L'être humain n'est pas fait pour vivre seul mais il ne peut pas vivre en société Résumé : Il s'agit d'une réflexion et d'une analyse issues d'observations dans les interractions sociales inhérentes à notre espèce.
L'être Humain n'est pas fait pour vivre seul, mais il ne peut pas vivre en société. Il s'agit d'une réflexion et d'une analyse issues d'observations d'incohérences dans les interactions sociales inhérentes à notre espèce. quantité de L'être Humain n'est pas fait pour vivre seul, mais il ne peut pas vivre en société.
L'homme ne peut exister sans les autres, mais la coexistence a souvent pour effet l'exploitation des uns par les autres. C'est le constat de Marx et de Rousseau.
En effet, vivre seul(e) booste la confiance en soi. Car lorsqu'on est avec quelqu'un et qu'un problème (qui nous semble insurmontable) se dresse face à nous, on a tendance à se reposer sur l'autre personne, sans chercher de solution par soi-même. Lorsque l'on vit en solo, nous n'avons pas vraiment le choix.
Par exemple, une enquête sérieuse a démontré que les personnes en couple vivaient plus longtemps et en meilleur santé. Quand cela se passe bien, évidemment ! Le bon équilibre serait de ne pas attendre tout de l'autre, comme il ne faut pas se sentir obligé de tout faire pour l'autre.
La solitude peut affecter la santé mentale et physique
La solitude augmente également le risque de trouble mental courant, comme la dépression, l'anxiété ou l'épuisement professionnel. En l'absence d'un sentiment de soutien de la part de son entourage, les émotions et les pensées négatives sont perçues davantage.
De la naissance jusqu'à la mort, l'être humain a besoin des autres pour vivre, survivre, se développer et mourir. Notre mère nous donne naissance et notre conjoint ou nos proches nous accompagnent dans la mort ; entre les deux, notre vie est rythmée par les relations sociales que nous entretenons avec les autres.
On a besoin des autres pour se sentir utile : aider, conseiller, écouter l'autre… c'est une vraie valorisation de soi et de l'autre.
Il convient alors de se demander, parmi ces visions contradictoires du bonheur, si l'on peut vraiment être heureux, comme Rousseau, sans autrui. En effet, il peut sembler difficile de parvenir à être heureux parmi d'autres êtres quand leurs désirs s'opposent continuellement aux miens.
Vivre à deux n'éloigne pas que la maladie. Cela protège de la précarité, de l'isolement social, de certaines conduites à risques… Et, psychologiquement parlant, la formule reste très efficace en termes de transformation de chacun, ainsi que l'a observé, tout au long de sa carrière, le sociologue Jean-Claude Kaufmann.
L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. L'homme est non seulement tel qu'il se conçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait.
Si autrui est bon, ne cherche pas à me nuire mais a être utile, nous pouvons considérer qu'il est nécessaire à notre vie pour d'autres raisons que des dépendance physiques ou sociales, qui sont considérées comme naturelles. Autrui est nécessaire à ma vie car il est peut-être l'un des éléments du bonheur.
La force de l'Homme réside dans son habileté et sa flexibilité plutôt que dans sa rudité et cruauté.
En effet, les hommes qui vivent avec une femme ont tendance à avoir un esprit beaucoup plus libéral. Cela est directement proportionnel au nombre de filles qu'ils ont, c'est-à-dire que plus il y a de femmes dans un même foyer, plus un homme développe une idéologie libérale.
Les besoins d'actualisation de soi se trouvent au sommet de la hiérarchie des besoins humains de Maslow. Lorsqu'une personne a satisfait tous les besoins des niveaux précédents, c'est dans l'actualisation de soi qu'elle parvient à réaliser pleinement son potentiel (Maslow, 1970).
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
Aimer pour se construire
Les humains l'utilisent pour combler un manque aussi bien matériel qu'immatériel qu'ils sont incapables d'assouvir eux-mêmes. L'homme ne sait pas vivre seul et nécessite la présence d'autrui à ces côtés pour vieillir avec lui. L'amour rassure, d'où cette recherche effrénée par l'Homme.
Si l'on considère ses répercussions sur la santé physique et morale, la solitude subie s'impose comme l'une des grandes maladies du XXIe siècle.
Sortir prendre l'air
Mais c'est aussi le moyen le plus sûr de ne se donner aucune chance d'aller mieux et de retrouver le moral. Alors forcez-vous un peu tous les jours à sortir ailleurs qu'au boulot : aller chercher le pain à la boulangerie, faire une balade, aller prendre un verre avec une amie.
Tu fais plus attention à toi. Là encore c'est tout à fait logique. Le célibat nous force à nous connaître mieux et donc à savoir aussi mieux ce qui nous convient. C'est ainsi qu'une étude a montré que les femmes célibataires posaient moins d'arrêts maladies que les femmes mariées.