Est-ce qu'un missile russe pourrait vraiment atteindre Paris en 3 minutes? Non c'est faux. D'abord le missile dont on parle, le Sarmat, surnommé "Satan 2", n'est pas encore opérationnel. Un premier tir d'essai a été réalisé le 20 avril dernier mais il ne sera pas fourni à l'armée russe avant la fin de cette année.
Ce type de missiles, très manœuvrable, est censé défier les systèmes de défense anti-aérienne. Ils ont atteint, lors des essais, toutes leurs cibles à une distance pouvant atteindre 1.000 à 2.000 km.
Pour se protéger au mieux, il faut se rendre ou rester dans un bâtiment en dur en veillant à fermer toutes les ouvertures (systèmes d'évacuation compris). Être dans une voiture ne protège pas : il faut donc rapidement rejoindre un bâtiment.
Le S-400 Trioumf (en russe : С-400 Триумф, « S-400 Triomphe ») est un système de défense antiaérienne et antimissile mobile russe, développé par la société Almaz-Antei. Sa désignation OTAN est SA-21 Growler.
Le missile Sarmat ferait 35 mètres de long et pèserait plus de 200 tonnes, pour un diamètre de 3 mètres. Il serait également doté de 10 ogives nucléaires, qui font de lui « le missile le plus puissant du monde », selon les dires du ministère de la Défense russe.
Le missile M51 est un missile mer-sol balistique stratégique (MSBS) français dont l'ogive peut contenir jusqu'à 10 têtes nucléaires ayant chacune une trajectoire indépendante.
Le plus puissant premier essai de bombe A
Avec Gerboise bleue, la France est devenue la quatrième puissance nucléaire, après les États-Unis, l'URSS et le Royaume-Uni. Ce test demeure, en 2020, le plus puissant premier essai nucléaire.
La France peut-elle se protéger face à un missile chargé d'une ogive nucléaire? Comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article, la réponse est non...
Il doit être possible d'abattre un missile nucléaire avant qu'il n'incinère Berlin. Oui, à la rigueur, on peut en intercepter un seul, mais s'il y en a une ou plusieurs dizaines en route, il n'y a malheureusement pas de riposte possible.
Les missiles qui réalisent leur interception à basse ou moyenne altitude utilisent en général une charge explosive pour détruire leur cible, comme les missiles antiaériens dont ils sont le plus souvent dérivés. C'est le cas par exemple du Patriot PAC-2 ou du S-400.
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
"Il y a un an, au large des Nouvelles Hébrides, une frégate française a tiré avec un Aster 30 sur un missile qui allait à Mach 3", a dévoilé cette source. La Marine nationale vérifie que ses systèmes de combat sont capables de faire face à des nouvelles armes.
Décrit par de nombreux experts comme le système de défense antiaérien le plus moderne et le plus puissant au monde[1], le S-400 neutralise la suprématie aérienne et balistique de l'OTAN ou d'Israël, redistribuant les cartes de l'hegemon militaire.
Qu'est-ce que le Sarmat, surnommé "Satan 2", le nouveau missile intercontinental testé par les Russes. La Russie annonce avoir effectué un test de son nouveau missile balistique intercontinental "Sarmat". D'une puissance jamais dépassé, il est capable de raser un pays grand comme la France.
A Paris existe un lieu construit durant la guerre froide et qui possède 14 abris : Radio France ! Ils seraient accessibles par des galeries situées sous le bâtiment. L'Elysée dispose aussi d'un abri de 250 m2 sous le palais.
Historiquement, la responsabilité de cette utilisation incombe au chef de l'État ou à l'autorité militaire du pays possédant ce type d'arme.
Ces armes sont emportées par des missiles tirés par des sous-marins et des bombardiers. La France dispose de quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de la force océanique stratégique (FOST), basée sur la presqu'île de l'Île longue, dans la rade de Brest.
Après trois essais ratés, l'US Air Force vient de réaliser avec succès un test de son missile hypersonique AGM-183A. L'armée américaine n'a pas dévoilé de détails sur les performances de ce missile et de son planeur hypersonique pouvant atteindre la vitesse de pointe de Mach 20.
L'interception se déroule de la façon suivante :
Le satellite d'alerte observe en infrarouge l'allumage du missile balistique assaillant (image 1 en 1) et le suit jusqu'à la fin du parcours propulsé et la séparation de l'arme (en 2).
Si la France possède moins de têtes nucléaires déployées que la Russie (environ 1.500 « actives ») et les États-Unis (1.300), son arsenal s'élève à 280 têtes, plus 20 en réserve. Elles se répartissent entre les Forces Océaniques Stratégiques (FOSt) et les Forces Aériennes Stratégiques (FAS).
Depuis la fin de la guerre froide, ce stock est régulièrement réduit : fin 2017, la France dispose de 280 têtes nucléaires déployées et de 10 à 20 autres en réserve, soit un total de 300 armes nucléaires.
Un abri antiatomique est destiné à protéger ses occupants des effets mécaniques et thermiques d'une explosion nucléaire (ou d'un accident nucléaire), ainsi que des retombées radioactives, en leur permettant de survivre un certain temps jugé suffisant pour pouvoir en sortir sans danger.