Peut-être que les pommes bretonnes posent problèmes, mais en tout cas mes Ouessant normandes apprécient les pommes mûres ou pas et je n'ai jamais eu à déplorer aucun incident.
Pommes de terre, carottes, oignons, haricots verts, petits pois, racines d'endives et autres écarts de tri des fruits et légumes font partie des coproduits issus des industries agroalimentaires qui peuvent être consommés par les brebis.
Le recours aux granulés de viande de bœuf, aux fumiers contenant du cuivre et aux conduites en cuivre. Accès à des plantes, des arbustes ou des arbres toxiques. Déchets d'élagage. Le foin ou l'herbe ensilée d'origine inconnue.
Après le sevrage, ils consomment du foin (10 à 15 kg) ou de la paille et des concentrés, là encore le plus souvent un mélange céréales-soja. Un complément minéral vitaminé leur est aussi distribué. Cette consommation jusqu'à l'abattage (à 4 mois environ) est de l'ordre de 55 kg dont 8 kg de soja.
La nourriture pour moutons doit toujours consister pour plus de la moitié en fourrage comme de l'herbe, du foin ou du foin sec. Ils trouvent ce fourrage surtout en prairie, où les moutons séjournent normalement la plus grande partie de l'année.
Où dorment les moutons ? Vos moutons ont besoin d'un lieu abrité des ardeurs du soleil, des vents violents et des fortes pluies. Ils préfèrent rester un maximum en prairie et y dormir.
L'alimentation
En hiver, il faut compter 1,5 kg à 2 kg de foin par jour/mouton. Lorsqu'il y a production de lait, les compléments alimentaires sont indispensables. Ils peuvent être apportés sous forme d'aliments concentrés, tels que des céréales.
Tout leur est bon pour se faire les dents ! Et ils ne sont pas sélectifs dans leurs choix. Chez moi, ils ont mangé les fraises, les piments (les feuilles), les poivrons, les tomates (mais pas tout). Ils n'ont pas touché du tout aux salades ni aux artichauts, ni aux melons.
C'est parfois agaçant mais cela peut passer : il suffit de rester cloîtré dans la maison tout volets fermés... Maintenant, elles bêlent beaucoup beaucoup, pas en continu mais plutôt par rafales de 2-5 minutes plusieurs fois par heure.
La plus répandue d'entre elles est probablement la renoncule, avec plusieurs espèces : la renoncule âcre (Ranunculus acris), plus connue sous le nom de bouton d'or, très courante dans les prairies fraîches et pâturées, la renoncule bulbeuse (Ranunculus bulbosus) dans les milieux secs et la renoncule rampante ( ...
Je suis assez surpris de voir mes deux brebis se gaver de pommes plus ou moins blettes ou pourries. Au pied des pommiers, il y a quantité de fruits qui tombent et deviennent immangeables pour nous. En fait, l'intérieur du fruit fermente, et les pommes deviennent beaucoup plus tendres.
Sur les réseaux sociaux, plusieurs défenseurs des animaux se sont émus de la situation. Ils rappellent que quelle que soit l'espèce concernée, moutons, chevaux, canards et autres oiseaux ne se nourrissent pas de pain, cet aliment étant potentiellement mortel pour eux.
Les pommes de terre crues sont une excellente source d'énergie pour les ruminants (bovins et ovins), mais elles ont une faible valeur alimentaire pour les porcs à cause de la présence de facteurs antinutritionels et de la mauvaise digestibilité de la fécule.
Pour une brebis en début de lactation, les consommations quotidiennes d'eau sont respectivement de 10 litres en hiver et 20 litres lors de fortes chaleurs avec une ration à base de foin et d'aliments concentrés. Enfin, avec des températures supérieures à 30 °C, un agneau en bergerie boit au quotidien 3 litres d'eau.
Au contraire, ils aiment beaucoup les fruits (ce qui peut servir de friandise). Si possible il faut éviter qu'ils en abusent (je suis pas sûr que leur système digestif apprécie), mais les fruits ne sont pas nocifs pour les moutons, à ma connaissance. Eh bien, tout ça est rassurant !
Le pain pour les équidés, on l'adore, on le pratique ou on le rejette. On s'accorde en général sur la nécessité de le donner dur... un vieux principe.
Le bêlement indique l'inquiétude dans le groupe. Pour les moutons, le bêlement est le meilleur moyen de communication. Lorsqu'ils se sentent bien, ils se font entendre naturellement. Mais s'ils ont faim ou soif, ou s'ils sont inquiets, ils le crient aussi haut et fort.
Cependant vos moutons seront bien plus heureux s'ils disposent de 1000 m² par tête. Et bien sûr par terrain il s'entend un terrain herbeux. L'herbe naturelle convient tout à fait au mouton, et s'il trouve des ronces, des orties, du petit bois, il s'en occupera sans problème pour vous laisser une belle prairie !
Les moutons n'ont aucune perception de la profondeur, alors les ombres, les surfaces sombres et l'eau sont un problème. Les moutons craignent les nouveaux objets visuels.
L'ensilage de maïs est de plus en plus accepté en tant qu'aliment économique et viable pour les moutons, le prix des céréales continuant d'augmenter, ainsi que la taille des troupeaux ovins et la mécanisation des élevages.
Pendant l'été, les moutons qui vivent dans les champs passent une grande partie de leur journée à l'ombre de ses arbres. Bien entendu, ils y font leurs crottes et leurs urines. C'est pourquoi le sol est particulièrement fertile et les orties adorent cela et donc elles y poussent très bien.
Contrairement au régime foin, les quantités de paille consommées par une brebis sont très variables, mais restent toujours modestes. La paille offerte doit être appétente et disponible à volonté en respectant les quantités.
Le plus important est que le mouton ne soit pas mouillé jusqu'à la peau. Par temps de pluie, les brebis présentent généralement une toison humide à l'extérieur mais pas en contact de leur peau : la toison joue parfaitement son rôle d'isolant et peut repousser l'humidité pendant plusieurs jours.
Les moutons
Un mouton qui a une épaisse toison et qui est protégé de l'humidité pourra sans difficulté supporter des températures qui descendent en dessous de –15°. Un mouton qui vient d'être tondu, au contraire, doit être protégé du froid.