Une voiture électrique en fonctionnement ne pollue presque pas. En effet, quand elle roule, elle n'émet ni gaz à effet de serre, ni particules fines, ni gaz nocifs, ni nuisances sonores comme le ferait une voiture thermique.
Un véhicule électrique émet beaucoup moins de gaz à effet de serre (GES) qu'un véhicule à essence. Cette affirmation reste vraie même si l'on tient compte de tout le cycle de vie d'un véhicule, depuis l'extraction des ressources qui le composent jusqu'à sa mise à la ferraille.
Les voitures électriques ne sont peut-être pas la seule solution à long terme, mais il n'existe actuellement aucune meilleure alternative à court terme. Les moteurs à combustion ne le sont pas, et les carburants de synthèse et l'hydrogène sont nettement plus chers que l'électricité pour les voitures électriques.
En moyenne, on estime que la voiture électrique émet 100 g de CO2e par kilomètre. Le même modèle propulsé à l'essence rejette 200 à 250 g CO2/km. Soit deux fois plus !
Mais en prenant en compte le cycle de vie total moyen (estimé à 150 000 km), la voiture électrique reste une solution “propre” : elle émettrait au total une dizaine de tonnes de CO2, contre 22 pour une voiture diesel et 27 pour une voiture à essence.
Manque de puissance
La voiture électrique ne consomme pas beaucoup d'énergie, mais elle a besoin de puissance quand on charge. Il faut donc avoir suffisamment de centrales pour charger. » En effet, quand une voiture n'a plus de carburant, il faut refaire le plein à la pompe, on n'attend pas.
En 2035, seuls les véhicules qui n'émettent pas de CO2 à l'usage pourront être mis en circulation : ce sont principalement les véhicules 100 % électriques, et aussi les véhicules à hydrogène.
L'électricité, seule source d'énergie d'une voiture électrique, pollue nettement moins que l'essence et le diesel. En France, parcourir 100 kilomètres en voiture électrique rejette indirectement 0,85 kg de dioxyde de carbone (16 kWh à 74 g CO2/kWh*).
Mais dans tous les cas, on pollue 2 fois moins de que si l'on conduisait un véhicule thermique. En effet, une voiture électrique émet 22% de CO2 de moins que son équivalent diesel, et 28% de moins que son équivalent essence. De plus, il existe quelques tips pour réduire l'empreinte carbone de votre véhicule électrique.
Selon une étude réalisée par l'UFC (L'Union Fédérale des consommateurs) Que-Choisir en juin 2021, un véhicule électrique neuf permettrait d'économiser jusqu'à 1 750 € sur une durée de 4 ans, comparé à une voiture à essence.
Or, c'est bel et bien le cas puisque sur sa durée de vie en France, une voiture électrique émet globalement 3 à 4 fois moins de CO2e que son équivalent thermique.
Selon Transport & Environment, les ressources de nickel et lithium sont suffisantes pour produire 14 millions de véhicules électriques en 2023. Mais les marques européennes vont devoir garantir les approvisionnements face aux firmes américaines et chinoises.
elle émet de grandes quantités de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique; elle nuit à la qualité de l'eau, à la biodiversité et aux habitats des espèces.
La Tesla Model 3 Standard Range Plus : en 2021, la Tesla est classée comme la voiture la plus écologique. De plus, elle vous garantit puissance, sécurité et beau design. Elle dispose de 614 kilomètres d'autonomie et peut rouler jusqu'à 261 km/h.
Les matériaux utilisés pour la batterie de la voiture électrique proviennent d'industries polluantes. Dans la fabrication des batteries, on compte plusieurs minéraux comme le lithium, le cobalt, le nickel ou encore le cuivre. Or, ces industries sont fortement pointées du doigt, car elle engendre de la pollution minière ...
Celles-ci vont de 8 à 10 ans, soit environ 160 000 km. Si l'âge est habituellement l'unité de mesure de vie d'un appareil, ce n'est pas le cas avec une batterie lithium-ion. Vous pouvez vous baser sur le kilométrage, mais cela ne suffit pas pour connaître la durée de vie de la batterie des véhicules électriques.
Le Parlement européen a voté, mercredi 8 juin 2022, la fin des ventes des véhicules essence et diesel neufs en 2035. Mais ce n'est pas pour autant la mort des véhicules thermiques, pour plusieurs raisons. Explications.
Le record est pour la Lamborghini Veneno avec 398g de CO2 /km. C'est la voiture la voiture la plus chère du moment et la plus polluante.
Une voiture électrique en fonctionnement ne pollue presque pas. En effet, quand elle roule, elle n'émet ni gaz à effet de serre, ni particules fines, ni gaz nocifs, ni nuisances sonores comme le ferait une voiture thermique.
Avec moins de pièces en mouvement, les risques de pannes sont réduits, la mécanique de la voiture électrique est simplifiée, tout comme l'entretien. Cela vous permet alors de faire des économies puisque l'on estime que le coût d'entretien d'un véhicule électrique est 25 % moins cher que celui d'un véhicule thermique.
La voiture électrique est plus fiable
Sur un véhicule électrique, les pièces d'usure à changer régulièrement sont moins nombreuses. Il n'y a par exemple pas de boîte de vitesses. Et certaines pièces s'usent moins rapidement, notamment les garnitures de frein grâce au freinage régénératif.
Sont concernés par la vignette CRIT'air 5, uniquement les véhicules diesel et assimilés dont la première immatriculation est comprise entre le 1er juillet 1997 et le 31 décembre 2000 inclus. « D'ici 2025 ces véhicules auront près de 30 ans, le volume devrait se réduire ».
Ce sont finalement les zones à faibles émissions, toujours plus nombreuses, qui risquent de poser le plus de problèmes aux utilisateurs français. Celle du Grand Paris, qui englobe la capitale et sa proche banlieue, prévoit ainsi l'interdiction de tous les véhicules essence et diesel à l'horizon 2030.
Les députés du Parlement européen se sont prononcés en faveur de l'interdiction des véhicules essence et diesel à l'horizon 2035. C'est un vote qui va bouleverser le monde de l'automobile dans les années à venir. Dans les faits, les entreprises ne pourront plus vendre de voitures (et de camionnettes) thermiques neuves.