L'uranium est un métal radioactif présent dans le sous-sol de la Terre. Avant de pouvoir l'utiliser comme combustible dans les réacteurs des centrales nucléaires, il faut l'extraire et le transformer.
L'uranium est radioactif. Cela signifie que les noyaux de ses atomes sont trop lourds pour être stables dans le temps. Ils se transforment spontanément en d'autres éléments radioactifs plus légers (par exemple, l'uranium 238 en thorium 234) qui à leur tour disparaîtront par décroissance radioactive.
L'uranium est un élément chimique radioactif présent à l'état naturel en quantité significative sur Terre. Il est essentiellement utilisé comme combustible dans les centrales nucléaires.
L'uranium est un élément radioactif naturel et il ne possède donc aucun isotope stable, mais il possède deux isotopes primordiaux (l'uranium 238 et l'uranium 235) qui possèdent une longue demi-vie et sont présents en quantité appréciable dans la croûte terrestre, avec leur produit de désintégration, l'uranium 234.
La toxicité de l'uranium est liée à ses caractéristiques chimiques et radiologiques. Toxicité chimique La toxicité chimique est prépondérante pour de l'uranium dont l'enrichissement en U-235 est inférieur à 7%. La toxicité aiguë de l'uranium (exposition à de très fortes quantités d'uranium naturel, 204mg.
Les principaux gisements d'uranium se trouvent en Australie, au Canada, en Russie, au Niger, en Afrique du Sud, en Namibie, au Brésil et au Kazakhstan et en Mongolie. En France, il en existe en Vendée et dans le Limousin, mais ils sont en voie d'épuisement.
De l'uranium jusqu'en 2070 au maximum
Au rythme actuel de consommation de l'uranium, ces ressources seraient épuisées en 2070 (18). Envisageons à présent le développement du parc électronucléaire mondial selon le “scénario de référence 2007 - 2030” de la World Nuclear Association.
La pollution persistante qui émane des 247 mines d'uranium abandonnées en France est également peu connue. » Cette industrie a pourtant laissé derrière elle 200 millions de tonnes de stériles miniers radioactifs sommairement enterrés, lit-on dans l'Atlas.
L'uranium est produit par de nombreux pays en particulier en Amérique du Nord et en Asie. Les principaux producteurs sont le Kazakhstan, le Canada, l'Australie et la Namibie qui représentent près de 80 % de la production mondiale.
Les États possédant les réserves récupérables d'uranium les plus importantes du monde sont l'Australie (25,7 % des réserves mondiales), le Kazakhstan (11,3 %), le Canada (10,6 %), la Russie (8,2 %), et la Namibie (6,8 %).
Des matériaux tels que PEEK et le polyimide possèdent une bonne résistance au rayonnement gamma et aux rayons X. Le PTFE et le POM, en revanche, sont très sensibles et donc moins adaptés aux applications impliquant l'exposition au rayonnement.
Le radium et l'uranium sont les principaux éléments de la radioactivité.
La totalité de cet uranium est importée : l'exploitant EDF achète le combustible final auprès d'Areva qui sécurise son approvisionnement en amont en exploitant de l'uranium naturel dans différentes zones géographiques. Parmi celles-ci figurent principalement le Niger, le Canada, l'Australie et le Kazakhstan.
Aujourd'hui, la plupart des scientifiques considèrent que toute exposition aux radiations atomiques constitue un risque pour la santé. À l'état naturel, l'uranium est dangereux parce qu'il peut émettre des produits de désintégration radioactifs comme le radon et le radium dans l'environnement.
Le risque nucléaire majeur est la fusion du cœur du réacteur d'une centrale nucléaire. Toutefois, un accident grave de transport d'éléments radioactifs pourrait être considéré comme un risque majeur. Les risques sont de deux ordres : - risque d'irradiation par une source radioactive.
Au cours de cette année, les États-Unis ont occupé la première place du classement avec une consommation d'environ 19.000 tonnes d'uranium. L'uranium est un métal lourd présent dans de nombreuses roches et dans l'eau de mer.
Le Niger est le principal pays producteur d'uranium en Afrique. Il occupe le troisième rang mondial des producteurs d'uranium, derrière le Canada et l'Australie.
En 2021, le Niger, le Kazakhstan et la Russie étaient les trois premiers importateurs de l'Union européenne. La Russie se place en troisième position de ce classement, avec 19,69 % du marché européen, derrière le Niger, 24,26 % et le Kazakhstan, 22,99 %. On trouve ensuite l'Australie et le Canada.
Cette statistique montre la répartition de la production mondiale d'uranium en 2016 en tonnes, par pays. Cette année-là, le Kazakhstan était le pays ayant produit le plus d'uranium, soit 24.700 tonnes, alors que le Canada arrivait en deuxième place du classement avec une différence de 10.000 tonnes.
Le taux d'indépendance énergétique du pays atteint 53,1 %, selon les chiffres du Commissariat général au développement durable . Cela signifie que la production d'énergie tricolore couvre un peu plus de la moitié de la consommation seulement.
La sortie du nucléaire s'impose pour de multiples raisons : le risque inacceptable d'un accident majeur comme à Tchernobyl ou à Fukushima, des déchets radioactifs extrêmement dangereux pour des milliers d'années, une production d'électricité extrêmement centralisée, sécuritaire et non démocratique, l'utilisation et la ...
Si le coût d'importation de l'uranium peut varier de 500M€ à 1Md€ par an, le nucléaire contribue globalement à l'amélioration de la balance commerciale en exportant chaque année 6Mds€ de biens et de services. D'autant que la France exporte plus de 10% de sa production électrique (2Mds€/an environ).
Une centrale nucléaire de la taille de celle de Gösgen, qui couvre à peu près un sixième des besoins électriques de la Suisse, consomme chaque année près de 20 tonnes d'uranium enrichi. Celui-ci est obtenu à partir de 200 tonnes d'uranium naturel.
« …la France importe 8000 tonnes d'uranium naturel par an, qui donnent environ 1000 tonnes d'uranium enrichi et 7000 tonnes d'uranium appauvri qui est entreposé (sur les sites du Tricastin et de Bessines) … Aujourd'hui, le stock (en France) estenviron 250 000 tonnes. »