Les vers sont des invertébrés et sont insensibles à la douleur. Ils ressentent les choses mais sans pour autant en souffrir ! Bien sûr, le ver se tortille quand on l'enfile sur l'hameçon, mais c'est là un simple réflexe et non une réaction liée à la douleur.
On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur. Chez les animaux capables de nociception, reste à savoir s'ils ont aussi la conscience de souffrir comme les vertébrés à sang chaud (mammifères, oiseaux).
1- La méduse (Turritopsis nutricula)
Ce mécanisme s'enclenche dans des conditions de vie jugées défavorables comme le stress ou le manque de nourriture. Reste que l'animal peut tout de même mourir soit de maladies, soit des attaques de ses prédateurs.
Comme de nombreux invertébrés, le ver de terre a des réactions qui s'apparentent à la nociception. Mais réagir mécaniquement à la douleur n'est pas souffrir. Pour souffrir, le ver de terre doit être conscient de la douleur et nous avons dit que ses comportements sont inconscients.
Huîtres, palourdes et coques
Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions. Il est donc très peu probable que ces coquillages ressentent de la douleur ou du moins, une douleur comparable à la nôtre ou à celle des vertébrés.
Non. Les coquillages n'ont pas de système nerveux central et ne peuvent donc pas ressentir de la douleur.
Appareil circulatoire
Le cœur, entouré du péricarde, est formé de deux oreillettes et d'un ventricule cardiaque.
Les vers sont des invertébrés et sont insensibles à la douleur. Ils ressentent les choses mais sans pour autant en souffrir ! Bien sûr, le ver se tortille quand on l'enfile sur l'hameçon, mais c'est là un simple réflexe et non une réaction liée à la douleur.
Oui, le ver de terre possède à l'avant de son corps un collier de nerfs qui lui sert de cerveau ! Il est relié à une chaîne nerveuse qui se trouve dans sa face ventrale du ver. Et au niveau de chacun de ses anneaux, cette chaîne forme un renflement.
-, ne possèdent pas de nocicepteurs, les récepteurs sensoriels de la douleur. De plus, ces animaux, dotés d'un cerveau très primitif constitué d'une chaîne de ganglions nerveux, ne posséderaient pas la capacité cérébrale à ressentir la souffrance.
On appelle "règles" ou "menstruations" ces écoulements qui correspondent au passage à un nouveau cycle. Ce phénomène se retrouve chez d'autres mammifères, notamment chez les grands singes (orang-outan, etc.) et a été décrit chez divers autres primates, lémuriens, marsupiaux, etc.
On l'oublie souvent, mais les éponges sont des animaux. Et la plupart d'entre elles peuvent vivre des milliers d'années. Ici, un spécimen de l'espèce Monorhaphis chuni.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
Des études ont démontré que les poissons qui sont attrapés puis relâchés souffrent d'un grave stress physiologique, à tel point qu'ils meurent souvent du choc.
Anatomie du ver de terre : généralités
Le ver de terre n'a ni yeux ni dents, mais possède en revanche quatre cœurs et trois paires de reins ! Il respire à travers la peau. Son corps est constitué d'anneaux successifs nommés segments, tous entourés d'une musculature longitudinale et d'une musculature circulaire.
Il n'a ni yeux ni dents. Il se repère au moyen d'organes sensibles à la lumière. Il possède 4 cœurs et 3 paires de reins ! Il respire à travers la peau.
Est-ce que le ver de terre meurt si on le coupe en deux ? Ainsi, couper un ver de terre en deux va immanquablement blesser, voire tuer, l'animal. En effet, si l'on touche la partie de son corps abritant les organes vitaux, le ver de terre va mourir.
Il faut quelques semaines à plusieurs mois, selon l'espèce, pour que les jeunes vers de terre éclosent. Le ver de terre Lumbricus terrestris (le fameux lombric commun) s'accouple une fois par année en formant 5 à 10 cocons contenant chacun 1 œuf. Ils peuvent vivre entre 4 et 8 ans !
Cependant, ce système comme tous les procédés biologiques, est sensible aux pics de toxicité des eaux usées : les vers meurent s'ils sont nourris avec des eaux contenant du mercure, du cuivre ou de l'arsenic. Ce sont donc de bons indicateurs de l'écotoxicité.
On imagine souvent que si on coupe un ver en deux les deux morceaux vont régénérer un nouveau ver. Et c'est faux ! En fait, seule la partie avant renfermant les organes vitaux (« cerveau », estomac…) continue de vivre, à condition qu'il reste suffisamment d'anneaux derrière le.
Sur le bord du manteau, s'alignent une douzaine d'yeux qui observent les environs. Ces yeux sont assez simples, ne détectant que des changements de luminosité qui indiquent la présence d'un éventuel prédateur.
Son goût inimitable est très iodé et prononcé. Sa chair de couleur vive en fait un produit de la mer très raffiné.
Ce qu'on peut appeller tête dans la moule, quoiqu'on n'y trouve point d'yeux, ni d'oreilles, ni de langue, mais seulement une ouverture, qu'on nomme bouche, est une partie immobile & attachée à une des coquilles, de sorte qu'elle ne peut aller chercher la nourriture, il faut que la nourriture vienne chercher la moule.