Ses apports : Elle est constituée de 76 % d'acides gras mono-insaturés (Oméga 9) et de 12 % d'Oméga 6, deux types de graisses qui font baisser le taux de mauvais cholestérol (LDL). Elle est très riche en vitamine E anti-oxydante : une cuillère à soupe fournit 40 % de l'apport quotidien conseillé à un adulte.
ISIO 4 c'est l'apport de 4 nutriments : des Oméga 3 et 6, de la vitamine E, et de la vitamine D.
L'huile de colza est l'alliée de notre cœur. Elle est riche en oméga 3 et 6, ainsi qu'en antioxydants, notamment les vitamines E. L'huile de colza contient des quantités faibles d'acides gras saturés. Cette huile rejoint également les propriétés de l'huile d'olive en termes de santé cardiaque.
L'huile d'olive est probablement la meilleure huile pour la santé. Riche en vitamines (A, D, E et K) et en oméga-9, elle agit sur le cholestérol, protège l'organisme contre les maladies cardiovasculaires, améliore la glycémie et régule le transit intestinal.
Les graines de Colza, Tournesol, Oléisol®* qui composent la recette de l'huile ISIO 4 sont cultivées en France. Seule l'huile de lin, qui représente 5% de la recette, n'est pas française, pour des raisons de quantités disponibles.
L'huile ISIO 4 est fabriquée dans l'usine de Coudekerque en France. Lesieur a fait le choix de privilégier majoritairement des matières premières françaises pour l'élaboration de son produit.
Dans le cadre d'une alimentation santé, il est donc indispensable d'utiliser 2 huiles différentes : une pour la cuisson (huile d'olive) et une pour l'assaisonnement (colza, lin, cameline).
Les huiles à éviter sont l'huile de palme et de coprah, qui contiennent beaucoup d'acides gras saturés. Idem pour l'huile de coco, très utilisée et appréciée pour ses vertus, qui contient tout de même 85% d'acides gras saturés, contre 10 à 20% pour les huiles cités au-dessus.
C'est notamment le cas pour les huiles riches en graisses polyinsaturées comme l'huile de soja, de noix ou de germe de blé. Lorsqu'elles sont surchauffées, ces huiles forment divers composés nocifs comme les peroxydes lipidiques et des aldéhydes, potentiellement cancérigènes et ce même par simple inhalation.
D'après les scientifiques, les huiles végétales seraient les meilleures pour la santé en cas d'hypercholestérolémie : ils recommandent en particulier l'huile de tournesol, l'huile de colza, l'huile de carthame et l'huile de lin. À éviter : le beurre, le saindoux et la margarine...
Des études ont permis de démontrer l'effet antithrombotique et antiagrégant plaquettaire de l'huile d'olive. Ces propriétés permettent notamment de prévenir l'athérosclérose, c'est-à-dire la formation de plaques riches en cholestérol sur les parois des artères qui rend plus difficile la circulation sanguine.
Les Oméga 3 sont les « bons gras par excellence » et sont à privilégier pour notre cerveau. On les retrouve principalement dans les noix ou l'huile de colza mais les plus efficaces sont d'origine marine.
L'huile d'olive est la star des vinaigrettes. Elle est utilisée en cuisine depuis l'Antiquité pour ses multiples vertus et son parfum qui sent bon l'été. L'huile d'olive se marie à merveille avec des tomates et du basilic.
Face à cette perspective incertaine, un appel à la raison est lancé aux Français, pour diminuer sa consommation, éviter de faire des stocks et pour inciter chacun à utiliser d'autres huiles que celle de tournesol : notamment colza, pépin de raisin, olive ou plus difficile à trouver celle de maïs.
La viande d'agneau aime l'huile d'olive. Le porc peut être cuit au saindoux. Pour le bœuf, la viande de cheval et le veau, il est préconisé d'utiliser un mélange d'huile neutre, type pépins de raisins, et de beurre. Ce mélange permet au beurre de monter plus haut en température sans brûler.
L'huile d'arachide comme l'huile d'olive sont toutes les deux conseillées pour la friture car elles supportent les hautes températures sans produire de substances nocives pour la santé.
Huile d'olive, de colza, de tournesol, de noisette, de noix, d'arachide ou de coco, il est parfois difficile de s'y retrouver devant une telle offre.
L'huile d'arachide, l'huile de colza, de soja ou encore de tournesol en sont de bons exemples. Il est fortement déconseillé de faire chauffer ces huiles. Car l'aromatisation passe par l'infusion de morceaux (piment, épices, micro-morceaux) qui risquent de brûler. De plus, le goût s'évapore à la cuisson.
Après l'étude de plus de 1.000 échantillons venus de 52 pays producteurs, la cuvée “Cosmos”, récoltée en 2020, du domaine "La Magnanerie" à Orgnac l'Aven, a reçu le prix de “meilleure huile d'olive biologique du monde”.
HE Thym à thujanol, Thymus vulgaris CT thujanol : anti-infectieuse, stimulante et régénératrice hépatique, c'est une huile essentielle complète, très efficace et tout en douceur pour le foie.
Il n'y a donc aucune contre-indication à chauffer l'huile d'olive. Mais comme ses arômes sont détruits à partir de 70°C, mieux vaut utiliser une huile d'olive basique pour la cuisine et réserver les produits haut de gamme aux préparations crues.
L'huile de canola est celle contenant le moins de gras saturés et le plus d'acide alpha-linoléique oméga-3 parmi les huiles de cuisson les plus courantes.»
6. L'huile d'olive est moins calorique que les autres huiles. FAUX - L'huile d'olive est tout aussi calorique que les autres huiles : 10g (environ 1 c. à soupe ou à table) d'huile d'arachide, de tournesol, de noix ou d'olive, équivaut à 90 kcals.
Nous vous conseillons de choisir une huile de tournesol oléique qui présente une meilleure tenue aux températures élevées. Grâce à sa forte teneur en acides gras monoinsaturés, elle supporte les hautes températures et est donc idéale pour rissoler voire même frire les aliments.