Depuis 2 ans, on le sait : la fessée, la déculottée, la branlée, et au-delà les "violences éducatives ordinaires", sont interdites en France. Il y a deux ans déjà, 33 des 47 pays membres du Conseil de l'Europe interdisaient tout
Le 2 juillet 2019, la France est devenue le 56 ème Etat à voter une loi sur les “violences éducatives “. La fessée est désormais interdite ! Déjà votée par l'Assemblée nationale, la loi vient d'être adoptée à main levée par le Sénat.
La loi anti-fessée vient d'être adoptée en France. Il est donc désormais interdit de punir son enfant par un quelconque geste violent.
Aucune sanction pénale prévue
L'arrivée de cette loi ne prévoit pas de sanction. Rappelons que la maltraitance des enfants est déjà passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 20 ans de prison.
La Suède est le premier pays à l'avoir inscrit dans sa loi, c'était en 1979. Elle a été suivie par ses voisins scandinaves, puis de l'Autriche, de l'Allemagne, des Pays Bas et des anciens pays du bloc soviétique. Dernière en date, la Slovénie.
Toute personne peut faire rectifier, compléter, actualiser, verrouiller ou effacer des informations la concernant lorsqu'ont été décelées des erreurs, des inexactitudes ou la présence de données dont la collecte, l'utilisation, la communication ou la conservation est interdite.
Une discipline efficace et positive éduque et guide l'enfant au lieu de le forcer à obéir. […] La discipline vise à modifier un comportement et non à punir les enfants. La discipline permet aux enfants de développer leur propre autodiscipline et à devenir des adultes matures d'un point de vue affectif et social.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
fessée n.f. Série de coups sur les fesses. fesser v.t. Frapper quelqu'un sur les fesses.
Les violences éducatives ordinaires (VEO) regroupent les violences physiques, verbales et psychologiques qualifiées d'éducatives parce qu'elles font partie intégrante de l'éducation à la maison et dans tous les lieux de vie de l'enfant, dont les écoles.
Consentement ou autorité parentale ? La loi vie privée prévoit très clairement que pour pouvoir consulter les données du téléphone portable de quelqu'un, cette personne doit d'abord donner son consentement, même s'il s'agit de l'un de vos enfants.
Car comme la loi l'indique (du moins selon ma compréhension), les parents n'ont pas le droit de jeter leurs enfants dehors. Où alors, ils doivent offrir un toit et subvenir à tout les besoin de leur enfant, du moment qu'il étudie ou ne puisses subvenir à ses besoins.
Violences commises par les parents
La peine est de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 € d'amende lorsque les faits sont commis par un parent ou par une personne qui a autorité sur le mineur.
Il faut conseiller aux parents de faire de la discipline sans châtiments ». Effectivement, la psychologue explique « que même si le parent atteint un certain état d'énervement quand l'enfant transgresse une limite, il doit éviter de s'énerver et surtout ne pas le frapper ».
Le mettre au coin pour lui offrir une coupure et du temps pour réfléchir peut, par exemple, avoir du sens, à condition de ne pas la répéter trop souvent pour ne pas qu'il s'y habitue et continue de le voir comme une punition. Vous pouvez alterner en lui confisquant un jouet, ou en le privant de sucrerie, par exemple.
Si un enfant a peur ou qu'il se sent menacé ou envahi dans sa bulle par un autre, taper peut être un réflexe pour se protéger. Peu à peu, il apprendra à s'exprimer et à s'éloigner plutôt qu'à frapper. Un enfant au tempérament plus « bouillant » et extraverti peut avoir plus de difficulté à retenir ses gestes.
Les punitions stimulent le circuit du stress et empêchent l'enfant de réfléchir à ce qu'il a fait. La mémoire gardera trace seulement de la peur, de l'envie de rébellion, du sentiment d'injustice mais pas du comportement à éviter qui a déclenché la punition.
Ils peuvent avoir un impact négatif non seulement sur les résultats scolaires mais aussi sur le bien-être social et émotionnel des enfants, laissant ainsi des cicatrices permanentes qui peuvent affectent leur productivité plus tard dans la vie. Les enseignants peuvent contributeur au sentiment de sécurité des élèves.
Les châtiments corporels sont corrélés à toute une série de conséquences négatives pour les enfants quels que soient le pays et la culture, notamment des problèmes de santé physique et mentale, une altération du développement cognitif et socioéconomique, de mauvais résultats scolaires, une agressivité accrue et le ...
Pour faire valoir son droit de réponse, la démarche est simple : il faut demander directement au média de publier ou de diffuser son propre message. Il n'est pas nécessaire de saisir la justice, ni de démontrer que l'on a subi un préjudice ou que l'article initial est erroné.
Bon à savoir : l'article 371-1 du Code civil (modifié par la loi n° 2019-721 du 10 juillet 2019) interdit désormais les violences éducatives ordinaires.
En droit, l'expression « mineur de quinze ans » désigne un adolescent âgé de moins de quinze ans.