Pauvres en
Les fruits rouges sont particulièrement recommandés et les pommes, très pauvres en purines. Il faut éviter les fruits secs (raisins secs, figues) qui sont riches en sucre. Ce sucre va augmenter le taux d'acide urique.
Les sources de protéines végétales, comme les haricots, les lentilles, le tofu, les noix et les graines, contiennent des purines. Cependant, ces purines ne semblent pas augmenter le taux d'acide urique de la même manière que les purines des viandes et des fruits de mer.
Evitez de consommer : — Des abats tels que cervelle, cœur, foie, ris de veau, rognons, langue, tripes… — Des poissons gras : hareng, truite et poissons en conserve (anchois, sardine, thon, hareng…), soupes de poissons et œufs de poissons (lump, tarama, saumon, caviar).
Aliments autorisés, à consommer à volonté (pauvres en purines) : Lait et dérivés (200 à 500ml/j), fromage non fermentés. Boudin. Fruits, fruits secs (sauf cacahuètes, amandes), légumes.
Ce fruit sec à la saveur typique nous apporte fer, calcium, magnésium, vitamines E et B et oligo-éléments. Grâce à sa haute teneur en acides gras polyinsaturés (dont les oméga-3), la noix aide l'organisme à se préserver des maladies cardiovasculaires, minorant les risques de cholestérol, de diabète ou de calcul.
Si leur consommation ne permet pas de réduire le taux d'acide urique, les œufs sont considérés comme des aliments "neutres" : cela signifie qu'ils n'aggravent pas la maladie. De quoi varier vos menus.
La consommation de produits riches en purines est réduite : viande, abats, poissons, fruits de mer en préférant la viande maigre. Les apports en laitages appauvris en graisses (lait écrémé) qui favorise l'élimination de l'acide urique par les reins sont augmentés. La consommation de cerises a aussi cet avantage.
Le premier aliment à réduire en cas de crise de goutte est la viande, principal apport alimentaire de purines, une molécule qui est dégradée en acide urique lorsqu'elle est digérée. C'est le cas de la viande de porc, d'agneau, de veau, de bœuf ou encore de poulet.
Aliments sans restrictions :
Toutes sortes de fruits frais et en confitures. céréales : blé, riz, avoine, pain et céréales, sauf à grains entiers. féculents : pommes de terre, tapioca - légumes : haricots verts, poireaux, carottes, courgettes.
Les traitements de la goutte sont de 2 types : les médicaments qui visent à soulager une crise, et les médicaments pris au long cours pour prévenir les récidives. Lors de crise, la colchicine ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens, de type ibuprofène, sont prescrits.
Boire abondamment, 2 litres par jour de n'importe quelle eau en dehors d'une surcharge en acide oxalique (cf. annexe), y compris l'eau du robinet. Dans certains cas, il peut être conseillé d'alcaliniser les urines.
La teneur en purines du poisson-chat, du flétan, du vivaneau rouge, du saumon et du tilapia est légèrement plus élevée mais constituent également de bons choix. Les personnes souffrant de goutte peuvent frire, griller, bouillir, rôtir ou griller ces poissons.
"Ceux préparés avec du lait écrémé ou demi-écrémé sont à privilégier à ceux au lait entier car ils sont bien moins riches en purines", précise Florence Foucaut. À vous les yaourts, les fromages blancs et les petits-suisses !
L'alcool, surtout la bière et le vin rouge, de même que les boissons sucrées comme les boissons gazeuses, sont riches en purines. Toutes les sortes d'alcool peuvent déclencher la goutte. Il est donc préférable de s'en tenir à un maximum d'un verre par jour pour les femmes, et de deux verres par jour pour les hommes.
En particulier les moins gras comme les fromages frais, la bûche de chèvre, la féta ou encore les fromages allégés. "En plus d'avoir une teneur naturellement faible en purines, ils pourraient stimuler l'excrétion de l'acide urique par les reins", précise Florence Foucaut.
Souvent associées à la prise d'alcool et de viandes, les crises de goutte sont aussi liées à la consommation de boissons sucrées. Mieux vaut éviter les sodas !
Le miel, même s'il a un pH négatif, fait également partie des aliments bénéfiques contre l'acide urique. Tout simplement car lorsque votre organisme digère ces aliments, ils génèrent un environnement alcalin idéal pour que votre corps puisse éliminer les purines en toute tranquillité.
L'alimentation influence l'inflammation et la douleur associées à l'arthrose. Aliments pro-inflammatoires à éviter. Eviter la consommation de sucre, d'huiles riches en oméga 6, de viande rouge et charcuteries, d'alcool, ainsi que d'aliments frits.
Le petit déjeuner idéal est donc celui qui associe un peu de glucides à IG bas (pain complet, pain de seigle, galette de sarrasin, flocons d'avoine) avec des protéines (jambon, fromage, oeuf, viande des grisons…) et du gras (beurre, gras du fromage ou d'une charcuterie).
Il est conseillé d'éviter les aliments riches en acide urique sans toutefois atteindre une restriction stricte en purines. Les aliments ayant la plus forte teneur en acide urique sont 2 : toutes les viandes et principalement : les abats (foie, rognons : 300 mg pour 100 g)
En plus, limiter fortement votre consommation de certains aliments (voir aliments conseillés et déconseillés). Consommer à chaque repas des féculents, en alternant ceux qui sont complets (pain complet, céréales complètes, riz complet) avec ceux qui sont raffinés (baguette classique, pâtes, riz blanc, semoule).
Le premier aliment à réduire en cas de crise de goutte est la viande, principal apport alimentaire de purines, une molécule qui est dégradée en acide urique lorsqu'elle est digérée. C'est le cas de la viande de porc, d'agneau, de veau, de bœuf ou encore de poulet.