Impossible, du point de vue anatomique. Contrairement à une idée très répandue, on ne peut pas avaler sa langue.
Avaler sa langue est un mythe. » Toutefois, la langue constitue bien un danger pour la personne inconsciente, si elle se trouve sur le dos. Si l'un des muscles de la langue se relâche, l'organe peut « tomber » au fond de la bouche et de ce fait obstruer les voies respiratoires.
Locution verbale. (Argot) Mourir. Note : Ne pas confondre avec avoir avalé sa langue.
L'odynophagie est le symptôme caractérisé par une douleur lors de la déglutition, l'acte d'avaler un aliment ou sa propre salive. Elle peut être très gênante au quotidien, et est un symptôme de nombreux troubles de la digestion, indigestions, ou infections du tube digestif. Elle accompagne parfois les angines.
Non "on ne peut pas avaler sa langue" assure le Dr Norbert Khayat, neurologue et vice-président d'Epilepsie-France. "Anatomiquement c'est impossible car elle est retenue par un frein." S'étouffer avec alors ? Non plus. "La plupart des crises convulsives dure moins de 5 minutes".
Contrairement à une idée très répandue, on ne peut pas avaler sa langue. «Du point de vue de l'anatomie, c'est impossible», souligne Patrick Schoettker, médecin-chef dans le service d'anesthésie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), responsable de l'anesthésie ORL et neurochirurgicale.
En France, environ 600 000 personnes ont une épilepsie, dont la moitié a moins de 20 ans. L'épilepsie est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées.
Afin de déglutir correctement, il faut garder les lèvres, les joues et le menton immobile, ne pas bouger non plus la pointe de la langue, serrer les dents et surtout les molaires qui doivent être en occlusion ainsi qu'appuyer la pointe de la langue sur les papilles palatines situées sur le palais.
C'est généralement un problème cognitif — la personne qui avale n'est pas totalement consciente, ou alors distraite — ou bien un problème physique, quand la personne a des troubles moteurs ou des troubles de la sensibilité. Cela se produit aussi fréquemment après un AVC ou une opération de la gorge.
"Il faut réapprendre à avaler, avec l'aide d'un orthophoniste par exemple. On peut bien sûr s'aider de certains médicaments, comme les patchs de scopolamine (contre le mal des transports) ou l'atropine en goutte sous la langue, recommande-t-il. Ceux-ci vont bloquer la sécrétion de salive".
– Laisser la crise suivre son cours ; – Eloigner les objets dangereux, desserrer ses vêtements, enlever ses lunettes, placer un objet mou sous sa tête ; – Rester proche d'elle, noter l'heure de début de crise et surveiller la durée de celle-ci ; – Placez-la en position latérale de sécurité (PLS) dès que possible.
Les muscles des joues et de la langue, de par leurs actions respectives, vont permettre, tout au long du processus de mastication, de ramener la nourriture entre les dents afin de continuer le broyage du bol alimentaire.
L'épilepsie est rarement une cause de décès.
Cependant, on constate tout de même que le taux de mortalité est 2 à 3 fois plus élevé chez les personnes atteintes d'épilepsie que dans la population en générale.
Aujourd'hui, on estime qu'il existe environ une cinquantaine de maladies épileptiques (ou syndromes épileptiques) qui sont définies en fonction de leur âge d'apparition, de leur cause sous-jacente (présumée ou avérée) et de la présentation clinique des crises qui y sont les plus fréquemment associées.
Elles sont dues à une lésion cérébrale : malformation congénitale, encéphalite, séquelles d'une souffrance à la naissance, traumatisme crânien, accident vasculaire cérébral, tumeur, infections du Système Nerveux Central, maladies neurologiques évolutives, anomalies des chromosomes, malformations cérébrales…
"La fausse route est le passage d'un aliment ou d'un petit objet, l'exemple typique de la cacahuète, qui va passer par le mauvais tuyau, en ratant l'œsophage et en passant dans la trachée. La victime en général ne peut plus parler, elle s'étouffe, elle devient bleue et elle risque de mourir en quelques minutes.
Où va le liquide ? "Le liquide passe par la trachée, c'est-à-dire par les voies respiratoires, et non par l'œsophage", poursuit l'ORL.
La pneumopathie d'inhalation est une inflammation pulmonaire liée au passage dans les poumons du contenu gastrique ou d'aliments à l'occasion d'une fausse route.
Placer le bout de la langue sur la petite bosse située sur le palais derrière les incisives supérieures. C'est comme lorsqu'on prononce le son « L » La pointe de ta langue doit toujours toucher ce point lors de la déglutition.
« Où dois-je positionner ma langue ? »
Au repos la langue doit être en position haute : la pointe et le dos au contact de la partie avant du palais, en forme de vague (ce sont les papilles palatines). Les dents au fond ne doivent pas se toucher et les lèvres sont jointes mais souples.
Exercice de l'élastique : Placez un petit élastique sur la pointe de la langue et plaquez-le sur les papilles situées sur le palais. Avalez ensuite votre salive en prenant soin de ne pas avaler l'élastique bien sûr. Répétez ensuite cet exercice jusqu'à ce que l'élastique ne bouge plus du palais.
"Le principe de l'épilepsie, c'est que les crises surviennent sans prévenir, un peu au hasard. Mais on sait que des facteurs favorisent, augmentent le risque d'avoir une crise. Parmi ces facteurs, on trouve au premier rang le stress. Il y a aussi le manque de sommeil, les troubles hormonaux, les substances exogènes.
La fatigue est fréquente chez les patients épileptiques. Elle peut être due à la maladie, parfois aux médicaments (que l'on peut éventuellement changer), mais aussi à d'autres causes comme la thyroide, etc. Pour discussion également avec le neurologue.