelle masculine.
«L'acte sexuel, quelle que soit sa fréquence, n'a aucun impact sur la production de testostérone chez l'homme», explique le Pr Philippe Bouchard, endocrinologue à l'hôpital Saint-Antoine à Paris.
L'ocytocine : hormone de l'amour, de la confiance et du lien conjugal et social.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
La consommation de bœuf a des effets positifs sur le taux de testostérone. Très riche en protéines, en zinc et en acides gras saturés, il optimise les taux de testostérone dans l'organisme. À l'inverse, une alimentation sans viande peut diminuer le niveau de testostérone.
On augmente donc considérablement l'excès de testostérone et dans ce cas, il y a des risques cardiovasculaires qui apparaissent liés notamment à la polyglobulie parce que le taux de globules rouges augmente (risque de caillot, risque d'accidents vasculaires…).
Lance-toi donc dans une activité comme la course à pied, le vélo ou le rameur. Le HIIT peut aussi se révéler très intéressant pour booster le taux de testostérone. C'est en tout cas ce que suggèrent des recherches publiées dans Endocrine Connections.
En moyenne, la concentration de testostérone dans le sang est environ deux fois forte chez les hommes que chez les femmes.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de testostérone, qui peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, sont : chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. chez la femme : 0,3–3,0 nmol/L.
La dopamine : lorsque vous satisfaisez un besoin naturel de votre corps comme un désir sexuel, la dopamine vous apporte un sentiment de bien-être. La mélatonine : produite lors d'un rapport, cette hormone nous endort.
Le cœur, organe de l'amour.
Recevoir et faire des câlins permet de secréter de l'ocytocine, l'hormone liée à l'amour, à l'empathie, à l'attachement,... Embrasser son enfant et le prendre dans ses bras favorise ces décharges d'ocytocine qui sont très importantes pour la régulation du stress.
Se priver de sexe revient à limiter la libération de ces hormones et donc à s'exposer à des risques plus élevés de déprime. Le manque de sexe peut également affecter le sommeil. Durant l'acte sexuel, le corps produit en effet des hormones (prolactine, mélatonine, ocytocine) qui améliorent la qualité du sommeil.
Entre les fesses et la poitrine, les hommes français ont tranché : ce sont les premières qui les attirent le plus. Toutefois, l'écart entre ces deux parties du corps est relativement faible : 27 % s'intéressent d'abord aux fessiers et 23 % aux seins.
Couple : Les hommes préfèrent les grandes minces !
Les femmes mesurant moins d'1m60 et négligeant leur silhouette en privilégiant les petits écarts fatals à la salle de sports ont moins de chance de séduire ces messieurs.
La femme la plus attirante est celle qui n'a pas peur de se battre pour la vie qu'elle veut tout en s'assurant qu'elle a du temps pour les choses qui la rendent heureuse. Prendre soin de soi est un signe que vous vous valorisez, et les hommes apprécient cela chez une femme.
Mécanique de la « débande »
Ce phénomène empêche l'érection qui a besoin que les vaisseaux se gorgent de sang. Perdre l'érection est donc un phénomène chimique et mécanique qui est ordonné par notre cerveau.
Hormones du plaisir et meilleure estime de soi
En plus d'optimiser notre santé, le sport entraîne un savant jeu d'hormones, bénéfique au désir. Dès 30 à 40 minutes d'effort, notre organisme sécrète des endorphines, appelées également hormones du plaisir.