Les signes cliniques provoqués : hémorragie génitale entre les règles, règles très abondantes et longues, douleurs pelviennes à de type de contraction. Le potentiel évolutif de ces lésions vers des lésions pré cancéreuses ou vers un cancer de l'endomètre (cancer de l'utérus).
Contrairement au fibrome, il n'est généralement pas douloureux puisqu'il est mou. Les polypes utérins sont causés par un niveau d'œstrogènes élevé, responsables de la croissance de l'endomètre, ils peuvent parfois tellement le “booster” qu'ils provoquent alors l'apparition d'une excroissance.
Les polypes du col de l'utérus ne provoquent généralement pas de symptômes, mais ils peuvent entraîner des saignements ou des pertes ressemblant à du pus. Les médecins peuvent généralement diagnostiquer des polypes du col de l'utérus lors d'un examen pelvien.
Selon le Pr Raudrant, tout polype de plus de 10 mm doit être retiré [4]. Pour ce qui est des polypes symptomatiques avant ménopause, associés notamment à des saignements, le Pr Raudrant conseille une exérèse.
Le principal traitement du polype utérin est l'ablation chirurgicale par hystéroscopie opératoire. À l'aide d'une mini-caméra et de micro-instruments (petits ciseaux), le gynécologue coupe le polype et l'enlève.
Le seul signe qui lui soit caractéristique est le fait qu'elle peut provoquer des saignements entre les règles, y compris chez les femmes ménopausées, des règles irrégulières ou des règles abondantes. De ce fait, le polype peut être associé à une anémie et une fatigue chronique.
Un polype utérin peut avoir l'aspect d'un fibrome ou d'une tumeur cancéreuse, il faut donc être vigilant pour ne pas se tromper de diagnostic. La cancérisation du polype est possible.
Les polypes à fort risque de cancer sont : les polypes adénomateux. Ils sont caractérisés par une prolifération des cellules des glandes situées dans la muqueuse du côlon et du rectum et peuvent avoir des formes différentes (polype sessile, pédiculé, plan...).
Même si les causes exactes des polypes utérins demeurent mal connues à ce jour, il apparaît clairement qu'un déséquilibre entre les hormones sexuelles féminines (progestérone et œstrogènes) participe à l'explication de cette affection.
La chirurgie des polypes du côlon ou du rectum a lieu au cours d'une hospitalisation de quelques jours et consiste à retirer la portion du côlon ou du rectum dans laquelle le polype s'est développé. Le chirurgien recoud ensuite les deux extrémités du côlon ou du rectum pour reformer le conduit digestif.
"Le fibrome utérin démarre à partir des cellules musculaires du myomètre. Le polype utérin, lui, démarre à partir du feuillet interne qui est l'endomètre. Le polype ne déforme pas l'utérus alors que le fibrome déforme l'utérus."
Si le problème persiste dans le temps, il est nécessaire de consulter un médecin afin qu'il élimine une cause organique (fibrome, polypes, cancer de l'utérus). En médecine naturelle, je conseille la teinture-mère de Bursa pastoris pour sa stimulation tonique de l'utérus et ses effets anti-hémorragiques.
La plupart des polypes (environ 90 %) sont de petite taille, généralement inférieure à 1 cm de diamètre, et ont un faible potentiel de malignité. Les 10 % restants sont des adénomes de plus de 1 cm qui ont 10 % de chances de contenir un cancer invasif.
Le terme de polype désigne habituellement une tumeur de vessie non cancéreuse (n'infiltrant pas le muscle de la vessie) encore appelée tumeur de vessie superficielle. Le risque principal des polypes ou tumeurs superficielles est la récidive.
Bien que bénin dans la majorité des cas, un polype peut en effet dégénérer en cancer. La recherche de saignements dans les selles constitue aujourd'hui le meilleur moyen de dépistage.
La surveillance par coloscopie est plus ou moins rapprochée selon les caractéristiques des polypes adénomateux. Il n'existe pas de limites d'âge strictes pour arrêter les dépistages. La décision est prise en concertation avec le médecin et il est important de respecter les contrôles programmés.
Symptomatologie des polypes colorectaux
Les polypes rectaux sont parfois décelables au toucher rectal. Un polype dont le pédicule est long peut parfois se prolaber par l'anus. Les adénomes villeux de grande taille peuvent entraîner, dans de rares cas, des diarrhées liquides et, par conséquent, une hypokaliémie.
Est-ce dangereux d'avoir des polypes ? La grande majorité des polypes est bénigne, cependant certains polypes comme les polypes du côlon et de la vessie peuvent toutefois se révéler être des lésions précancéreuses, ou d'autres peuvent dégénérer en lésions cancéreuses. Il est donc important de surveiller.
Les polypes intestinaux sont des excroissances se formant sur la muqueuse qui tapisse l'intérieur du côlon. Elles surviennent chez 30 à 50% des adultes des pays industrialisés. Les facteurs environnementaux et alimentaires jouent probablement un rôle dans leur apparition.
Des douleurs pelviennes et/ou lombaires sont aussi typiques du cancer de l'utérus à un stade avancé. Elles peuvent être plus ou moins intenses, permanentes ou intermittentes, et survenir ou non au cours des rapports sexuels et/ou durant la miction.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
Ils représentent près de 70 % de l'ensemble des fibromes, et entraînent tout ou partie des symptômes suivants : des saignements importants, des envies fréquentes d'uriner et des douleurs au niveau du dos ou du pelvis, des douleurs pendant les rapports sexuels, des sensations de pesanteur ou une lourdeur pelvienne.