«Les icebergs sont des objets très dangereux, car ils dérivent, ils ne restent pas immobiles; et lorsque la mer est très agitée, ils peuvent être masqués et ainsi échapper aux radars», résume Michael Hicks, de l'International Ice Patrol (IIP). Aujourd'hui, la probabilité de heurter un iceberg est d'une sur 2000.
« L'iceberg, baptisé A-76, fait environ 175 km de long sur 25 km de large, pour une surface totale de 4 320 km² » précise Jerome Bouffard, géophysicien, responsable de la mission CryoSat à l'Agence Spatial Européenne (ESA). Avec de telles dimensions, l'iceberg A-76 est actuellement le plus grand du monde.
C'est en Géorgie et en Terre de Feu que l'on retrouve des glaciers dont les fronts vont à l'eau. En Antarctique, les icebergs sont présents partout. Au Spitzberg, couvert à 59% de glaces, les icebergs ne sont pas très impressionnants, mais la beauté alpine des paysages valorise les glaces même de petite taille.
Cela veut dire qu'un iceberg, qui est de l'eau solide, prend plus de place que la même masse d'eau sous forme liquide. Le principe d'Archimède nous indique, de plus, que tout corps (en l'occurrence notre iceberg) plongé dans un liquide subit une poussée verticale vers le haut égale au poids du liquide déplacé.
À 23 h 40, par 41°46' N et 50°14' O, alors que le Titanic avance à 22,5 nœuds (41,7 km/h ), le veilleur Frederick Fleet aperçoit un iceberg droit devant à moins de cinq cents mètres et s'élevant à environ trente mètres au-dessus du niveau de l'eau.
Cette expression est née aux États-Unis en 1961. Il s'agit en fait de comparer la particularité de ce bloc dont on ne voit en réalité qu'un dixième de sa taille réelle à une situation complexe dont la partie cachée est bien souvent la plus importante.
Selon ce principe, « tout corps plongé dans un fluide subit une poussée verticale dirigée du bas vers le haut, égale au poids du volume de fluide déplacé ». Le poids de l'eau de mer déplacée étant supérieur au poids de la glace immergée, l'iceberg flotte.
La partie immergée, ce sont les 7/8 de l'iceberg qui sont sous l'eau (en passant, les deux prononciations sont admises : "isberg" ou "aïceberg"). Donald Trump étant plutôt très visible, il représente la partie émergée, celle qui sort de l'eau.
Résultant de la congélation d'eau de mer, la banquise est formée de glace salée, ce qui la distingue des icebergs, formés de glace continentale (eau douce des glaciers polaires). Son extension et sa répartition varient selon les océans (Arctique et Antarctique) et les années.
Les plus gros icebergs se trouvent au Groenland ou en Antarctique, la partie visible ne représentant généralement qu'un dixième du bloc de glace… On trouve aussi de plus petits icebergs en Islande sur les lacs volcaniques.
Le Titanic l'a percuté sur tribord et on estime qu'il mesurait alors 121 mètres de long pour une masse de 1,5 million de tonnes. Cependant, la taille énorme du morceau de glace qui aurait été 30 mètres au-dessus de l'eau quand le Titanic a coulé mesurait probablement plus de 500 mètres de long lors de sa création.
1- Argentine - Parc national Los Glaciares
Le plus célèbre étant sans doute le gigantesque Perito Moreno, haut de 60 mètres et d'une surface de 250 km², l'un des rares glaciers de la planète encore en croissance.
Vêlage : les icebergs résultent généralement de la fragmentation d'une masse de glace débouchant sur la mer (front de glacier, glace de barrière...). Cette fragmentation, appelée « vêlage », produit une masse de glace flottante pouvant alors dériver vers le large.
La prononciation correcte du terme "iceberg" est donc "is-berg" et non "aïs-berg".
(Nom 1) (1843) Emprunté à l'anglais iceberg , lui-même issu du néerlandais ijsberg (« iceberg »), composé de ijs (« glace ») et berg (« montagne »).
En Arctique et en Antarctique, il y a de la glace. Il y a de la neige qui est tombée pendant longtemps et ça a fait un glacier. Quand le glacier se casse, ça fait des icebergs. Alors l'iceberg est fait avec de l'eau douce.
À l'image d'un glaçon dans un verre d'eau, un iceberg est un bloc de glace qui flotte au lieu de couler car la glace est plus légère que l'eau. Le principe de la poussée d'Archimède fait le reste. 75 à 90 % de la masse d'un iceberg restent toutefois immergés.
Un iceberg est constitué d'eau de mer gelée. On pourrait ainsi penser qu'il est fait d'eau salée. C'est en fait un bloc d'eau douce gelée ! Lorsque de l'eau de mer gèle, l'eau douce va se séparer du sel (appelé saumure) qui retournera souvent dans l'océan, ou qui restera posé à la surface de l'iceberg.
Un iceberg c'est un bloc de glace d'eau douce (et non salée) qui dérive sur un plan d'eau, généralement une mer. Ils se détachent soit du front d'un glacier coulant sur la mer ou de ce qu'on appelle une barrière de glace.
La flottabilité de la banquise est due à l'écart entre la densité de la glace et celle de l'eau liquide (aux environs de 9 %) : la glace, qui est moins dense que l'eau liquide, flotte sous l'effet de la poussée d'Archimède.
Car la glace est moins dense que l'eau. Ce solide occupe plus de place dans la bouteille que le liquide.
La plus grande partie de la communication est masquée dans le domaine des relations et elle est influencée par la personnalité de l'interlocuteur. Ces informations qui proviennent de «l'intérieur de l'iceberg» complètent celles du domaine factuel et les influencent.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Cette expression date du XXe siècle. Il s'agit d'une métaphore pour désigner une personne qui se fixerait sur un détail au lieu de voir quelque chose dans son ensemble comme quelqu'un qui ne verrait qu'un arbre et non pas la forêt.